Cet épisode de la « Palestine déclassifiée » examine ce que l’on sait d’Elon Musk par rapport à la Palestine.
Elon Musk, l’homme le plus riche du monde, a acheté Twitter l’année dernière. Depuis, l’entreprise a connu des changements radicaux.
Plus de la moitié du personnel est parti ou a été mis à la porte. L’entreprise a fait une hémorragie d’argent. M. Musk a affirmé être un champion de la liberté d’expression et a promis d’améliorer Twitter en rendant les algorithmes ouverts et en luttant contre les robots de spam.
Mais Musk est-il vraiment un défenseur de la liberté d’expression ou s’agit-il d’un cas d’exception pour la Palestine ? D’une part, Musk a agi contre la censure en restaurant de nombreux comptes Twitter. Il a agacé la Ligue anti-diffamation (ADL). La ligue sioniste a appelé à un boycott publicitaire en raison du fait que de nombreux membres clés du personnel de Twitter mettant en œuvre la censure anti-palestinienne, de concert avec les groupes sionistes, ont été licenciés.
Musk a également autorisé la publication des fichiers dits « Twitter ». Parmi les nombreux secrets révélés à l’échelle industrielle, les demandes faites par le FBI, la CIA et le Pentagone pour supprimer les comptes Twitter des journalistes indépendants et protéger les comptes de propagande secrets gérés par le gouvernement américain. Mais Musk semble également être proche d’Israël.
En 2018, il s’est rendu en Palestine occupée et a rencontré le Premier ministre Benjamin Netanyahu dans sa résidence privée pour discuter de la manière d’apporter les technologies du futur en Israël. Ces dernières semaines, M. Musk a fait l’éloge du compte Twitter du ministère israélien des Affaires étrangères affirmant que davantage de pays devraient utiliser la plateforme comme le fait l’entité sioniste.
