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Les USA cherchent à donner une dimension bactériologique a leur guère hybride

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Les casques blancs sont-ils activés? (Archive: un membre du groupe en Syrie)

Le ministère kazakh de l’Intérieur a annoncé que le nombre de personnes arrêtées, dans le contexte des récentes manifestations, est passé à 9900 au 11 janvier et qu'au nombre deux figuraient les Centrasoatique et les Moyen Orientaux  Mais pour un scénario de guère hybride longtemps travaillé cela n'est guère surprenant. Aussi les autorités auraient  saisi des armes, des gilets pare-balles et d’autres équipements.

Ce qui l'est au contraire c'est qu'au Kazakhstan le trio US/Israël/ Turquie a tenté de reproduire étape par étape le scénario syrien à cette différence près  qu'il a tenté de ne pas commettre les erreurs qui ont conduit à sa défaite au Levant. Le fait de chercher à contrôler le ciel des les premières heures de l'insurrection via des attaques contre l'aéroport va dans ce sens. Mais la tentative de syrisation a été si loin que même les casques blancs y étaient de la partie. Le 4 janvier les agences ont fait état de trois explosions à Almaty suivies d'une odeur putride ce qui a lancé les rumeurs d'une attaque chimique le Kazakhstan étant truffé de labos biologiques de l'époque sovietique

D'où la tentative dès  la première heure de l'intervention russe de neutraliser toute attaque bactériologique éventuelle des terroristes .

les anciens laboratoires secrets de guerre biologique soviétiques dont la conversion est financés par le Pentagone US dans ce grand pays enclavé et riche d’Asie centrale auraient été cibles. Dès le début de la crise, des informations non confirmées mais reprises sur des comptes « orientés » sur les réseaux sociaux ont fait état de la prise ou de la capture par des inconnus d’un laboratoire de recherche sur les armes biologiques près de Almaty. , il s’agissait d’un laboratoire du centre national scientifique des maladies très contagieuses.  

En décembre 2004, le Kazakhstan et les États-Unis ont signé un Accord afin de réduire les risques de prolifération d’armes biologiques et surtout les pathogènes susceptibles d’être utilisés dans une attaque de type asymétrique biologique. Dans ce cadre, le gouvernement US a financé plusieurs laboratoires dont celui de référence nationale pour un montant officiel de 103 millions USD .

Plus récemment lors de l’échange d’accusation sino-americaine sur l’origine du COVID, des comptes affiliés au gouvernement de la République populaire de Chine avait laissé entendre que les activités US au Kazakhstan incluraient le développement de nouveaux variants de virus connus ou largement répandus et même la propagation d’épidémies localisées dans certaines régions du monde à titre expérimental. Ce infrastructures stratégiques et certaines voix à Moscou appellent à saisir cette occasion inespérée pour mettre fin aux activités des militaires US en Asie centrale en général et au Kazakhstan en particulier.

Les Yankee et leurs sous fifre cherchent-ils au Kazakhstan a ajouter une dimension microbienne à un scénario hybride ailleurs privé de cette dimension? 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV