Au sommaire :
1- Réforme des retraites : l’arnaque étatique vient-elle des USA ?
Que signifient la pyramide et l’œil sur le billet d’un dollar et quel est le symbolisme derrière cette tête borgne ?
On dit que la France, pays de Blaise Pascal, est le pays de la géométrie, des chiffres et des lettres et le plus important de tout des pourcentages et que les Français ont pour la plupart une vision plutôt mathématique, voire cartésienne du monde tangible, ce qui veut dire que, et l’expérience est là pour nous le confirmer, lorsque nous communiquons avec des Français, on doit toujours s’en tenir aux faits et parler avec objectivité.
Voici quelques chiffres qui intéresseront sans doute nos lecteurs français de souche pour que nous sachions au final qui est à l'origine de la décision de rendre le nouveau système de retraite obligatoire en France et ce qui nous permettrait au passage de savoir si cette réforme des retraites était un passage obligé imposé à la France et aux Français par l'UE, cette UE qui est de facto un outil aux mains des "Américains d'abord" pour asservir les Européens peuplant les échelons inférieurs de la pyramide hiérarchique américaine du sommet de laquelle une tête borgne observe ce bas monde de haut en bas et où des sous-hommes comme les Palestiniens, par exemple, ne servent qu'à supporter sur leurs épaules les étages les plus bas de cet édifice pyramidal chimérique du sionisme : cette description vous semble-t-elle familière ?
Alors qu’une nouvelle journée de mobilisation a été annoncée ce 7 mars par la CGT pour raisonner le gouvernement sur le changement du système des retraites qui s’annonce déjà catastrophique, notamment pour les couches moyennes et modestes de la société française, changement évidemment décidé non pas par l’exécutif, privé visiblement de tout pouvoir de décision, mais par le conflit artificiel créé par les USA subjugués par les néoconservateurs, tous des sionistes, on apprend dans la mêlée que la CGT Elengy annonce avoir bloqué trois des quatre terminaux méthaniers qui permettent l’importation de GNL pendant sept jours. RT France revient là-dessus : « Trois des quatre terminaux méthaniers qui importent du gaz naturel liquéfié (GNL) en France sont à l’arrêt depuis “sept jours”, indiquait le 6 mars au soir la CGT Elengy, qui proteste contre le projet de réforme en France. »
Mais pour repartir sur une note positive dans le monde des chiffres et des pourcentages, disons que le déficit public de la France atteint 5,5 % du PIB en 2022. Mais quel est le bilan de l’aide de la France à l’Ukraine pour la période étalant du 24 février 2022 au 24 février 2023 ?
Selon les données du site officiel de l’ambassade de France en Italie, « La stratégie de neutralisation - [de la Russie, NDLR] - vise notamment à renforcer la capacité opérationnelle des forces armées ukrainiennes dans des zones à enjeux stratégiques comme l’artillerie, les blindés mobilité et défense sol-air. »
Voici la suite des données du site officiel de l’ambassade de France à Rome : « Un grand nombre de matériels ont déjà été livrés, couvrant tout le spectre des besoins exprimés par les Ukrainiens » sachant que tout cela représente une énorme somme d’argent jetée par les fenêtres, des trous budgétaires béants finalement que le pauvre contribuable français des classes inférieures doit colmater. »
À vos jugements !
➢Équipement de combattant (casques, gilets pare-balles, jumelles vision nocturne, rations de combat, tenues NBC, matériel médical).
➢Systèmes antiaériens avec un engagement à renouveler les stocks, dont :
• 2 Lance-roquettes unitaires (LRU) livrés fin novembre à l’Ukraine.
• 2 systèmes Crotale de défense antiaérienne.
• 1 radar Ground Master 200 (GM200) à venir.
➢Artillerie dont :
• 18 Canons Caesar déjà livrés et 12 Canons Caesar supplémentaires à venir.
• 6 canons TRF1 de 155 mm.
➢Chars de combat AMX10-RC, dont l’annonce de la livraison par le Président de la République a entraîné une nouvelle dynamique dans le soutien à l’Ukraine en matière de blindés.
