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Zoom Afrique du 9 novembre 2021

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Tout comme la France ou encore les États-Unis, et même d’autres pays occidentaux dont la présence est extrêmement controversée sur le continent africain, Israël commence à faire également partie de la liste.

Actualité en Afrique :

  • Niger : au moins 26 jeunes enfants meurent dans l’incendie de leur école
  • Mali : la CEDEAO sanctionne les membres de la transition à la suite du report des élections de février 2022
  • La Côte d’Ivoire et le Nigeria signent 9 accords de coopération
  • Éthiopie : rassemblement pro-militaire à Addis Abeba

Analyses de la rédaction :

1. RCA : la Minusca va suivre la France dehors !

En Centrafrique, décidément, la Minusca est vraiment en très mauvaise posture et vu la tournure des évènements, la Minusca va suivre la France vers la porte de sortie très prochainement.

Depuis la fusillade et le comportement colonial du contingent égyptien de l’ONU, il est clair que les Centrafricains ne vont pas laisser les choses se tasser comme tente de faire la Minusca.

Encore une manifestation contre la MINUSCA a eu lieu à Bangui et elle se multiplie.

Une manifestation contre la MINUSCA s’est tenue le 8 novembre 2021 à Bangui, en face du siège de la MINUSCA. De nombreux Centrafricains sont descendus dans la rue pour exprimer leur indignation après les récentes nouvelles sur les crimes des Casques bleus.

Les manifestants, brandissant des pancartes portant l’inscription « MINUSCA Meurtier », ont exigé que la mission de l’ONU quitte le pays une bonne fois pour toutes. Les gens ne peuvent plus tolérer des violations constantes de la part de la MINUSCA, qui n’accepte jamais sa responsabilité. Le dernier incident survenu le 1er novembre, au cours duquel un contingent égyptien a tué une jeune fille de 16 ans, Lumiere, a montré une fois de plus que la MINUSCA n’est pas en mesure de s’acquitter de son mandat principal, à savoir la protection des civils, qu’elle n’a cessé de violer depuis sa présence. En souvenir de la mort de Lumiere, de nombreux manifestants ont apporté sa photo, exigeant que les coupables soient traduits en justice.

Une manifestation similaire contre la MINUSCA a également eu lieu le 6 novembre 2021, jour des funérailles de Lumiere. Il est évident que les Centrafricains n’ont plus l’intention de tolérer l’impunité des Casques bleus et sont cette fois prêts à aller jusqu’au bout pour que justice soit enfin rendue.

L’incident du 1er novembre continue de susciter la réaction des autorités centrafricaines.

Albert Yaloké Mokpème, ministre conseiller et porte-parole de la Présidence de la République centrafricaine qui, au cours de sa traditionnelle rencontre avec les journalistes du samedi 6 novembre 2021, est revenu sur les détails de l’évènement du 1er novembre. Il a relevé que les éléments de la garde présidentielle ont aperçu un véhicule estampillé UN remonté sur la pente. Ils se sont renseignés, mais ce véhicule n’était pas attendu. Quand le véhicule est arrivé au rond-point à quelques mètres de la résidence du président Touadéra. Les éléments de la garde présidentielle leur ont fait signe de faire demi-tour. Le véhicule de ce contingent de la Minusca était parti loin pour faire demi-tour, jusqu’à l’entrée de la résidence du président Touadéra, certains occupants de ce véhicule ont sorti leurs téléphones pour faire des photos. Ce qui est formellement interdit.

