Au sommaire :
Paris : 17e samedi consécutif de manifestation
Ce 6 novembre, des milliers de manifestants ont défilé à travers la France contre le pass sanitaire, alors qu’une allocution d’Emmanuel Macron qui devrait concerner les mesures anti-Covid a été annoncée.
De nouvelles manifestations ont lieu ce 6 novembre en France contre la prolongation du pass sanitaire, quelques jours avant une allocution d’Emmanuel Macron qui pourrait évoquer, notamment, de nouvelles mesures sanitaires face à la perspective d’une « cinquième vague » pandémique. Un total de 28 920 personnes ont manifesté selon le ministère de l’Intérieur, un chiffre de participation en légère hausse par rapport à la semaine dernière.
« Macron va parler mardi soir [9 novembre], je pense que s’il parle que le doute est en train de s’immiscer dans les esprits, ça ne passe plus comme une lettre à la poste, vous avez vu au Parlement ?
C’est plus le mois de juillet où tout passait facilement avec une large majorité [...] il y a plus de débats parce que le doute s’est immiscé dans les esprits », a déclaré à RT France Florian Philippot, candidat souverainiste à l’élection présidentielle et organisateur d’un des rassemblements à Paris. Les Gilets jaunes étaient aussi de sortie dans la capitale comme en témoignent des images postées sur les réseaux sociaux.
Source : RT France
2-Cyber bouclier d’Israël, une passoire !
Les sources sionistes ont déclaré que le groupe de hackers « Bâton de Moïse » a piraté les sociétés de conseil fiscal de ce régime et a tenté de publier les informations obtenues auprès d’elles.
Selon Mashreq, citant le Jerusalem Post, un groupe de hackers appelé « Moses Staff » a annoncé avoir piraté les sociétés de conseil fiscal du régime sioniste. Le groupe a commencé à publier des informations personnelles et des rapports financiers sur les clients de ces sociétés. Les médias sionistes n’ont pas rapporté plus de détails sur la cyberattaque.
Plus tôt et au cours de la semaine dernière, le groupe avait piraté à plusieurs reprises divers systèmes et infrastructures du régime sioniste et avait accès à leurs informations et bases de données.
À cet égard, le groupe a lancé une cyberattaque contre trois grandes sociétés d’ingénierie du régime sioniste et a obtenu leurs informations.
Les informations divulguées au groupe de pirates informatiques par ces sociétés comprennent des projets, des plans, des contrats, des images, des lettres et des images de vidéoconférence.
Le personnel de Moses a également annoncé que les informations divulguées n’incluent pas tout ce qu’ils ont obtenu et qu’ils publieront progressivement le reste des informations obtenues.
Plus tôt, Asa Musa a posté une photo personnelle de Bani Gantz, le ministre israélien de la Guerre, avec le message de menace suivant : Nous sommes au courant de toutes vos décisions et nous visons enfin quelque chose auquel vous ne vous attendez pas. Des cybercriminels et des informations ont été divulgués à des centaines d’utilisateurs.
Selon le rapport, les dossiers étaient accompagnés d’un message qui disait : « Nous continuerons à nous battre jusqu’à ce que vos crimes soient exposés, et nous poursuivrons vos actions là où vous ne le savez pas. »
À la fin du message, il a été dit que ce n’était que le début.
Un autre groupe de hackers appelé Black Shadow a également annoncé qu’il avait piraté les serveurs de la société Internet du régime sioniste Cyberserve, les fermant immédiatement et menaçant de divulguer des informations.
The Black Shadow a récemment publié certaines des informations qu’il a obtenues après ne pas avoir reçu l’argent qu’il avait demandé.
Il est à noter qu’il y a quelque temps, les sites des plus grands hôpitaux du régime sioniste ont été la cible de cyberattaques
3-Fin de l’armée napoléonienne en France !
Évidemment, lors d’un débat, surtout de type télévisé, le fair-play n’est pas le mot d’ordre. Donc, sauter du coq à l’âne, falsifier, contredire, entraîner son adversaire dans un marécage verbal, amalgamer et toutes les stratégies de cet ordre qui peuvent se résumer en bon français par l’expression jouer sur l’ambiguïté pourra permettre à ceux qui manient l’épée de l’éloquence d’esquiver les attaques argumentatives de leurs adversaires et de sortir finalement vainqueurs du débat.
C’est le cas d’ERIC Zemmour et de ses fanatiques, adorateurs du veau d’or et qui cherchent par tous les moyens à acculturer la civilisation française en propageant ce virus païen d’origine égyptienne.
