Au sommaire :
1-Iran : USA, pirates de l’air !
Début août, le département américain de la Justice a officiellement déclaré qu’il cherchait à saisir un avion survolant l’Amérique du Sud. Plus tard, il s’est avéré que l’Airbus en question était un cargo 747 de Venezuelan Airlines, un 747 dont l’ancien propriétaire était une compagnie aérienne iranienne. Mais comment se fait-il que cet avion-cargo 747 vénézuélien soit bloqué en Argentine depuis début juin et que seule une partie de son équipage ait pu quitter le pays.
PressTV français y revient : Hier lundi 5 septembre 2022, les médias iraniens ont relayé un reportage détaillé sur les circonstances de ce piratage [interétatique NDLR] de l’ex-747 iranien avec son équipage à bord.
Selon les médias iraniens, l’avion avait été transféré de la compagnie aérienne iranienne Mahan Air à Emtrasur, une filiale de la compagnie d’État vénézuélienne CONVIASA (el Consorcio Venezolano de Industrias Aeronáuticas y Servicios Aéreos), une compagnie aérienne soumise aux sanctions des États-Unis.
Interrogé par l’agence de presse iranienne, fars news, le fils du pilote iranien de l’avion vénézuélien affirme que le régime d’occupation israélien, les États-Unis et les sionistes argentins étaient tous derrière ce complot, une machination dont le but principal était de s’assurer que l’avion en question avec son équipage à bord reste sur le tarmac de l’aéroport argentin sachant qu’Israël considère l’Argentine comme une deuxième terre sainte promise en Amérique du Sud.
L’avion-cargo a été saisi en Argentine ce 6 juin alors qu’il effectuait un vol en provenance du Mexique après avoir tenté de faire une escale d’urgence en Uruguay. Son équipage était alors composé, lors de ce vol, de 14 Vénézuéliens et de cinq Iraniens. Deux semaines après la publication de la nouvelle, les Vénézuéliens ont protesté contre la saisie de l’avion des lignes vénézuéliennes.
En effet, l’avion a été cloué au sol « après que les États-Unis, le régime sioniste et l’Angleterre » ont donné leur feu vert, a déclaré Hossein, le fils du pilote principal de l’avion, le capitaine Gholamreza Ghasemi.
Hossein ne doute pas une seconde que la saisie de l’avion par le gouvernement argentin était un coup monté, car selon lui « lorsqu’un avion s’apprête à voler, avant le décollage, le pilote doit d’abord avoir effectué tous les formalités et préparatifs indispensables à son vol et cela comprend l’obtention de toutes les autorisations nécessaires du décollage à l’atterrissage en passant par celles délivrées par les aéroports sur sa route ainsi que celles des aéroports de remplacement en cas d’atterrissage forcé.
Tous les services de navigation aéroportuaire, de communication, de ravitaillement, comprenant ceux de lutte contre les incendies et de radio doivent être accordés au pilote avant qu’il puisse acquérir son plan de vol, et ce, en toutes circonstances », explique Hossein Ghasemi. Notre avion disposait alors de toutes les autorisations nécessaires avant de décoller pour l’Uruguay et son pilote avait pris soin d’enregistrer sa trajectoire de vol. « Lorsque le pilote volait vers l’Uruguay, il n’a signalé aucun problème, mais tout à coup, l’Uruguay annonce qu’il n’autorise pas son débarquement !
Mon père a donc dû atterrir à l’aéroport argentin pour faire le plein, ce qui a été refusé aussi par les autorités du pays qui est l’arrière-cour des sionistes », poursuit Hossein assurant que son père avait volé pour de nombreuses compagnies aériennes et qu’il s’était envolé pour Dubaï, Damas, Paris et bien d’autres villes sans jamais rencontrer ce genre de problème. « Il y a un an, l’avion-cargo Boeing 747-300 a été vendu au Venezuela] dans le cadre d’un partenariat entre l’Iran et le Venezuela. C’est précisément pour cette raison que mon père s’est rendu au Venezuela pour former des pilotes dans le cadre d’un accord entre l’Organisation de l’aviation civile iranienne et le Venezuela.