➢Véhicules de l’avant-blindé VAB et de transport.
➢ Munitions de tous calibres.
➢ Carburant.
Fonds spécial
La création du Fonds spécial de soutien à l’Ukraine, d’une dotation portée à 200 millions d’euros par amendement de la majorité présidentielle, permet à l’Ukraine d’acheter directement auprès des industriels le matériel dont elle a le plus besoin pour soutenir son effort de guerre. Le fonds sera en outre mis à contribution pour assurer la maintenance des équipements fournis.
Formation
Les formations réalisées en accompagnement de l’équipement et de l’armement fournis permettent de consolider les capacités complètes cédées pour les rendre soutenables dans la durée (formation à l’emploi et formation des formateurs pour assurer à terme l’autonomie des Ukrainiens). Par ailleurs, la France dispense des formations du combattant et des formations spécialisées, par exemple sur la logistique. Sur les 15 000 soldats ukrainiens qui seront formés par l’UE dans le cadre de l’opération PSDC « EUMAM3 » (European military assistance mission), la France en formera 2 000 dans un premier temps. Une partie des formations s’effectuera en France et une autre en Pologne, via le déploiement de 150 militaires français, avec pour objectif de former 600 soldats ukrainiens chaque mois.
Facilité européenne de paix
La France contribue à hauteur de 630 millions d’euros à la Facilité européenne de paix (sur un total 3,5 milliards d’euros, soit près de 20 %).
Aide humanitaire :
200 millions d’euros au profit de l’Ukraine et des pays limitrophes.
Plus de 40 opérations réalisées par le Centre de crise et de soutien du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (CDCS) depuis le 24 février, portant à plus de 2 700 tonnes la quantité d’aide acheminée, dont 1 000 tonnes via l’opération « un bateau pour l’Ukraine » parti fin septembre de Marseille. Depuis le début du conflit, 196 générateurs ont été envoyés.
Conférence internationale « Solidaires du peuple ukrainien » : Plus d’un milliard d’euros d’engagement pour une mise en œuvre entre septembre 2022 et avril 2023. La France s’est dans ce cadre engagée à fournir 63 générateurs supplémentaires et 5 millions d’ampoules LED, qui sont en cours d’acheminement.
L’aide envoyée par le CDCS couvre notamment l’aide médicale et alimentaire, la recherche et le sauvetage de victimes, l’aide énergétique, les abris d’urgence et les biens de première nécessité pour les déplacés et réfugiés, la mobilité des populations, le déminage, le soutien aux journalistes ukrainiens.
12 évacuations sanitaires depuis l’Ukraine vers la France ont été également organisées, pour 32 militaires blessés et 40 enfants atteints de cancer.
31,6 millions d’euros ont été mobilisés pour soutenir l’action des ONG humanitaires et le CICR.
140 millions d’euros ont été mobilisés à ce stade pour les agences des Nations unies et les organisations internationales (HCR, OIM, PAM, BCAH, CICR, FICR, UNICEF) en réponse à la crise ukrainienne.
Aide économique et financière
1,2 milliard d’euros fléchés vers des garanties à l’export, dans le cadre de la participation de la France à la reconstruction, via ses entreprises en utilisant les outils de financement export.
Prêts budgétaires directs garantis par l’État français, à hauteur de 400 millions d’euros.
Plus 700 entreprises françaises présentes à la conférence franco-ukrainienne pour la résilience et la reconstruction le 13 décembre 2022. Celle-ci a notamment permis la signature de deux conventions d’octrois de garanties à la BERD pour un total de 100 millions d’euros.
Aide judiciaire :
Soutien à la juridiction ukrainienne
• Deux déploiements de médecins légistes et de gendarmes de l’IRCGN, à Boutcha en avril et dans la région de Kharkiv fin septembre.
• Don d’un laboratoire mobile d’analyse ADN (un deuxième sera livré prochainement).
Soutien à la Cour pénale internationale : contribution financière exceptionnelle de 500 000 d’euros en plus de la contribution annuelle de plus de 13 millions d’euros ; mise à disposition d’une magistrate et de plusieurs enquêteurs auprès du bureau du procureur de la CPI.
