Au train où vont les événements la Russie n'aura aucun autre choix que de prendre d'assaut cette usine sidérurgique en plein ville de Marioupul devenu le QG des officiers défaits américains, britanniques, français et allemands et autres : le conseille du maire de Marioupol, un sympathisant des brigades d'Azov vient de l'annoncer : cet ultimatum russe de six heures lancés aux forces ukrainienne au dela de quoi la Russie passerait à l'attaque ne leur fait ni chaud ni froid, ils continueront à se battre contre " l'envahisseur russe" : "Les Russes tentent de faire croire que les combats se limitent à l'usine AzofStal, c'est faux! samedi soir, des combats ont éclaté dans le quartier de Taganrog à cinq km de l'usine, ... ce qui prouve qu'on ne veut pas de ce "corridor de capitulation" ( corridor humanitaire, NDLR) que la Russie a établi. " cette surenchère signifie donc que cette nouvelle flambée de combat déclenchée dans la foulée du naufrage de Moskova, navire amiral russe abattu jeudi dernier à quelques 200 km du port d'Odessa est promis à durer ou en d'autres termes, la communication entre le QG de l'OTAN à Maroupiol où un général et spécialiste US continuerait à déchiffrer les messages satellites US/OTAN n'est pas encore coupé dans la ville et que les unités dites ukrainienne continuent à vivoter.
Tout à l'heure, les sources russes ont fait état de la mort d'un premier mercenaire US à Mariopoul pour cause de refus de se rendre, un certain Caesar Quintano, qui, selon des données préliminaires, aurait fait partie d'une société militaire américaine privée. plus tot ce vendredi, les sources russes avaient confirmé avoir mis la main sur un certain nombre de mercenaire,aires de l'OTAN dont quelqus-uns se seraient m^me fait une réputation sur la toile et pas n'importe quelle réputation. L'intéressé aurait servi sa Majesté en Syrie et en Irak à titre de formateur des terroristes daechistes avant d'échouer en Ukraine.
Avia.pro, source russe proche de l'armée russe écrit : "
"Un mercenaire britannique bien connu a été capturé à Marioupol. Les unités de la Russie et de la RPD, engagées dans la poursuite de la prise de contrôle de Marioupol, ont réussi à capturer un mercenaire britannique bien connu. Selon un certain nombre de sources, le mercenaire britannique Sean Peter a participé à diverses opérations militaires, notamment en Syrie, en Irak et dans d'autres pays, mais selon toute vraisemblance, son succès s'est terminé en Ukraine. Les circonstances de sa capture restent inconnues, cependant, dans une interview, le mercenaire britannique déclare qu'il ne veut plus combattre aux côtés de l'Ukraine et veut rentrer chez lui. Soit dit en passant, cela est très peu probable, car le sort d'un citoyen britannique sera décidé par une enquête et, très probablement, par un nouveau procès, à condition que Sean Peter ne devienne pas l'un de ceux qui décident d'être échangés contre des prisonniers. À ce jour, il s'agit du deuxième mercenaire britannique capturé à Marioupol. Dans le même temps, selon les experts, au total, jusqu'à 200 à 300 mercenaires et militants étrangers d'Europe, du Moyen-Orient et des États-Unis pourraient se trouver dans la ville.
La question est désormais la suivant : à quand cet assaut contre AzovStal? En effet depuis que le méga navire Moskova de classe Slava a a fait naufrage sous les yeux parfaitement ahuris des Russes, incident qualifié par certains journaux russe de "début de la troisième guerre mondiale" cet assaut ne peut ne pas avoir lieu surtout que la version mise en avant par le Pentagone sur la cause du naufrage de Moskova est bourrée de zones d'ombre et ne font que de susciter davantage de questions, genre, le croiseur a-t-il été touché par des missiles anti-navires ukrainiens ou a-t-il coulé à la suite d'un incendie provoqué à bord en raison d'une négligence ou d'un dysfonctionnement des systèmes ? Cette question n'a pas de réponse évidente. Il est probable qu'une frappe de missile ait eu lieu. Mais 1-2 missiles anti-navires ukrainiens ne sont certainement pas la cause directe du naufrage du navire. Premièrement, un navire de cette classe peut être coulé si un ISCM touche les composants clés du navire au niveau de la ligne de flottaison ou touche l'ogive principale du missile, qui n'est évidemment pas stockée "sur le pont".
La question se pose donc de savoir ce qui a réellement causé le naufrage du croiseur. Il semble qu'il n'y ait que deux réponses possibles à cette question. C'est soit l'incapacité de l'équipement de lutte contre les incendies du croiseur à faire face aux incendies provoqués par les missiles en quelques heures. Ou l'attaque d'un sous-marin de l'OTAN, coordonnée avec la frappe de missiles des antinavire ukrainiens. Mais il y a surtout cette autre question : Pour quelle raison les défenses aériennes du croiseur ont-elles été incapables de repousser les frappes de missiles 1-2 ou l'équipage n'a-t-il pas été en mesure de faire face au feu à bord ? Ces DCA ont-elles été hacké par les drones turcs Bayraktar qui n'ont d'ailleurs pas trop brillé en champ de bataille en Ukraine au contraire de leur première apparition dans le Haut Karabakh?
Certains analystes affirment que le croiseur Moscow était un navire lance-missiles et que sa propre capacité de défense aérienne était limitée par son objectif de combat et les spécificités de sa construction. Le croiseur a été lancé il y a 43 ans. La couverture de défense aérienne du croiseur devait être assurée par des navires d'escorte, tout comme cela se fait avec les porte-avions américains ou les grands navires d'attaque d'autres pays. En ce qui concerne l'incendie à bord, des problèmes avec le système de lutte contre l'incendie ont déjà été signalés sur de grands navires russes. Dans ce cas une question se pose: n'était il plus sage de ne pas faire appareiller un méga navire comme Moskova près des côtes ukrainiennes quitte à le faire remplacer par de petites frégates et destroyers? Après tout le modèle d'une asymétrisation des combats navals, le CGRI iranien l'a déjà fourni de 2019 à 2021 où ses vedettes rapides, des destroyers et frégates ont coupé le souffle à l'US Navy au point de pousser l'ex commandant en chef du CentCom, McKenzie à faire plier ses unités sur la cote ouest saoudienne soit en face de la mer Rouge.
De tout cela, il ressort qu’en raison du développement d'armes anti-navires, y compris des missiles de croisière et des missiles balistiques, ainsi que des jets supersoniques, les croiseurs deviennent une cible appropriée pour les missiles côte-mer. Que ce soit les NEptun ukrainiens ou les Harpoon US, le Moskva n'aurait dit rester là il était resté ce jeudi. On se rappelle fort bien comment fin 2020 au plus fort des tensions US/Iran, les portes-avions américains s'étaient retiré bien loin à quelques 1000 km de distance des cotes iraniennes et comment à cette même époque, l'un des plus gros d'entre eux, Abraham Linkoln a failli être buté par un mission antinavire de longue portée (1000 km) iranien, Abou Mahdi lors d'un vaste exercice naval du CGRI.
Premièrement, les Russes ont perdu plus de 400 personnes lors du naufrage du croiseur, le nombre qui équivaut aux forces d'un bataillon de combat.
En suivant ce principe asymétrique dont les Américain semble s'être fait une leçon les Russes aurait pu éviter de perdre un croiseur d’une valeur de plus d’un milliard de dollars qu'ont ciblé deux missiles dont le prix ne dépasse un million de dollars. Maintenant que la guerre perdue de l'Occident en Ukraine vient de s'élargir à la mer, la force navale russe va-t-il se mettre comme au sol à l'heure de la stratégie asymétrique? Si oui, l'Iran saura lui porter secours, un Iran dont le commandante n chef de la marine a parlé récemment de trois méga projet en cours.
Le commandant en chef de la marine iranienne a fait part des de trois programmes navals à long terme qui sont à l'ordre du jour pour cette année du calendrier iranien et d'une flotte iranienne qui s'agrandirait cette année. Et le commandant a jsutement fait allusion à la présence iranienne dans des exercices navals conjoints avec les marines amies: « La présence récente de la marine iranienne dans ces exercices hybrides prouve la volonté d'interaction de la marine iranienne et sa détermination à avoir une présence puissante dans les eaux internationales et lointaines. » Fin 2021 la marine iranienne a participé avec la Chine et la Russie à un exercice navale conjoint en océan Indien et le 29 mars 2022, la force navale de l’armée a participé à l’exercice hybride « IMX 2022 » en présence des marines de l'Inde, du Bangladesh et des pays de l'océan Indien. Le destroyer iranien Dena a par ailleurs participé à l'exercice.