Possédant une flotte considérable de 747 datant de l’ère pré-révolutionnaire, l’Iran a acquis une solide expérience dans le pilotage de cet engin, explique Hossein, insistant sur le fait que ces vieux avions parviennent encore à sillonner les cieux et que les pilotes ont un vaste savoir-faire unique au monde pour les maintenir en l’air : ils ont révolutionné leur capacité, se félicite Hossein.
« Grâce à son parcours et à son expérience, mon père était considéré comme l’une des personnes les mieux placées pour transmettre son savoir aux autres en tant que maître pilote pour les différentes étapes de vol », nous raconte fièrement le fils du pilote. Un pilote iranien qui a été pris en otage par le gouvernement argentin, en guise de remerciement, à quelqu’un qui a passé un an à former des pilotes vénézuéliens et a effectué divers vols en Amérique du Sud.
« Il a volé plus de 100 fois sur différentes routes en Amérique latine. Par conséquent, sa présence et celle d’autres équipages iraniens en Amérique latine n’étaient pas une nouveauté, et il est naturel que lorsqu’un pays achète un avion, il utilise le maître pilote de ce pays pour transférer sa technologie et pour Hossein, c’est une pratique courante. C’est Bizarre « et pendant ce temps, toutes sortes de lois internationales et de l’aviation ont été violées pour que cela se produise », a déclaré Hossein Ghasemi, qui a eu du mal à cacher son étonnement. « Mon père a de l’expérience acquise en tant que pilote militaire dans des zones de guerre pendant la Défense sacrée [guerre Iran-Irak] et il a également de l’expérience dans le vol commercial avec différentes compagnies aériennes. Bien sûr, c’est une chose naturelle, et les pilotes militaires du monde entier partent sur des vols commerciaux après leur retraite. La plupart des pilotes en Amérique et dans d’autres pays embrassent une carrière militaire et une fois à la retraite, ils travaillent pour différentes compagnies aériennes, tout comme les différentes compagnies aériennes de notre pays.
En fait, personne ne peut blâmer les pilotes américains, britanniques et européens parce qu’ils ont fait des vols militaires avant leurs vols commerciaux, et il doit en être de même en Iran ou dans n’importe quel autre pays du monde », a-t-il argumenté.
Dans son interview accordée à Al Mayadeen Espanol, le capitaine Ghasemi a réaffirmé qu’il n’était qu’instructeur de vol et n’avait aucun lien avec l’armée iranienne depuis sa retraite si ce n’est qu’il a combattu dans la guerre Iran-Irak (1980-1988) en tant que volontaire dans la mobilisation populaire Basij. Le capitaine pilote Gholamreza Ghasemi et son copilote faisaient partie des Iraniens détenus par l’Argentine.
Ce piratage d’État coïncide avec le voyage du président vénézuélien Nicolas Maduro en Iran le 10 juin. Maduro s’est rendu en République islamique pour annoncer un accord de 20 ans avec l’Iran. L’avion-cargo est resté immobilisé pendant 48 heures après son atterrissage avant de reprendre sa route, tandis que le dirigeant vénézuélien préparait lui-même son voyage. « Le régime sioniste et les États-Unis essayaient de créer toute une histoire pour perturber les relations Iran-Venezuela. À cause de cela, l’équipage dudit vol a été pris en otage », explique Fars.
Mais Hossein ne sait-il pas encore que nous vivons dans le monde à l’envers où beaucoup de gens marchent sur la terre et la pluie tombe de la terre ?
