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Des agents des services secrets français arrêtés passent aux aveux

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
La DGSE a concocté plusieurs scénarios à l’effet d’éclipser les activités de leurs agents à l’intérieur de l’Iran. (Une scène des émeutes en Iran/via l'agence de presse Tasnim)

Des sources dignes de foi indiquent que les services d’espionnage français, DGSE, ont concocté plusieurs scénarios à l’effet d’éclipser les activités de leurs agents à l’intérieur de l’Iran.

Selon l’agence Fars, suite à la récente diffusion d’un documentaire à la télévision publique intitulé « L’histoire d’une mission » ou deux agents de la DGSE (Direction générale de la Sécurité extérieure) arrêtés en Iran reconnaissent avoir été chargés de s’impliquer dans les troubles sur le territoire iranien, des informations fiables indiquent que le renseignement français projetterait plusieurs scénarios y compris l’enlèvement de personnalités iraniennes à l’effet de les échanger contre ses deux agents. 

Une source bien informée, a déclaré sous réserve de ne pas révéler son nom, que la DGSE prévoyait d’amener d’une façon ou d’une autre plusieurs anciens responsables militaires, de sécurité ou judiciaires iraniens dans l’un des principaux pays européens avant de les arrêter et de faire d’eux une monnaie d’échange un peu à l’image du diplomate iranien Hamid Nouri que la Suède a arrêté suivant un scénario similaire. 
La source mentionnée a ajouté qu’il y aurait un deuxième scénario selon lequel la France activerait l’un des meneurs des troubles en Iran le dénommé Ardeshir Amirarjamand, pour qu’il annonce officiellement son entrée en scène pour assumer le « leadership des émeutiers ». Selon ces informations, la DGSE estimait que les émeutes en Iran se tassaient, et pour empêcher que les troubles ne s’éteignent, il faut fabrique une figure de sédition un peu à l’image de ce qui s’est passé en 2011 en Syrie. 


Il convient de mentionner que le fugitif accusé Ardeshir Amirarjamand était en prison sous l’inculpation d’espionnage pour le compte des services de renseignement français. Son frère est également membre du quartier général du groupe terroriste OMK qui vit en France, à Strasbourg.
La source informée affirme fournir de plus amples informations ultérieurement.  

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SOURCE: FRENCH PRESS TV