Quelle est l’arme la plus puissante pour menacer l’existence d’un pays ou d’un régime ? S’agit-il de l’arme nucléaire ou la panique continue de ses habitants face à l’avenir, la guerre civile et leur méfiance totale envers les autorités en place ? Bien sûr, la deuxième option qui se passe en Israël et qui s’aggrave compte tenu des enquêtes faisant état de l’arrivée au pouvoir du parti d’extrême droite du régime israélien réputé pour son raciste extrême qui peut devenir la meilleure option à côté des menaces internes et externes pour pousser Israël à répéter le scénario de la fuite collective des Israéliens et de l’effondrement de ce régime.
En rappelant la fuite de 10 000 Israéliens de Tel-Aviv lors de la première guerre du golfe Persique en 1991, qui fut un grand scandale pour Israël, les Israéliens se retrouvent sur le point de vivre la même débandade (la fuite collective des sionistes) décrite par Shlomo Lahat le maire de l’époque de Tel-Aviv comme une grande trahison.
Le scénario de la fuite massive des sionistes s’est répété une fois de plus lors de la deuxième guerre entre Israël et le Liban en 2006, lorsque le Hezbollah du Liban a ciblé le nord de la Palestine occupée, plus précisément les zones au-delà de Haïfa avec ses missiles, ce qui a provoqué la fuite de plus d’un million de sionistes du nord des territoires occupés vers le centre de la Palestine.
Reconnaissant la supériorité militaire du Hezbollah par rapport de nombreux pays membre de l’OTAN, Avigdor Lieberman, ancien ministre de la Guerre du régime sioniste, a admis que l’armée israélienne n’avait gagné aucune guerre contre les Arabes depuis la guerre de 1967.
Malgré le fait que les responsables israéliens ont fait tous leurs mieux pour faire d’Israël un acteur sur la scène internationale en signant des accords militaires et politiques avec d’autres pays, mais les développements intérieurs au sein du régime sioniste fais état de son effondrement plus rapidement que jamais.
Évoquant la chute des gouvernements juifs les uns après les autres au cours des siècles les experts militaires et politiques israéliens ont mis en garde ces dernières années à maintes reprises les responsables israéliens contre les menaces intérieures et extérieures étant capables d’éliminer définitivement le régime sioniste.
Mais quel est le plus grand cauchemar d’Israël ? Menaces de la Résistance palestinienne et libanaise ? Peur de répéter l’expérience de subir de lourdes pertes lors d’une nouvelle opération de L’Épée de Qods ? Bien sûr, tout cela. Mais il faut ajouter l’inquiétude généralisée des Israéliens face à la guerre civile et leur méfiance envers le cabinet actuel et pire encore envers le prochain cabinet israélien.
Ce qu’Israël a toujours recherché et n’a jamais obtenu c’est d’être reconnu par d’autres pays sur la scène internationale. Israël a toujours vécu la peur et l’anxiété en particulier après l’assassinat de l’ancien Premier ministre israélien Yitzhak Rabin en 1995 lors que la situation politique s’est affaiblie plus qu’avant en Israël.
Ce processus s’est aggravé dans les années suivantes avec l’arrivée au pouvoir de cabinets israéliens dont chacun était non seulement impliqué dans des conflits internes, mais était également en opposition avec des cabinets suivants.
