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E-Press du 22 février 2022

E-Press du 22 février 2022

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Au sommaire :

1- Convoi de la liberté : l’Iran dénonce !

Le chef adjoint du pouvoir judiciaire iranien et chef du siège des droits de l’homme du pays, Kazzem Qaribabadi, a critiqué le Canada pour avoir arrêté et réprimé les manifestations organisées par les camionneurs du pays.

Dans un tweet dimanche, Qaribabadi a qualifié les manifestants de pacifiques, affirmant que leur manifestation avait été étouffée dans le soi-disant pays de la liberté.

Il a également dénoncé le silence sur la question et a déclaré : « Personne n’ose jamais parler des violations flagrantes des droits de l’homme qui se produisent quotidiennement au Canada. »

Samedi, des policiers ont dégagé la zone centrale d’une manifestation tentaculaire à Ottawa, se déplaçant de camion en camion et arrêtant des manifestants alors qu’ils continuaient à maîtriser l’occupation qui perturbe la capitale canadienne depuis des semaines.

À partir de 10 heures environ, la police a avancé sur des camions qui étaient garés sur la rue Wellington, l’artère devant l’édifice du Parlement, tirant des armes sur certains véhicules et frappant aux portes alors qu’ils cherchaient des personnes à l’intérieur. Ils en ont arrêté plusieurs alors que d’autres manifestants criaient « Honte à vous ! de proximité. Au cœur du campement principal samedi, la police a repoussé les gens avec des matraques et des sprays irritants et a procédé à de nouvelles arrestations.

Au cours des dernières semaines, les manifestations, qui ont commencé avec des camionneurs qui se sont rassemblés contre les mandats de vaccination, ont attiré une variété de manifestants exprimant des griefs concernant les restrictions pandémiques, les allégations de dépassement du gouvernement et la gestion du pays par le Premier ministre Justin Trudeau.

Source : Fars news

2- Ukraine : le coup de grâce russe

Le président russe Vladimir Poutine a prononcé un discours où il a officiellement reconnu les Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk en tant qu’États indépendants.

La décision était basée sur les recommandations du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie et sur la base de la situation critique dans le Donbass, et en conséquence, le nouveau statut des républiques du Donbass permet à la Russie de fournir divers types d’assistance à la RPD et à la RPL, y compris militaires, si Kiev décide d’aggraver le conflit dans la région.

À l’heure actuelle, on sait que les troupes russes se trouvent à la frontière des Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk déjà reconnues par le dirigeant russe et sont prêtes à protéger la région de l’invasion ukrainienne.

Il est à noter que quelques heures avant son discours, le Kremlin a annoncé que le président russe avait décidé de signer un décret reconnaissant les Républiques populaires de Louhansk et de Donetsk, ce qui a été annoncé lors d’une conversation téléphonique entre le président français et le chancelier allemand, rapporte Avia-pro. 

Les experts estiment que dans l'avenir, la situation dans le Donbass pourrait dégénérer, puisque Kiev a annoncé que la reconnaissance officielle de la RPD et de la LPR entraînera une rupture des accords de Minsk et permettra à l’Ukraine de prendre toutes les mesures pour revenir à sa structure des républiques autoproclamées.

D'ailleurs, des chars ukrainiens sont entrés dans le territoire de la RPD et ont pris d’assaut Yasinovataya. Après des frappes d’artillerie à grande échelle, les troupes ukrainiennes ont réussi à percer les lignes de défense près de la colonie de Yasinovataya.

À l’heure actuelle, on sait qu’une bataille de chars a été déployée dans la région - les forces de la RPD ont réussi à empêcher l’armée ukrainienne de poursuivre sa percée, mais pour le moment, la situation reste critique. 

À peine trois heures avant le début de la percée des chars ukrainiens dans la zone de la colonie de Yasinovataya, plus de 80 obus d’artillerie ont été tirés le long de la ligne de défense de la RPD à cette zone, ce qui a permis aux forces armées ukrainiennes de percer.

Des troupes russes pourraient être envoyées dans la région dans les prochaines heures pour aider les milices de la RPD et de la LPR, bien que les experts craignent un conflit armé très grave, car à l’heure actuelle, les forces armées ukrainiennes ont un vrai avantage dans la région.

Plus de 300 avions de combat et hélicoptères russes sont concentrés près des frontières ukrainiennes. Il est possible que ces forces soient utilisées pour couvrir rapidement le territoire de la RPD et de la RPL des attaques des Forces armées ukrainiennes.

« #Poutine, comme Trump, est un paranoïaque, adepte de la vérité alternative et vivant dans un univers parallèle. Déchiffrer ses mensonges. Réponse point par point à sa désinformation. Plus que jamais #StandWithUkraine et avec mes amis de Free #Donbass. »

C’est le dernier tweet de celui qui se fait passer pour un écrivain en France, pays des Lumières, mais à vrai dire, ce pseudo-philosophe est plutôt à considérer en Iran et pas seulement, comme un enfant sioniste de son temps au sens large du terme : un sioniste passe-partout avec qui le monde entier, surtout la France, ne sait trop quoi faire. Mais l’Iran islamique, qui constitue un monolithe observable d’un simple clic sur Google Earth, a toujours fait exception dans ces cas-là, se massant contre les tentatives du sionisme semeur du chaos. Une épreuve de patience ?

Petite précision indispensable en passant : un petit saut en arrière nous ramène en fait au premier roi du premier empire du monde antique « Cyrus le Grand », le dernier roi-prophète de sa noble lignée qui ordonna la reconstruction du temple de Salomon dévasté par le roi de Nabuchodonosor, qui a délivré le peuple juif du joug du roi babylonien, leur laissant le soin de retourner à Helasu Temple ou de rester en Perse pour y vivre en paix.

Parfois les choses se sont passées différemment de ce que le roi iranien avait imaginé. Comme tout le monde le sait, les traumatismes psychologiques nous obligent souvent à blâmer les autres pour nos erreurs, à moins que nous ne soyons ascétiques. 

Comme nous l’explique le Dr E Micheal Jones, historien et rédacteur en chef de « Culture Wars Magazine » et auteur de « The Jewish Revolutionary Spirit », le sionisme a une formidable capacité d’adaptation et adopte différentes stratégies sous différentes formes en fonction de la situation.

Prenons par exemple le cas de l’Allemagne après la Seconde Guerre mondiale. Le Dr Jones écrit : « Les concepteurs et penseurs de cette "ingénierie sociale" ont tenté de rayer l’Allemagne, après la Seconde Guerre, de la carte démographique, via "la sexualisation des Allemands et leur extermination par la famine", et ce, pour la simple raison que les "sionistes" revanchards avaient tenu rancune à la race germanique, idem pour les États-Unis qui leur offrent "refuge", mais l’hôte, tout généreux qu’il était, n’a pas échappé à leur vengeance, une vengeance qui a pris là la forme du mariage homosexuel et plus tard celle de la normalisation de l’homosexualité au sein même de l’Église et le but ultime dans tout cela : exterminer les chrétiens en Europe et aux États-Unis pour un "projet de remplacement" dont Zemmour parle abondamment dans ses campagnes présidentielles en France. 

Et jusqu’ici, seul un Poutine a pu résister à cette machination sioniste avec l’aide de la Résistance d’où aujourd’hui, l’animosité féroce et hystérique des sionistes envers ces deux derniers sous le faux drapeau de l’OTAN alors que l’Alliance elle-même est en quelque sorte une victime de premier ordre de ce piège tendu par un sionisme éternellement "insatisfait".

Un sionisme rampant connu dans le monde entier pour tuer des enfants palestiniens avec des snipers et tisser sans cesse des tromperies "sans limites", un sionisme qui "ne prend aucun plaisir" à tout ce qu’il fait et pense surtout qu’il est autorisé à faire n’importe quoi de la Syrie au Liban via les Kurdes et qu’il veut le monde divisé comme partout ailleurs, poursuivant frénétiquement cette voie jusqu’au bout de l’enfer, entraînant avec lui n’importe quel passager fou à moins qu’il ne soit freiné à sec par les résistants et les Russes.

Cette arrogance dont a souffert tout un monde et qui s’est transmise de génération en génération et pendant des siècles et des siècles jusqu’à aujourd’hui perdure dans le temps et dans l’espace, car à un certain moment de l’histoire de l’humanité le peuple d’Israël qui avait été appelé par Dieu Tout-Puissant le peuple élu » en fuite a trahi son prophète avant que ses pieds mouillés dans les eaux de la mer rouge ne soient séchés par l’air et « ils ont fait de même à Jésus-Christ en rejetant l’ordre divin. »

Bref, le pseudo-philosophe Bernard-Henri Lévy se rend sur le théâtre des « guerres où se joue notre destin », du Nigeria à l’Ukraine en passant par l’Afghanistan, confesse le site canalplus.com [certainement pour répandre sur la terre le désordre et le chaos du mal-être du sionisme NDLR]. 

« Open Society » a été créée en 1979 lorsque George Soros a décidé qu’il avait assez d’argent. Son grand succès en tant que gestionnaire de fonds spéculatifs lui a permis de poursuivre son ambition d’établir des sociétés ouvertes à la place des formes de gouvernement autoritaires.