Soutien au Haut-commissariat aux droits de l’Homme de l’ONU, à hauteur de 400 000 euros.
Accueil des réfugiés
Plus de 100 000 Ukrainiens accueillis dans le cadre de la protection temporaire.
Plus de 20 000 Ukrainiens inscrits dans le système éducatif français ; 2 000 étudiants.
Programme de bourses de stages intensifs en français langue étrangère financé par le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, avec l’Agence Campus France.
L’aide de l’Union européenne à l’Ukraine en quelques chiffres
Plus de 50 milliards d’euros de soutien tous domaines confondus.
19,7 milliards d’euros de soutien à la résilience économique, sociale et financière de l’Ukraine (12,4 milliards d’euros de fonds européens et 7,3 milliards d’euros des États membres).
3,5 milliards d’euros d’assistance militaire au titre de la Facilité européenne pour la paix. La France y contribue à hauteur de 20 %.
Après le versement de 7,2 milliards d’euros d’assistance macro-financière en 2022, une assistance macro-financière exceptionnelle de 18 milliards d’euros (AMF+) à l’Ukraine sera déboursée en 2023 pour permettre de couvrir près de la moitié des besoins ukrainiens. Un premier déboursement de 3 milliards d’euros a eu lieu le 17 janvier.
Sources : https://it.ambafrance.org et RT
2- L’hémisphère sud rejette les pressions occidentales pour se ranger du côté de la Russie
Lors d’une table ronde tenue le 18 février à la Conférence de Munich sur la sécurité, trois dirigeants africains et asiatiques ont expliqué les raisons de leur mécontentement face à la guerre en Ukraine et à la campagne de pression exercée sur eux pour rompre les liens avec la Russie.
Le ministre brésilien des Affaires étrangères, Mauro Vieira, qui a condamné le même jour l’invasion de l’Ukraine par la Russie dans un tweet, a invité les différentes parties au conflit à construire la possibilité d’une solution. « Nous ne pouvons pas simplement parler de guerre ».
Des milliards de dollars d’armes ont été envoyés par les États occidentaux à l’Ukraine pour prolonger une guerre qui doit prendre fin avant qu’elle ne devienne incontrôlable. L’Occident est au point mort dans les négociations depuis que la possibilité d’un accord intérimaire entre la Russie et l’Ukraine a émergé en mars 2022.
Les discussions sur la guerre sans fin des politiciens occidentaux et l’armement de l’Ukraine ont conduit au retrait de la Russie du nouveau traité START le 21 février 2023, qui, avec le retrait unilatéral des États-Unis du Traité sur les missiles antimissiles balistiques en 2002 et du Traité sur les forces nucléaires intermédiaires en 2019, le régime de maîtrise des armes nucléaires prend fin.
Le commentaire de Vieira sur la nécessité de « construire la possibilité d’une solution » est partagé par tous les pays en développement, qui ne voient pas la guerre sans fin comme un avantage pour la planète. Comme l’a déclaré la vice-présidente colombienne Francia Márquez lors du même panel : « Nous ne voulons pas continuer à discuter de qui sera le gagnant ou le perdant d’une guerre. Nous sommes tous perdants et, en fin de compte, c’est l’humanité qui perd tout ».
La déclaration la plus incisive à Munich a été faite par le Premier ministre namibien Saara Kuugongelwa-Amadhila. « Nous promouvons une résolution pacifique du conflit » en Ukraine, a-t-il déclaré, « afin que tout le monde et toutes les ressources du monde puissent se concentrer sur l’amélioration des conditions des personnes dans le monde, au lieu de dépenser pour acquérir des armes, tuer des gens et créer réellement de l’hostilité ».
Lorsqu’on lui a demandé pourquoi la Namibie s’était abstenue de voter aux Nations unies sur la guerre, Kuugongelwa-Amadhila a répondu : « Notre approche consiste à résoudre le problème, pas à attribuer des blâmes ».
