La Russie pourrait déployer des missiles directement dans l’arrière-cour des États-Unis. En réponse au refus de l’OTAN de négocier avec la Russie sur la non-expansion, il est devenu connu que la Russie pourrait mener des négociations actives sur le déploiement d’armes de missiles à Cuba et au Venezuela. Des données à ce sujet sont apparues il y a plusieurs semaines, et bien qu’il n’y ait aucune confirmation officielle de cette information, on a appris plusieurs visites étranges de l’avion russe du FSB au Venezuela et à Cuba au cours des deux derniers jours.
Auparavant, la partie russe avait annoncé qu’elle était prête à donner aux États-Unis et à l’OTAN une réponse très dure si, lors des négociations sur la fourniture de garanties de sécurité à la Russie, les représentants des États-Unis et de l’OTAN refusaient de se conformer aux exigences. Il est probable que c’est le déploiement d’armes de missiles russes près des frontières américaines qui pourrait obliger Washington à s’occuper sérieusement d’un tel problème. Cette décision pourrait se concrétiser alors même que le Venezuela développe depuis 2020 date à la quelle l'Iran a établit un corridor de transit d'essence du golfe Persique aux Caraibes, une industrie de drone made in Iran. La Russie qui possède déjà un site de radar à Cuba, pourrait dès lors créer de concert avec l'axe Iran-Venezuela une Armée de l'air non plus défensive mais bien offensive. En 2020 un article d'ALMA, site de reflexion sionite prévoyait même que les drones Ababil-3 du Venezuela ne tarderait pas à s'abattre sur Miami.
The Alma Research Center avait écrit que le Venezuela constituait une menace claire pour les États-Unis avec les drones de fabrication iranienne.
Le Centre de recherche d'Alma a affirmé dans un rapport que le Venezuela était en mesure d'attaquer la ville de Miami aux États-Unis avec des drones de fabrication iranienne. Le site web d’information Justthenews citant le groupe de réflexion israélien Alma a prétendu samedi que l'Iran avait livré au Venezuela des drones qui pourraient atteindre Miami. Selon le Centre de recherche d'Alma, les drones peuvent recueillir des informations et cibler des cibles de surface ou aériennes menant des attentats suicides.
Selon le rapport, le partage des drones avec le Venezuela, l'allié anti-américain de l'Iran à quelque 2 000 kilomètres de Miami, pourrait être destiné à amener les États-Unis à réviser ses positions avant de prendre toute action militaire contre l'Iran. Pour l'Iran cette option semble avoir marché dans lma mesure où les Etats Unis sont en net recule aux Moyen Orient. « Même s'ils n’entrent pas en action, du point de vue stratégique iranien, la présence des drones dans la zone est considérée d’une menace pour les États-Unis », avait déclaré Tal Beeri, analyste à l'Institut Alma.
Miami est une ville sur la côte atlantique dans l'État du sud-est de la Floride aux États-Unis. La ville est considérée comme l'un des ports les plus grands et les plus importants d'Amérique. Un déploiement de Tu-22 aura efefctivement un effet dissuasif à condition que le rapport de force se solde de temps à autre par des actions. Et ceci est le acs de l'Iran", disait le site.