Pour la sixième journée consécutives depuis ce jeudi date à laquelle deux combattants palestiniens ont franchi le mur de séparation, se sot rendu à Lod en Palestine historique avant de descendre vers Elad où ils ont réussi à liquider trois officiers sionistes que l'entité a tentés de faire passer pour des civils, bien qu'en Israel, base militaire US au Moyen-Orient, il n'y ait pas de civils, une attaque anti israel a eu lieu ce mardi cette fois ci à Naplouse. Hier c'était à Tulkarem, avant hier à Qods, signe que la chose "sécuritaire"échappe désormais totalement à l'armée israélienne prise entre deux feu, une intervention contre Jénine où 15 000 jeunes palestiniens prêts à tout l'attendent de pieds fermes ou une action militaire contre Gaza, option encore plus risquée puisque Gaza de 2022 est une puissance balistique qui contrôle pratiquement la mosquée d'al Aqsa et dont les ordres sont suivis en Cisjordanie mais aussi en Palestine historique.
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L'exercice, qui durera quatre semaines, devrait simuler en effet une guerre multifronts et multidimensionnelle dans les airs, en mer, sur terre et sur le cyberfront car l'entité le sait, une Epée de Qods II ne ressemblera que vaguement à la première Epée de Qods tant est grand le bon en avant de la Résistance palestinienne ces 12 derniers mois à l'effet de réunifier la Palestine et agir en interconnectivité parfaite.
Mais pourquoi Israël n’est pas en mesure de mettre fin aux opérations palestiniennes ?
Haaretz écrit : "Quel que soit leur emplacement géographique, les Palestiniens misent désormais sur Gaza et sa Résistance, même s’ils habitent dans les territoires de 1948. Selon les sondages, les Palestiniens ne considèrent plus l’Autorité autonome comme leur « représentante » puisque cette dernière agit de concert avec les occupants sionistes. C’est ainsi que les Israéliens ne peuvent plus compter sur des désaccords quelconques entre les Palestiniens en Cisjordanie, les habitants de Qods, les Palestiniens de la bande de Gaza et les habitants des territoires occupés en 1948. Maintenant, Tel-Aviv est bel et bien convaincu que ce sont les Palestiniens, dans leur ensemble, qu’il devrait confronter. les sept opértaions commandos récentes en apportent la preuve.
Au cours des six dernières semaines, au moins 19 sionistes ont été tués et plus de 31 autres blessés, lors des opérations palestiniennes. La nouvelle donne maintient les services de sécurité et les colons sionistes dans un état d’alerte continue au point tel qu'Israël est désormais incirculable. "
Jusqu’où durera cet état de choses? Les Sionistes pourront- ils tenir longtemps et à refuser de rendre la Palestine à ses véritables propriétaires? Les opérations antisionistes sont menées par un ou deux commandos palestiniens et peuvent survenir n’importe où et n’importe quand, sans aucun préavis. Les opérations de ce genre sont pratiquement imprévisibles.
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À cet égard, les milieux militaires et sécuritaires du régime sioniste ont vivement critiqué les cercles décisionnels du ministère de la Guerre et du Service de sécurité intérieure israélien pour avoir fermé les yeux sur les événements qui se sont déroulés dans les quatre coins de la Palestine occupée, en particulier dans la mosquée Al-Aqssa, ainsi que pour être restés les bras croisés face au tir de plusieurs roquettes depuis la bande de Gaza et le sud du Liban et devant les propos vifs Yahya Sinouar et d'autres dirigeants du Hamas. Mais que peut faire Bennet? Rien absolument rien car le moindre geste de sa part et c'est le volcan qui part en feu . Tout à l'heure un site palestinien remémorait "les armes qui ont fait le malheur d'Israël en mai 2021" :
Missile Ayyash-250 , dont la portée est de 250 km soit de Gaza jusqu'à Tel-Aviv et à haute capacité de destruction
Missile A-120, l'engin dont la portée est de 120 km soit pour labourer la totalite des colonies du sud d'Israel.
Missile SH 85, d'une portée de 85 kù et d'une capacité de destruction importante
Mais outres les missiles Epée de Qods a aussi impliqué des drones Shahab made in Palestine et à l'aide de quoi l'usine de substance chimique de Nahel OZ mais encore le site offshore Tamar au large de Gaza.
Puis un drone inconnu dont la conception est dure au martyr tunisien de la Résistance Al Zawari tué par le MOssad en 2016. Ce drone a largement servi Gaza pour identifier les colonies et les sites sensibles israéliens.
Après la multiplication des opérations antisionistes, surtout suite à l'opération d’Elad, certains observateurs estiment que la position du cabinet du Premier ministre du régime sioniste, Naftali Bennett, met en danger l'entité car, depuis son arrivée au pouvoir, il n'a pu neutralisé aucune des menaces au niveau sécuritaire. Et ceci serait un bon prétexte pour déclencher la guerre. D'autres analystes y voient surtout un piège tendu à Israël pour qu'il tombe et decouvre en 2022 toutes les surprises que la Résistance a préparée à son encontre...
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Toujours est-il qu'en plus de modifier l'équilibre de la terreur entre la Résistance palestinienne et l'armée sioniste, surtout après la bataille de « l'Épée de Qods » en mai de l'année dernière, les opérations antisionistes font entrer le conflit israélo-palestinien dans une nouvelle phase ; une phase terrifiante et difficile pour Israël, qui, comme l'a déclaré le secrétaire général du Hezbollah dans son discours à l'occasion de la Journée mondiale du Qods, pourrait même voir son projet sioniste se faire éliminer voir disparaître de toute la région.