L’argent utilisé pour acheter des armes, a-t-il déclaré, « pourrait être mieux utilisé pour promouvoir le développement en Ukraine, en Afrique, en Asie, ailleurs, en Europe même, où de nombreuses personnes vivent dans des conditions de misère ».
Le plan chinois pour la paix en Ukraine, fondé sur les principes de la conférence de Bandung de 1955, reprend les points soulevés par ces dirigeants du Sud mondial.
Les dirigeants européens sont restés indifférents aux arguments de personnes comme Kuugongelwa-Amadhila.
Le haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Josep Borrell, s’était déjà tiré une balle dans le pied avec ses vilaines déclarations en octobre 2022 : « L’Europe est un jardin. Le reste du monde est une jungle. Et la jungle pourrait envahir le jardin… Les Européens doivent être beaucoup plus engagés envers le reste du monde. Sinon, le reste du monde nous envahira ».
Lors de la Conférence de Munich sur la sécurité en février 2023, Borrell – qui est originaire d’Espagne – a déclaré qu’il partageait « ce sentiment » de Macron, selon lequel l’Occident doit « préserver ou même reconstruire une coopération de confiance avec de nombreux pays dits du Sud ».
Les pays du Sud, a déclaré Borrell, « nous accusent d’avoir deux poids, deux mesures » lorsqu’il s’agit de combattre l’impérialisme, une position que « nous devons dissiper ».
Une série de rapports publiés par les grandes sociétés financières occidentales réitèrent l’anxiété de personnes comme Borrell.
BlackRock note que nous entrons dans « un monde fragmenté avec des blocs concurrents », tandis que le Credit Suisse souligne les « fissures profondes et persistantes » qui se sont ouvertes dans l’ordre mondial. L’évaluation de ces « fissures » par le Credit Suisse les décrit avec précision : l’Occident (pays développés occidentaux et alliés) s’est éloigné de l’Est global (Chine, Russie et alliés) en termes d’intérêts stratégiques fondamentaux, tandis que le Sud global (Brésil, Russie, Inde et Chine et la plupart des pays en développement) se réorganise pour poursuivre ses propres intérêts.
Cette réorganisation se manifeste désormais par le refus des pays du Sud de s’incliner devant Washington.
Vijay Prashad, dont nous avons publié plusieurs fois les analyses, est un historien, éditeur et journaliste indien. Globetrotter regroupe un certain nombre de chercheurs du sud et des pays émergents, leurs positions sont en général celles de pays non alignés refusant d’être impliqués dans les appels à sanctions et livraison d’armes en ce moment à propos de l’Ukraine, si l’on excepte un journaliste australien qui mène campagne en faveur de la position des USA, la quasi-totalité des intervenants, qu’ils aient dénoncés ou expliqués l’intervention russe refuse de soutenir la croisade des États-Unis et souhaitent que cela permettent au reste du monde de se dégager de l’hégémonie des USA, qu’il y ait d’autres liens établis et la position chinoise gagne du terrain, mais notez que pour cet Indien c’est la Russie qui est plébiscitée. Ainsi en est-il de ce compte-rendu du G20 qui est totalement différent de ce qui nous a été rapporté par nos médias officiels. La tendance devrait s’accroître puisqu’il a été proposé d’introduire les pays africains dans cette instance.
Danielle Bleitrach
Source : Réseau international
3- La valeur des échanges entre l’UE et la Russie a frôlé un record en 2022
En 2022, les échanges entre la Russie et l’UE ont atteint une valeur maximale depuis 8 ans, la somme des importations russes a battu un record historique, selon les données d’Eurostat.
Les calculs de Sputnik sur la base des données d’Eurostat témoignent qu’en 2022 la valeur des échanges entre la Russie et l’Union européenne est au plus haut depuis 8 ans.
Les importations de biens en provenance de Russie ont atteint un maximum historique et, par conséquent, l’UE encaisse un déficit record dans les échanges avec Moscou, selon les calculs de Sputnik basés sur les données d’Eurostat.
L’année dernière les exportations russes vers l’UE ont augmenté d’un quart pour atteindre 203,4 milliards d’euros, soit moins de 230 millions seulement du maximum historique de 2012 (203,6 milliards d’euros).