Mokpème d’ajouter que là où le comportement était suspect, c’est lorsque les éléments de la garde présidentielle ont fait signe au véhicule de s’arrêter. Parce que ce lundi 1er novembre, c’est la quatrième fois que ce type de situation s’est présenté. On dit constamment au véhicule UN de faire demi-tour, et généralement ils coopèrent. On leur demande de s’arrêter, ils s’arrêtent. On efface les images qu’ils ont prises. Et le 1er novembre, ce véhicule n’a pas obtempéré et refusé de s’arrêter et s’est mis à s’accélérer et heurter de plein fouet une jeune fille de 16 ans. C’est à partir de ce moment que les éléments de la garde présidentielle commencent à crier en tirant des coups de feu en l’air pour intercepter le véhicule. Comme le véhicule ne s’arrête pas, c’est là qu’ils ont tiré dans les pneus. Voilà, c’est ce qui s’est réellement passé.

 La Synergie centrafricaine a dénoncé dans un communiqué les agissements des Casques bleus de la MINUSCA. Selon son rapporteur général Euloge KOÏ, la mission onusienne doit quitter la Centrafrique, parce que depuis le déploiement de la MINUSCA dans le pays, on n’a jamais enregistré un seul acte positif à son actif. Le texte du communiqué est ci-dessous.

Depuis le déploiement de la MINUSCA dans notre pays, on n’a jamais enregistré un seul acte positif à son actif. La mémoire collective retient avec regret qu’il ne se passe pas un seul jour sans que les Casques bleus ne commettent des actes qui les éloignent de leur vocation première. Il s’agit notamment d’appuis, de la complicité avec les forces nuisibles et des accidents mortels dont le dernier en date est l’effroyable meurtre de la petite Lumière morte écrasée sous le véhicule du contingent égyptien en balade suspecte aux environs immédiats de la résidence du Président de la République.

Exaspérés de tous ces actes et comportements indignes d’une mission onusienne censée protéger la population civile, imposer la paix et mettre hors d’état de nuire, les Centrafricains ont décidé de procéder à une action forte, celle d’adresser une pétition visant à exiger le départ de la MINUSCA.

« Nous exigeons le départ de la MINUSCA de notre pays ».

À cet effet, une très grande opération de collecte de signatures aux fins d’accompagner ladite pétition a été lancée et se poursuit tant à Bangui que dans les provinces.

Dans les mêmes circonstances de fait, la Synergie Centrafricaine en appelle à la conscience patriotique de toutes les filles et de tous les fils de la République centrafricaine pour se joindre à cette vaste opération pour exiger le départ de la MINUSCA du territoire national.

C’est très mal parti, le peuple centrafricain n’est pas prêt à laisser passer cela une fois encore. La seule option qui va rester pour la Minusca, c’est bel et bien la porte de sortie. Et l’effet domino va également être lancé à travers toute l’Afrique. Ce n’est qu’une question de temps pour que les populations africaines poussent les Occidentaux hors du continent africain.

 

2. Israël tente de saper les relations entre l’Iran et l’Afrique ?    

Tout comme la France ou encore les États-Unis, et même d’autres pays occidentaux dont la présence est extrêmement controversée sur le continent africain, Israël fait également partie de la liste.

Concernant la France, beaucoup d’Africains montrent leur hostilité concernant la présence française en Afrique. Et pour cause, les sournoiseries de l’Élysée ne sont plus un secret pour personne sur le continent. Par exemple en Centrafrique, la France a carrément été chassée, et le peuple centrafricain a rapidement vu le résultat positif que cela a apporté au pays. Mais la France n’accepte pas sa défaite et tente par tous les moyens d’imputer l’hostilité des Centrafricains à son égard, non pas à son comportement dénigrant et colonialiste, mais plutôt à de la manipulation et une campagne de désinformation en provenance de la Russie. À plusieurs reprises, les officiels français ont tenté de se faire passer pour des victimes, en alléguant que l’État centrafricain serait sous l’emprise de la Russie et que si la Centrafrique se détache de la France, c’est à cause de Moscou. Mais tout le monde le sait, cela est faux. Même si les journalistes des médias mainstream continuent de tenir le même discours, il est clair que le problème est loin d’être la Russie. L’énumération des problèmes causés par la France sur le continent africain prendrait de nombreuses pages, mais l’essentiel, c’est que la période dans laquelle nous tenions ce genre de discours qui nous faisait passer pour des complotistes est révolue.

