La connexion internet de plusieurs villes françaises a été perturbée mercredi matin après des actes de vandalisme. Des coupures ont été effectuées sur des câbles de fibre optique, pénalisant principalement des clients de l'opérateur Free. Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire, selon France Bleu.
Plusieurs villes ont été impactées par ces ruptures de liaisons de fibre optique, constatées dans la nuit de mardi à mercredi, notamment dans la région grenobloise, Besançon, Reims, Lyon, l'Alsace et en Ile de France.
L'opérateur Free a confirmé, signalant sur Twitter de « multiples actes de malveillances » sur l'infrastructure fibre survenus durant la nuit et désormais « circonscrits ».
Le ministère de l'Économie a confirmé à l'AFP avoir été informé du problème de « tuyaux sectionnés » qui pourraient correspondre à des actes de vandalisme.
Des policiers ont tiré dimanche à Paris sur un véhicule qui a tenté de les percuter, tuant deux occupants du véhicule et en blessant un troisième, a appris l'AFP de source policière, le soir de l'élection présidentielle française.
Ces événements se sont produits sur le Pont-Neuf, dans le centre de Paris, le soir de la réélection d'Emmanuel Macron à la présidence française.
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En visite dans le Val-d'Oise, le président Macron a été ciblé par le jet d'une tomate. Ce mercredi 27 avril, Emmanuel Macron s'est rendu dans la ville de Cergy-Pontoise (Val-d'Oise), à l'occasion de son premier déplacement après sa réélection, trois jours plus tôt.
Alors que le président échangeait avec des badauds au milieu des étals sur un marché de Cergy-Pontoise, dans la banlieue nord-ouest de Paris, plusieurs sachets contenant des tomates cerises ont été lancés dans sa direction, sans l’atteindre.
Emmanuel Macron a été réélu dimanche avec 58,54% des voix contre 41,46% à sa rivale d’extrême droite Marine Le Pen.
Suite à l’annonce de la victoire de Macron, des milliers de protestataires sont descendus dans la rue pour exprimer leur colère contre le résultat des élections. La police a attaqué les manifestants à coup de gaz lacrymogène et des affrontements ont eu lieu entre d’une part les policiers et les manifestants et de l’autre entre les pro et les anti-Macron.