D’autre part, les exportations européennes vers la Russie ont chuté de 38,1 % jusqu’au minimum de 2005 (55,2 milliards d’euros).
Une valeur maximale et un déficit record
Cependant ce recul des importations depuis l’UE n’a pas empêché d’enregistrer une valeur maximale des échanges depuis 2014 : 258,6 milliards d’euros, soit une hausse de 2,3 %.
Comme résultat, un déficit record de 148,2 milliards d’euros dans les échanges de l’Union européenne avec la Russie, ce qui est deux fois plus qu’il y a un an.
Depuis le début de l’opération militaire spéciale en Ukraine, les 27 ont adopté 10 trains de sanctions contre la Russie. Au total, l’UE a frappé près de la moitié (49 %) des exportations vers la Russie par rapport à 2021.
Vladimir Poutine avait indiqué que la politique de dissuasion et d’affaiblissement de la Russie était une stratégie à long terme de l’Occident dont l’objectif majeur était de détériorer la vie de millions de personnes. Il avait fait remarquer que l’Occident n’était pas parvenu à torpiller la stabilité financière de son pays.
4- La France du 7 mars est en grève
Les opposants à la réforme des retraites mobilisés dans toute la France 7 mars 2023
Ce 7 mars, une nouvelle journée de mobilisation a lieu contre le projet de réforme des retraites porté par le gouvernement, qui prévoit notamment un report de l’âge de départ. Manifestations, grève et actions ont lieu aux quatre coins du pays.
Mardi 7 mars 11h58 CET
Le Républicain Lorrain fait état d’une opération « péage gratuit » menée par les protestataires à Saint-Avold (Moselle), qui se « déroule dans de bonnes conditions ».
Malgré les ralentissements, « la situation est plutôt bien accueillie par les routiers et les usagers de l’autoroute », constate le quotidien régional.
11h49 CET
La sixième journée de mobilisation nationale contre la réforme des retraites se traduit par un taux moyen d’enseignants grévistes de 32,71 %, dont 35,35 % dans le primaire et 30,09 % dans le secondaire (collèges et lycées) selon le ministère, bien en deçà des chiffres des syndicats. Les syndicats Snuipp-FSU et Snes-FSU ont de leur côté annoncé des taux de grévistes d’au moins 60 % dans le premier et le second degré. Le taux de grévistes le plus élevé chez les enseignants date du 19 janvier, lors de la première journée d’action, avec 42,35 % dans le primaire et 34,66 % dans le secondaire, selon le ministère.
11h37 CET
Selon Ouest-France, environ 15 000 personnes ont participé à la manifestation dans les rues de Lorient (Morbihan) contre la réforme des retraites, soit une « mobilisation encore plus forte que la première journée de manifestation » en janvier.
11h30 CET
Près de 6 000 manifestants ont défilé à Guéret (Creuse) contre la réforme des retraites, selon la police, soit un cortège plus important que lors des précédentes journées de mobilisation. Le 11 février, ils étaient 4 000, rapporte France 3 Limousin.
11h27 CET
A Paris, les trois incinérateurs de déchets sont inopérants. La collecte des ordures était bloquée dans les dix arrondissements sous régie municipale et « plusieurs milliers de tonnes d’ordures ménagères » n’ont pas été collectées, ont indiqué deux syndicalistes de la CGT du secteur à l’AFP. L’adjointe à la mairie de Paris en charge de la propreté, Colombe Brossel, a confirmé l’ampleur de ces perturbations.
11h20 CET Le Snes-FSU, premier syndicat du second degré, affirme que la grève est « toujours majoritaire » dans les collèges et les lycées avec 60 % de grévistes. Plus de 60 % des enseignants du premier degré devaient être grévistes selon le Snuipp-FSU, premier syndicat du primaire. Le Snes-FSU appelle d’ores et déjà à participer aux mobilisations prévues le 9 mars, et annonce son soutien à « tous les établissements qui décideraient de poursuivre la grève après le 7 mars ».
Source : RT France