Israël use de la même tactique.

Nous n’allons pas rentrer dans un débat pour savoir si Israël emboîte le pas à la France ou bien le contraire, mais le système de victimisation reste le même.

Depuis plusieurs années maintenant, Israël tente de se forger une place sur le continent africain. L’une des portes que Tel-Aviv utilise c’est le secteur de l’agriculture et également la vente des armes.

Concernant le secteur de l’agriculture, plusieurs sociétés se sont installées en Afrique pour le développement de ce secteur. Au Soudan du Sud par exemple, en 2018, une société israélienne dans le domaine de l’agriculture a été accusée de vendre des armes aux différents groupes armés dans le pays et d’attiser les conflits pour pouvoir continuer à vendre des armes.

Le gouvernement du Sud-Soudan a nié avoir acheté des armes au général de l’armée israélienne à la retraite Israel Ziv, affirmant que c’est une manière de trouver des prétextes et disant que la décision américaine de lui imposer des sanctions – ainsi qu’à deux autres personnes – est fondée sur de fausses informations.

La partie israélienne a évidemment nié ces affirmations. Les États-Unis ont accusé Ziv d’avoir utilisé sa société de conseil Global CST pour couvrir la vente d’environ 150 millions de dollars d’armes aux groupes rebelles au Sud-Soudan.

Selon le communiqué, Ziv aurait également « prévu d’organiser des attaques menées par des mercenaires contre les champs pétroliers et les infrastructures au Sud-Soudan pour tenter de créer un problème que seules sa compagnie et ses entreprises affiliées seraient en mesure de régler ».

Le résultat de ces ventes d’arme c’est que le Sud-Soudan est ravagé par la guerre depuis que le président Salva Kiir a accusé son ancien bras droit, le vice-président Riek Machar, d’avoir fomenté un coup d’État il y a 8 ans. Des combats à forte connotation ethnique ont éclaté depuis et n’ont pas cessé. Presque 400 000 personnes ont été tuées et des millions d’autres ont dû quitter leurs habitations où se trouve au bord de la famine. Comment une société israélienne pourrait-elle développer le secteur agricole dans un pays en guerre ?

En Guinée-Conakry, certaines sources accusent également Global CST d’avoir « négocié la vente d’armes et de l’entraînement à la junte militaire guinéenne » en 2010. Et maintenant, c’est cette même junte militaire qui a renversé le président Alpha Condé et qui a pris le pouvoir. Et si le secteur agricole dans les pays d’Afrique se développe, ce n’est certainement grâce aux sociétés agricoles israéliennes, mais bien grâce aux Africains eux-mêmes.

Ce qui intéresse Israël en Afrique, ce n’est sûrement pas la vente des armes aux États légitimes africains, mais le réseau israélien sert à transférer des armes aux rebelles, aux séparatistes et aux terroristes.

Actuellement, le cas de l’Éthiopie est également très significatif.

Contrairement à ce que beaucoup de gens croient, l’Éthiopie et Israël ont actuellement énormément de conflits et sont en froid au niveau des relations diplomatiques. Et pour cause, le gouvernement éthiopien a dénoncé non seulement les ingérences récentes dans le conflit de la région du Tigré, mais également le mauvais traitement infligé aux ressortissants éthiopiens vivant en Israël.