« La société ouverte est basée sur la reconnaissance que notre compréhension du monde est intrinsèquement erronée », a déclaré Soros. « Ce qui est imparfait peut être amélioré. » Il a commencé par soutenir des bourses pour les étudiants noirs de l’Université de Cape Town en Afrique du Sud et pour les dissidents d’Europe de l’Est pour étudier à l’étranger.

« Mon succès sur les marchés financiers m’a donné un plus grand degré d’indépendance par rapport à la plupart des autres », a écrit Soros. « Cela me permet de prendre position sur des questions controversies : end fate, cela m’oblige à le faire parce que les autres ne le peuvent pas. »

Pendant ce temps, Zelensky bombe le torse et continue de gesticuler, inconscient des risques qu’il encourt avec ses gestes d’acteur, affirmant qu’il n’a peur de rien. L’Allemagne subjuguée s’aligne toujours sur la décision du sionisme venant de Washington, quelle qu’elle soit.

Et la France de Macron dirigée par des pseudo-penseurs comme le sioniste Bernard-Henri Lévy se met à chanter le concert mené par le sionisme vengeur.

Source : Avia-pro.

3- Macron, un bilan noir !

Pouvoir d’achat, dette, immigration : les points faibles du bilan de Macron soulignés par un sondage.

Un sondage de l’Ifop publié par le JDD montre que seuls 22 % des Français jugent positif le bilan du président sur le pouvoir d’achat.

Les sondés sont sévères sur la dette, la maîtrise de l’immigration, l’insécurité, la justice et l’environnement.

Des éléments positifs, mais surtout de réels motifs d’inquiétude pour le président sortant, dont la candidature n’est pas encore officielle.

Un sondage de l’Ifop publié par le Journal du dimanche le 20 février révèle qu’en dehors des relations avec l’Union européenne, sur lesquelles le bilan du président est jugé positif par 61 % des sondés, aucun sujet ne recueille une majorité d’opinions favorables, la gestion de la crise sanitaire divisant quant à elle l’échantillon en deux parts égales.

Concernant certains thèmes essentiels de la campagne, le total d’avis négatifs est très élevé : seuls 22 % des Français le créditent ainsi d’une réussite sur le pouvoir d’achat.

Le pouvoir d’achat, « boulet » du bilan d’Emmanuel Macron

« Dans les raisons de mécontentement à l’égard d’Emmanuel Macron, c’est le sujet le plus fortement cité », ¬analyse ¬Frédéric Dabi, directeur général de l’Ifop cité par le JDD, y voyant un véritable « boulet » dans le bilan présidentiel.

Ainsi, 69 % des Français jugent que leur pouvoir d’achat a diminué, tandis que 75 % estiment que celui de l’ensemble des Français a baissé.

Un boulet d’autant plus lourd à traîner qu’il s’agit d’un des sujets cités comme les plus déterminants, selon les sondés, pour leur vote d’avril :

il est mentionné dans 70 % des cas, juste derrière la santé (74 %) et à égalité avec la lutte contre l’insécurité et la délinquance.

L’opinion des sondés sur le bilan régalien d’Emmanuel Macron est sévère : sur la maîtrise de l’immigration, son action n’est jugée positive que par 24 % des personnes interrogées ; sur la justice, il n’atteint que 28 % d’opinions favorables ; sur la lutte contre l’insécurité et la délinquance, le président recueille à peine un tiers d’avis positifs (31 %).

Ces chiffres semblent confirmer un précédent sondage publié par Le Figaro début février, selon lequel trois quarts des Français étaient insatisfaits de l’action d’Emmanuel Macron contre la délinquance.

 En revanche, le bilan de la lutte contre le terrorisme du président atteint presque la moitié d’opinions positives (48 %), légèrement au-dessus de l’évolution de l’image de la France à l’étranger (45 %).

En matière économique, les mauvais scores sur le pouvoir d’achat s’accompagnent d’une perception plus équilibrée du bilan sur « la croissance et l’attractivité de la France » et la lutte contre le chômage, qui recueillent 55 % d’opinions défavorables.

Cependant, deux tiers des sondés jugent négativement le bilan sur la fiscalité et seuls 21 % soutiennent l’action du sortant en matière de dette publique, dont le niveau a récemment alarmé la Cour des comptes.

 Les jugements des sondés sur les différents enjeux ne sont pas d’ailleurs pas forcément corrélés avec l’importance qu’ils y accordent pour déterminer leur vote : la réduction de la dette publique ne sera déterminante que pour 35 % d’entre eux, et la lutte contre le chômage pour 54 %.