Avec PressTV anglais
2-La France se militarise
En prévision des crises futures, le ministère des Armées entend augmenter le nombre de réservistes
Dans un entretien au Figaro, Sébastien Lecornu a annoncé que le gouvernement souhaitait doubler le nombre de réservistes disponibles dans l’armée. Il a notamment évoqué un éventuel assouplissement des critères d’admission. Le ministre des Armées Sébastien Lecornu a confié le 5 septembre au Figaro avoir engagé une réflexion pour doubler le nombre de réservistes et mieux « utiliser » les 40 000 existants qui pourraient être appelés à jouer un « rôle majeur » en cas de crise.
En cas de menace hybride ou de crise, les réserves peuvent jouer un rôle majeur « Nous avons aujourd’hui 40 000 réservistes qui ne sont d’ailleurs pas toujours suffisamment bien utilisés. Nous menons actuellement une réflexion profonde d’organisation », déclare-t-il dans cet entretien, alors que le président Emmanuel Macron a annoncé en juillet son intention de « doubler le volume des réserves opérationnelles des armées ». Baisser les critères d’admission ?
« En cas de menace hybride ou de crise, les réserves peuvent jouer un rôle majeur pour permettre aux armées de monter en puissance, y compris en suppléant les militaires d’active appelés à d’autres tâches », fait valoir le ministre, qui a pour « priorité » de « démultiplier les réserves au sein du SSA », le service de santé des armées. Pour augmenter le nombre de réservistes, « il faut aussi réfléchir aux critères d’admissibilité physique ou de santé », souligne-t-il : « Certains concitoyens sont refusés pour leur poids ou leur âge : or ils peuvent être détenteurs d’une compétence cyber, par exemple, essentielle ! » Sébastien Lecornu appelle par ailleurs les employeurs à la « bienveillance avec leurs salariés réservistes ».
Interrogé sur le souhait d’Emmanuel Macron de voir les armées françaises « faire davantage » pour développer le Service national universel (SNU) visant les jeunes, Sébastien Lecornu y est favorable, malgré les réticences d’une grande partie des militaires. « Les militaires sont prudents quand ils pensent qu’on veut les détourner de leur mission centrale. Mais il y a un avant et un après 24 février », date du déclenchement de l’opération russe en Ukraine, fait-il valoir.
« La question de la résilience du pays, en cas de conflit ou de choc majeur, préoccupe les militaires. Ils savent très bien qu’ils auront besoin du soutien de tous pour remplir leur mission », estime-t-il. Le Service national universel (SNU), promesse de campagne d’Emmanuel Macron, a été lancé en 2019 et a pour objectif de toucher 50 000 jeunes au total cette année via des stages de cohésion. Quant au projet d’encadrement militaire de mineurs délinquants évoqué par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, « des expérimentations sont déjà en cours à la Réunion, en Bretagne et dans l’Eure », sous la houlette du ministère de la Justice, selon Sébastien Lecornu. Toutefois, précise le ministre, « ne sollicitons pas les armées pour compenser certaines défaillances de notre société », en leur demandant par exemple de conduire des bus scolaires faute de chauffeurs, au risque de « perdre de vue le sens profond de la mission initiale du soldat ».
Source : RT France
3-Liz, la nucléaire à la tête du royaume Albion !
Comme prévu l’Ubu impérial sera belliciste ou ne sera pas
Tout se passe comme prévu : Lizz Truss est désignée au poste de Premier ministre du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord.