Au début du conflit entre le gouvernement éthiopien et les rebelles terroristes du TPLF dans la région du Tigré, Addis Abeba, croyant pouvoir compter sur l’allié israélien, lui a demandé des armes pour l’armée fédérale éthiopienne, et plus précisément des drones de combat. Ce qu’Israël a refusé, car les rebelles du TPLF étaient soutenus par son allié de toujours, Washington. Par contre, Tel-Aviv a accepté de fournir des armes aux rebelles. C’est d’ailleurs, ce qui leur avait permis d’attaquer des bases militaires fédérales et don déclencher le conflit. Les médias mainstream ont d’ailleurs bien couvert cette affaire de base militaire, en ayant fait passer cela pour un mensonge pour tout simplement discréditer le gouvernement légitime en place, et le faire passer pour un génocidaire du peuple tigréen alors que la cible de l’armée était les rebelles du TPLF. Sur de la victoire des rebelles, Washington et Tel-Aviv ont attendu de voir l’évolution de la situation. L’Éthiopie a tout de même lancé l’assaut pour ne pas laisser les rebelles se renforcer davantage et laisser un conflit se propager dans toute la région, mais Addis Abeba s’est adressé à d’autres puissances afin d’obtenir l’armement nécessaire pour attaquer les mercenaires de Washington. Addis Abeba s’est entre autres adressé à l’Iran pour obtenir des drones. Et c’est là que la place d’Israël est menacée en Afrique.

En suivant les plans de ses alliés américain ou français, Israël touche évidemment une part du gâteau non seulement au niveau des ressources naturelles que regorgent l’Afrique, mais également en obtenant des zones géostratégiques, car ces dernières années, voyant les nombreux pays d’Afrique vouloir développer des relations bilatérales avec l’Iran, Israël a clairement décidé de s’attaquer à ce front.

Israël tente donc de saper les liens qui lient l’Iran et les pays d’Afrique. L’une des manœuvres qu’on a bien pu constater, ce sont ceux qui liaient le Maroc et l’Iran. Sous la pression des États-Unis et d’Israël concernant la normalisation, le Maroc a dû trouver un prétexte pour rompre ses liens diplomatiques avec l’Iran. Le prétexte mis en avant était que Téhéran « livrait » des armes au Front Polisario à travers l’ambassade de la République islamique d’Iran en Algérie. Des allégations non fondées, mais qui a, quelques mois plus tard, permis la normalisation.

L’entrée de force d’Israël au Tchad visait principalement une place au sein de l’Union africaine. Une place qui est loin d’être gagnée, car l’adhésion d’Israël en tant que membre observateur a été imposée sans aucune concertation avec les pays d’Afrique. Israël compte sur la force et la pression pour obtenir cette place, pour s’ingérer encore plus dans les affaires intérieures des pays d’Afrique, mais également tenter de saper la présence iranienne sur le continent. Beaucoup de pays d’Afrique ont par ailleurs montré leur désaccord face à cette adhésion forcée, alors que l’Union africaine a toujours montré sa solidarité à la cause palestinienne et le combat du continent africain contre l’apartheid, qui est encore le régime d’Israël.

Comme avec le système français en Centrafrique et dans l’Afrique de l’Ouest qui justifie son rejet à de la manipulation provenant de Moscou, Tel-Aviv tente maintenant de faire pareil en visant l’Iran. Dernièrement, un article était apparu ou Israël accusait la Force Qods des Gardiens de la Révolution de la République islamique d’Iran d’avoir planifié des attaques contre des Israéliens dans trois pays, à savoir le Sénégal, le Ghana et la Tanzanie.

Israël joue maintenant le jeu de la France et cherche un bouc émissaire pour justifier ses échecs sur le continent africain au lieu de se remettre en question ?

Il faut savoir une chose, l’Iran n’a aucunement usé de moyen de pression quelconque, ou du chantage pour établir un lien avec un pays d’Afrique ou n’importe quel pays dans le monde. Il n’y a pas un seul pays dans le monde qui a émis ou dénoncé une quelconque ingérence de la part de l’Iran dans les affaires intérieures d’un pays. Si l’Iran prône constamment la cohérence dans les paroles et les actes, c’est parce que c’est un fondement même de la République islamique d’Iran. Et pour entrer dans un pays, l’Iran attend l’aval de l’État et ne s’impose pas comme le fait Israël et ses alliés occidentaux. Le respect de la souveraineté et de l’intégrité d’un pays est une valeur importante pour la République islamique d’Iran. D’autant plus, que lintérieures’Iran ne s’ingère aucunement dans les affaires d’un pays. Comme pour le cas de la Syrie, ce n’est qu’à la demande de Damas que l’Iran est entré dans le pays, et ce, pas pour gérer les affaires de la Syrie lui-même, mais pour soutenir la Syrie, dans sa lutte contre les machinations de l’occident et le terrorisme.