Comme le relève le JDD, les résultats en matière de diminution du chômage sont pourtant l’un des points que l’équipe du président souhaite mettre en exergue, avec un taux de chômage ramené à 7,4 % de la population active en France, selon l’Insee. Enfin, l’action d’Emmanuel Macron en faveur de l’environnement et contre le réchauffement climatique ne recueille que 29 % d’avis positifs, l’enjeu étant jugé « déterminant » par la moitié des sondés.

Source : RT

4- Des attentats US en Russie ?

L’ambassade des États-Unis à Moscou signale aux Américains des risques d’« attaques » en Russie.

Dans un message destiné aux Américains vivant en Russie, l’ambassade des États-Unis à Moscou leur signale des risques d’attaques dans le pays. Les autorités russes n’en auraient pas été informées, d’après la porte-parole de la diplomatie.

Un message de l’ambassade des États-Unis à Moscou signale aux Américains présents dans le pays de risques d’« attaques » en Russie, dans les lieux de rassemblements publics, comme les centres commerciaux, les métros ou les gares au sein des grandes villes du pays dont Moscou et Saint-Pétersbourg ainsi que la zone de tensions avec l’Ukraine.

Le message cite des « sources médiatiques », sans préciser pour autant lesquelles précisément regrette RT

Dans un message publié sur le réseau social Telegram, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova a regretté que le gouvernement américain n’ait pas communiqué cette information aux autorités russes compétentes.

« Avez-vous transmis les données pertinentes à vos collègues russes via des canaux partenaires ? Sinon, comment faut-il comprendre cela ? », a-t-elle interrogé.

Les États-Unis recommandent depuis plusieurs semaines déjà à leurs ressortissants de ne pas se rendre en Russie, en plein pic de tensions entre les deux pays. Washington accuse en effet Moscou de vouloir envahir l’Ukraine de manière imminente, ce que la diplomatie russe qualifie de « face news ».

Source : Sputnik via RT

5- Donetsk/Lugansk : la réaction allemande ? 

L’Allemagne fustige la décision de la Russie de reconnaître les régions séparatistes ukrainiennes

- Le chancelier Scholz appelle Vladimir Poutine à une désescalade immédiate et au retrait des troupes de la frontière ukrainienne

L’Allemagne a mis en garde lundi contre la reconnaissance par la Russie des régions séparatistes de l’Ukraine en tant qu’États indépendants.

Un entretien téléphonique entre le chancelier Olaf Scholz et le président russe Vladimir Poutine « a de nouveau porté sur la situation en Ukraine et dans les environs et sur le déploiement de troupes russes aux frontières russo-ukrainienne et biélorusse-ukrainienne », a déclaré le porte-parole Steffen Hebestreit dans un communiqué de presse.

« Le chancelier Scholz a condamné les plans de la Russie visant à reconnaître lesdites Républiques populaires de Donetsk et de Louhansk comme des États indépendants. Une telle mesure serait en contradiction flagrante avec les accords de Minsk sur le règlement pacifique du conflit dans l’est de l’Ukraine et constituerait une violation unilatérale de ces accords par la Russie », a-t-il ajouté.

Au cours de cet entretien, Scholz a appelé Poutine à une désescalade immédiate et au retrait des forces russes de la frontière avec l’Ukraine, selon le communiqué.

Il a souligné qu’il est désormais important, notamment dans l’est de l’Ukraine, de respecter le cessez-le-feu et de donner des signes de détente.

Le chancelier allemand consulte actuellement ses partenaires les plus proches, dont le président français Emmanuel Macron et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, a précisé Hebestreit.

Une invasion serait une « grave erreur »

Scholz a averti la Russie, ce week-end, qu’une attaque militaire contre l’Ukraine voisine aurait de graves conséquences pour le Kremlin.

« Une agression militaire contre l’Ukraine serait une grave erreur. Rien ne justifie le déploiement de bien plus de 100 000 soldats à la frontière ukrainienne », a déclaré Scholz à la Conférence de Munich sur la sécurité.

« La guerre menace à nouveau l’Europe, et le risque est tout sauf conjuré », a-t-il ajouté.

Scholz a clairement indiqué que la Russie paierait un prix élevé « sur les plans politique, économique et géostratégique », si elle attaquait l’Ukraine.

Scholz a néanmoins souligné qu’il était encore possible de trouver une solution diplomatique à la crise russo-ukrainienne.

Les pays occidentaux accusent la Russie de déployer près de 150 000 soldats le long de la frontière ukrainienne en vue d’une invasion imminente.

Moscou n’a eu de cesse de démentir tout projet d’invasion de l’Ukraine et a plutôt accusé les pays occidentaux de compromettre la sécurité de la Russie par l’élargissement de l’OTAN vers ses frontières.

Source : AA

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SOURCE: FRENCH PRESS TV