L’opération Ubu impérial est l’aboutissement logique des premières révolutions précolorées en Europe de l’Est à la fin des années 80, l’échec de la révolte de Tiananmen en Chine (1989), la dissolution de l’ex-URSS 1991), la deuxième guerre du Golfe (1991), l’éclatement de l’ex-Yougoslavie (1992), l’usage du terrorisme islamiste comme outil géostratégique (1998-2001), l’invasion et l’occupation de l’Afghanistan (2001-2021), l’invasion de l’Irak (2003), les fausses insurrections et l’ingénierie de la contre-insurrection locale, le fameux printemps dit arabe dans le sillage de la campagne des révolutions colorées (orange en Ukraine, rose en Géorgie, verte en Iran, etc.), la guerre en mode Stay Behind contre la Libye, la Guerre hybride à haute intensité contre la Syrie, poursuite et montée en gamme de la guerre économique et la manipulation financière des marchés visant des pays précis (avec faillite de certains États comme résultat logique), l’échec de l’outil du terrorisme (Al-Qaïda, Daech) et changement de paradigme vers la guerre commerciale contre la Chine puis la guerre biologique latente utilisant des vecteurs pathogènes à faible létalité et à fort potentiel disruptif quand il est associé à une manipulation de masse et enfin l’attirance de la Russie dans la madrague constituée par le déploiement de l’OTAN vers l’Est (pays baltes, Ukraine, Roumanie, Bulgarie puis Finlande et donc à la frontière de la Russie occidentale) et montée en puissance des provocations contre la Chine (embargo technologique, déploiement militaire US à Taïwan, fin de la politique ambiguë d’une seule Chine, etc.). Le tout sur fond d’un réajustement de l’économie mondiale en crise et la mise en place d’un totalitarisme de la non-pensée via les géants du numérique, instruments de la nouvelle Stasi. La suite logique de ce redéploiement est la guerre, pour le moment unilatérale et poussant à chaque fois le seuil de la conflagration finale vers un niveau jamais atteint.
Les deux conflits mondiaux du XXe siècle n’ont pas été suffisants à imposer le « Nouvel ordre mondial » dont son acception dans le corpus des puissances de l’argent Fiat et de la manipulation des marchés. La troisième guerre mondiale, hybride pour l’instant, pourrait aboutir non sur un reset (remise des compteurs à zéro pour recommencer sur une base nouvelle), mais un désastre inédit au moment où l’humanité a dépassé le seuil de huit milliards d’habitants sur Terre. Un chiffre inacceptable pour certaines élites, lesquelles affirment publiquement vouloir non seulement réduire l’humanité en termes démographiques, mais la réduire à un esclavage perpétuel.
Le système dominant a échoué et son échec est patent. L’Ubu impérial tente de le sauver, mais y parviendra t-il ? Il semble que sa réussite ou son échec seraient susceptibles de le mener à un résultat unique, dans l’ordre de l’entropie et donc un effondrement inévitable. Cet effondrement entraînera systématiquement celle de l’ordre sociopolitique, économique et culturel du monde. Ce sera la chronique des temps qui s’annoncent. Accrochez (et serrez) vos ceintures, ça risque de secouer très fort !
Source : Strategika 51
4-Qui est le vrai terroriste nucléaire ?
« Terrorisme nucléaire » : L’Ukraine avoue être à l’origine des frappes contre la centrale nucléaire de Zaporijia
Par Le Média en 4-4-2.
Les médias occidentaux avaient suivi l’hypothèse absurde que la Russie s’autobombardait… À la suite des demandes incessantes du Kremlin pour que l’AIEA (Agence internationale de l’énergie atomique) vienne inspecter les lieux et constater les faits, le vent vient de tourner devant l’évidence.
L’Ukraine ne peut qu’admettre être seule responsable des frappes à proximité de la centrale nucléaire de Zaporijia et d’avoir risqué une catastrophe nucléaire sans précédent, mettant ainsi en danger la totalité des pays européens. Nous pouvons parler ici de « terrorisme nucléaire » ! Le directeur général de l’AIEA Rafael Grossi dénonce : « L’intégrité physique – de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijia – a été violée à plusieurs reprises ». « C’est quelque chose qui ne peut pas continuer à se produire », a-t-il ajouté.
BFMTV ira de son petit commentaire mesquin, mais sera contrainte à dire la vérité aux téléspectateurs après des mois de mensonges :
L’Ukraine affirme avoir frappé la ville où se trouve la centrale nucléaire de Zaporijjia pic.twitter.com/0x5XsCxeUc
— BFMTV (@BFMTV) September 2, 2022
Rafael Grossi a également annoncé la prolongation de la visite à la centrale (ZNPP) jusqu’au 4 ou 5 septembre. « Il y a deux groupes d’experts techniques de l’AIEA. Un groupe travaillera au ZNPP jusqu’au 4 ou 5 septembre pour évaluer la situation. Ils doivent formuler les premières questions, les premières données, donner une évaluation préliminaire, puis ils prépareront un rapport ». En outre, deux membres de la mission de l’AIEA resteront à la centrale de manière permanente.