Ce qui attire le continent africain à s’allier à l’Iran, c’est le concept même de la Résistance. Concept totalement cauchemardesque pour Israël et ses alliés occidentaux.

L’Afrique a longtemps été persécutée, colonisée, violentée, et on en passe. Ce qui fait que le concept de la Résistance au colonialisme et l’impérialisme existe déjà depuis bien longtemps en Afrique qu’au Moyen-Orient. L’axe de la Résistance qui se développe de jour en jour en Palestine contre l’occupant israélien, en Syrie et en Irak contre les terroristes et la présence occidentale, au Yémen contre l’Arabie saoudite et ses alliés occidentaux, le Hezbollah, Ansarallah, les Hachd al-Chaabi, le Hamas au Moyen-Orient, les pays d’Amérique du Sud, le soulèvement des populations en Afrique qui tue le néocolonialisme, bref, cette même Résistance mondiale qui fait trembler pas mal de puissance occidentale qui croyait encore pouvoir continuer leurs exactions en toute impunité ad vitam aeternam.

Cette Résistance qui rallie de plus en plus de pays les uns avec les autres a placé toutes ces puissances occidentales colonialistes dans un bourbier tel, qui a fissuré le monde unipolaire pour mettre en place un monde multipolaire.

Et c’est cette même Résistance qui met à mal les puissances Occidentales, qui fait très peur à Israël. Tel-Aviv et ses alliés occidentaux usent de stratagèmes immoraux et néocolonialistes pour s’implanter en Afrique et au Moyen-Orient, mais ils ont plus de mal. Dans le cas de l’Iran qui fait également partie de ceux qui combattent l’Impérialisme tout comme les pays d’Afrique, il n’est nullement nécessaire de s’implanter de force. Les relations avec l’Iran sont du type gagnant-gagnant, et en cas de problème, il n’y a jamais d’ingérence, mais un soutien. Pour la Syrie par exemple, l’Iran a apporté son soutien et a offert son savoir technologique et militaire, mais c’est l’armée nationale qui a repoussé le terrorisme qui, pour rappel, était jusqu’à une époque arrivée jusqu’à Damas. Un soutien qui ne confisque pas l’autonomie d’un pays, mais bien au contraire, qui le cultive.

En Afrique, pour son adhésion de force à l’Union africaine, Israël avait prétexté le nombre de pays africain, prétendument élevé avec lequel il a noué des relations diplomatiques. Nous avons regardé les pays actuels en Afrique ou il y a une représentation diplomatique du régime israélien. Il y en a 13, l’Afrique du Sud, qui continue tout de même à combattre l’apartheid israélien en Palestine occupé, l’Angola, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, l’Égypte, l’Érythrée, l’Éthiopie, le Ghana, le Kenya, le Maroc, le Nigeria, le Rwanda et au Sénégal. Et la plupart de ces pays sont d’ailleurs en friction avec Israël et entretiennent de meilleures relations diplomatiques avec l’Iran, qui compte 25 représentations diplomatiques en Afrique.

C’est pour toutes ces raisons qu’Israël, ainsi que la France, les États-Unis, l’Allemagne et les autres alliés occidentaux n’arrivent plus à entretenir des relations saines et respectueuses avec les pays africains, car des relations qui sont basées sur le colonialisme ou le néocolonialisme et le racisme n’aboutissent à rien contrairement aux relations qui sont basées sur les échanges gagnant-gagnant et le respect de la souveraineté et de l’intégrité des États comme avec l’Iran sont nettement plus bénéfiques.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV