A quelques quelques encablures du premier anniversaire de l'opération historique " Epée de Qods", il y a plus d'un signe que cela va barder au sein de l'entité : il y a d'abord l'Iran qui après avoir pulvérisé la plus grande base US/Israêl au Kurdistan irakien, base à partir de laquelle l'entité s'était fait un réseau dont les tentacules s'étendaient jusqu'à l’Azerbaïdjan, est entré dans une logique de confrontation directe et qui se préparer à infliger de très gros coups à l'entité. Puis il y a les alliés palestiniens, syriens et libanais de l'Iran au sein de l'axe de la Résistance qui à des des degrés divers, rongent eux aussi les freins pour en découdre avec Israël : la Syrie est impatiente de venger la campagne de guerre dans la guerre, et de passer de la défensive à l'offensive; il y a le Hezbollah qui sûr de sa victoire aux élections, envoient ses drones de connaissance, bien tranquillement dans le ciel de la Galilée faire un tour d'investigation et compléter ses banques de données ; puis il y a la Palestine, à savoir Gaza, Cisjordanie, Palestine historique qui ressoudé depuis l’Épée de Qods 1 n'ont cessé ces douze derniers mois à s'exercer comment ratatiner Israël si le front sud, balistique venait à s'ouvrir : en fait ce n'est plus comme en 2021, désordonné, l'écho de cette Epée de Qods 2 à venir en Cisjordanie et en Palestine historique. Depuis un an un vaste réseau de R2sistance s'est créée en Cisjordanie à travers les camps de réfugiés transformés en camp militaire, un réseau militairement soutenu depuis Gaza certes mais encore depuis la Syrie et le Liban.
Puis que dire du Neguev où l'entité dispose du gros de ses potentiels aériens, de ses bases, de son réacteur nucléaire... Mais de par des "nomades palestiniens" représente lui aussi un front nouveau à la prochaine guerre. Plus d'un analyste parlent désormais des surprises que contiendra cette guerre où déjà le front sud s'est lui m^me divisé à quatre ( Gaza, Cisjordanie, Néguev, Palestine historique", fronts que la Résistance a armés et continue à armer non plus par des "moyens du bord" comme il y a quelques années mais par des drones qu'elle envoie depuis la Syrie livrer aux Palestiniens non pas des armes à feu comme le prétend l'armée sioniste mais bel et bien des missiles. Aussi la future guerre dont les ingrédients sont parfaitement réunis et qui pourrait éclater en mai 2022 et avoir pour nom Épée de Qods 2 serait très probablement balistique mais uniquement dans le sens Gaza-Israël. La Cisjordanie, Neguév et Qods pourraient aussi leur part de missile dans la bataille.
Ce genre de perspective a figuré au menu de discussion entre Ziad al-Nakhala, secrétaire général du Jihad islamique de la Palestine, (JIP) qui a rencontré une délégation du Hamas conduite par Saleh al-Arouri, directeur politique adjoint du mouvement à Beyrouth. Le secrétaire général du mouvement du Jihad islamique de la Palestine, Ziad al-Nakhala, a reçu, dans son bureau à Beyrouth, capitale libanaise, le chef adjoint du bureau politique du mouvement de Résistance islamique de la Palestine, Hamas, Saleh al-Arouri. Les deux parties ont discuté de dernières évolutions liées au dossier palestinien avant de souligner la nécessité de faire face à la poursuite de l'agression sioniste contre le peuple palestinien à Qods, en Cisjordanie, dans la bande de Gaza et dans les territoires occupés en 1948. Le Hamas et le Jihad islamique de la Palestine ont alors appelé à intensifier la résistance contre le régime sioniste pour son agression quotidienne contre la terre, les lieux saints et la nation de la Palestine. Pour mémoire, trois Palestiniens ont été tués tôt mardi dans des affrontements distincts avec les forces israéliennes en Cisjordanie, selon des responsables palestiniens.
Ce genre de rencontres se multiplié aussi à la vaille de bataille de l’Épée de Qods qui a opposé en mai 2021 les militaires israéliens aux combattants palestiniens au cours de laquelle la Résistance a tiré 4000 missiles sur les villes israéliennes. A J+1 de cette bataille Israël a été forcé à fermer son cile et à envoyer ses colons en Grèce. Signe des temps, il est sur le point de faire la même chose à la veille de l'anniversaire de cette opération décisive. Avri Steiner, membre subsidiaire du Fonds national juif, (FNJ) fait la proposition d'acheter des îles grecques inhabitées et détaille comment mettre en œuvre un tel plan. Un responsable israélien a suggéré d'acheter des îles inhabitées en Grèce pour évacuer les colons israéliens en cas de crise ou de guerre, ont rapporté mercredi les médias israéliens. Selon le journal israélien, Maariv, la suggestion a été rejetée par la majorité du conseil d'administration de Himnuta, une filiale du Fonds national juif qui s'occupe des colonies. Avri Steiner, un représentant du Parti Kahol Lavan (Kakhol lavan) a déclaré que l'île agirait comme un "refuge pour les colons en cas d'urgence, comme un lieu pour les colons déplacés en temps de guerre".
« C'est une idée de projet qui a surgi à la suite de publications étrangères selon lesquelles des missiles pourraient toucher le territoire israélien. Pendant la Seconde Guerre du Liban, nous avons vu des missiles atteindre Netanya, et aujourd'hui ils pourraient atteindre plus au sud », a-t-il expliqué. En ce qui concerne les moyens de réaliser un tel plan, Steiner a déclaré qu'il y avait 40 îles inhabitées en Grèce. "L'acquisition n'est pas impossible, car les prix des îles inhabitées ne sont pas élevés." « Nous pouvons discuter de la perspective de la souveraineté avec le gouvernement grec », a-t-il dit, affirmant que tout doit se dérouler "légalement" selon des normes intentionnelles et avec la pleine approbation des deux parties concernées. La proposition intervient au milieu des inquiétudes israéliennes et américaines concernant les capacités croissantes de la Résistance en matière de missiles et de drones.