La présence des employés de l’AIEA à la centrale nucléaire de Zaporijia sera une garantie que l’armée ukrainienne ne se risquera pas – nous l’espérons – à bombarder la centrale, car dans ce cas, les responsables de l’ONU deviendront les témoins du crime du régime de Kiev.
Source : Le Média en 4-4-2
Envoyé par Rosine Stefanini
5-La Russie tue l’euro !
Bloomberg : la Russie a fait chuter l’euro avec la manœuvre du gaz
Agence fédérale de presse
L’euro est tombé à son plus bas niveau en 20 ans lorsque la Russie a coupé le gaz vers l’Europe. L’analyste de Bloomberg Abhinav Ramnarayan écrit à ce sujet. PolitRussia publie un récit exclusif du matériel.
L’économie européenne a commencé à décliner rapidement après l’aggravation de la crise énergétique dans l’UE. Et la décision de la Russie sur l’approvisionnement en gaz, comme le note l’auteur, n’a fait qu’accélérer le rythme du déclin, et à un moment plutôt critique pour l’Europe, avant le froid hivernal.
Les contrats à terme sur l’euro et les actions européennes ont chuté après que la Russie a exacerbé la crise énergétique du continent en fermant les principaux robinets de gaz, signalant un hiver long et froid pour les entreprises et les ménages.
Les pays européens, menés par l’Allemagne, ont annoncé des mesures pour lutter contre la crise du coût de la vie et la flambée des prix de l’énergie après que Gazprom a annoncé vendredi qu’il interromprait indéfiniment l’approvisionnement via le gazoduc Nord Stream
En conséquence, l’arrêt a provoqué l’effondrement de l’euro : il a chuté de 0,7 % (à 0,98 $) lundi, sa plus faible performance depuis 2002, tandis que les contrats à terme sur l’Euro Stoxx 50 ont chuté de 3,3 %.
« L’euro a de nombreux défauts, surtout si l’on considère que le plein impact d’une réduction indéfinie des approvisionnements en gaz russe vers l’Europe est encore à venir. Pas de gaz ne signifie pas de croissance et une Banque centrale européenne belliciste », a déclaré
L’approvisionnement en carburant de la Russie vers l’Europe a commencé à décliner avec le début de la crise ukrainienne et l’introduction de sanctions anti-russes. De nouveaux problèmes, tels que l’arrêt de Nord Stream 1, menacent des pertes colossales pour l’Union européenne, écrit l’analyste.
« De nouveaux problèmes d’approvisionnement énergétique avant l’hiver menacent d’exercer une pression supplémentaire sur l’économie régionale, la hausse des prix à la consommation poussant la BCE à resserrer sa politique monétaire », indique la publication.
La BCE est désormais confrontée à deux défis majeurs : faire face à une inflation sévère et à une récession imminente. Comme Su-Lin ONG, responsable de la stratégie économique australienne à la Banque Royale du Canada, l’a déclaré à un moment donné, les marchés européens se demanderont : quel niveau d’inflation les banques centrales européennes sont-elles prêtes à tolérer ?
« Une croissance économique plus faible ou une récession et un marché du travail plus faible sont un prix à payer, mais une hausse soutenue des prix de l’énergie pourrait influencer la mesure dans laquelle la BCE agira à la fois cette semaine et tout au long du cycle », a déclaré l’ONG.
Plus tôt, PolitRussia a cité l’opinion de l’économiste Stanislav Mitrakhovich sur le terrible avenir qui attend l’Allemagne si elle perd du gaz russe.
Source : politros.com