Israël a mené une nouvelle agression aérienne près de Damas, la capitale syrienne, aux premières heures de ce dimanche, 1er octobre, selon les médias affiliés aux groupes terroristes anti-Damas actifs dans le pays.
Ces informations, non confirmées par les médias officiels syriens, indiquent que les raids aériens israéliens ont eu lieu dans la ville d'al-Dimas, à l'ouest de Damas.
Les frappes, selon les rapports, visaient des sites appartenant à l'armée syrienne et à ses alliés. Rien n’a filtré dans l’immédiat sur éventuelles victimes ou dommages provoqués par l’incident.
Le 13 septembre, l’agence de presse officielle syrienne SANA a rapporté que deux soldats avaient été tués et six autres blessés lors d’une agression israélienne contre des unités de défense aérienne dans la ville côtière de Tartous.
Plus tard dans la journée, des avions israéliens ont mené des frappes aériennes similaires sur certains sites de la province de Hama, dans le centre-ouest, causant des dégâts matériels.
Israël ne cesse d’attaquer les positions de l’armée syrienne et de ses alliés depuis 2011, l’année où le pays arabe s’est retrouvé en proie à des violences extrémistes « enfantant » déjà des activités terroristes sanglantes qui ont été menées ensuite par le groupe terroriste Daech, secondé par une multitude de groupes armés naissants et soutenus depuis l’étranger et plus principalement depuis Washington.
Les raids du régime ciblent principalement les positions des alliés de la Syrie qui viennent à son secours et sur demande de son gouvernement, pour seconder le pays dans sa terrible lutte contre les groupes terroristes parrainés par l’étranger.
Le gouvernement syrien s’est plaint à plusieurs reprises auprès des Nations Unies des attaques israéliennes, exhortant le Conseil de sécurité à prendre des mesures contre les crimes commis sur le sol syrien par le régime israélien. Et tout le monde le sait bien : l’ONU fait « la sourde oreille » sur le sujet.