Mais de là à jouer sur les fausses notes du clavier devant un jury-maestro au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, là vraiment, il faut une divine confiance en soi à moins d’être un dadaïste.
Qui n’a pas vécu l’angoisse de la page blanche à un moment ou un autre de sa vie, mais d’écrire un texte convaincant en jargon militaire sous les attentes des partisans d’America First au détriment de sa patrie tout en occupant le poste de chef d’état-major ne doit pas être un exercice facile, surtout par une nuit blanche d’automne au clair de lune.
La seule pensée de cet exercice donnerait envie de s’arracher les cheveux, surtout si l’on sait que ce texte tronqué de A à Z a été écrit sous l’écriture automatique insufflée par l’ange américain. Sans l’ombre d’un doute, comme l’a bien décrit le commandant en chef des CGRI, les États-Unis sont les premiers à commettre des crimes contre l’humanité.
Opex 360 vous en dit plus : désormais, selon la Vision stratégique que vient de dévoiler le général Thierry Burkhard, le chef d’état-major des armées [CEMA], le continuum « paix/crise/guerre » n’est plus pertinent pour décrire la situation géostratégique actuelle.
Le Chef d’état-major des armées [CEMA] depuis juillet, le général Thierry Burkhard en a tiré les conclusions, dans une « Vision stratégique » qu’il vient de dévoiler, après l’avoir évoquée devant la presse et les parlementaires en expliquant que, désormais, il s’agissait de « gagner la guerre avant la guerre ».
Ainsi, pour décrire l’évolution de la situation, le continuum « paix/crise/guerre » n’est désormais plus pertinent. Et, désormais, pour le général Burkhard, il convient de « préparer notre stratégie militaire à la lumière de trois notions », qui sont la « compétition », qui est devenue désormais le « mode normal d’expression de la puissance » dans de nombreux domaines [économique, militaire, diplomatique, juridique, culturel, etc.], la « contestation », qui remet en cause les règles communément admises afin de chercher à imposer un fait accompli, et « l’affrontement ».
« Ces trois notions de compétition, contestation et affrontement sont étroitement intriquées. Deux acteurs peuvent ainsi se retrouver au même moment en compétition dans un domaine et en contestation dans un autre. Ils peuvent aussi être en contestation uniquement dans une zone géographique donnée et en compétition dans le reste du monde », est-il expliqué dans la Vision stratégique du CEMA.
Pour les armées françaises, cela implique qu’elles doivent en premier lieu « contribuer à la connaissance des capacités et des intentions des différents compétiteurs et de proposer en permanence des options militaires pertinentes au décideur politique », « contribuer à lever l’incertitude et empêcher l’imposition d’un fait accompli » et « de détecter les signaux faibles qui permettent d’anticiper la bascule vers l’affrontement ». Ce que le général Burkhard résume donc par la formule « gagner la guerre avant la guerre ».
Étant donné que cette « compétition » se déroule dans un nombre croissant de milieux et de champs de conflictualité, en particulier propices aux stratégies dites « hybrides » et de « contournement », lesquelles « combinent des modes d’action militaires et non militaires, directs et indirects, réguliers ou irréguliers, souvent difficiles à attribuer, mais toujours conçus pour rester sous le seuil estimé de riposte ou de conflit ouvert », les forces françaises doivent donc être en mesure de les contrer… en apprenant à les maîtriser, « dans le respect des principes qui fondent nos actions », avance le document.
Ce qui suppose deux choses : le renforcement des capacités « d’appréciation de la situation » [en clair : les moyens dédiés au renseignement et à l’analyse] et « élargir le spectre » des besoins capacitaires. Et cela, sans exclure, évidemment, l’hypothèse d’un engagement de « haute intensité ».
Aussi, le général Burkhard dit vouloir des armées qui « contribuent à l’exercice des responsabilités et à l’ambition de puissance d’équilibre de la France » tout en étant capables de « diriger des opérations en coalition », qui « participent activement à la stratégie nationale de puissance dès le stade de la compétition, où se confrontent déjà les intérêts des différents acteurs notamment par le biais de stratégies indirectes ou hybrides » et qui proposent au pouvoir politique une « très large palette d’options militaires, combinant des effets maîtrisés dans tous les milieux et champs de confrontation, avec une attention particulière pour l’action dans les milieux exo-atmosphérique et cyber et dans le champ informationnel, afin d’infléchir la détermination de nos adversaires en imposant des rapports de force favorables ».
Et à cette fin, les armées françaises devront être « organisées » de façon à « faire face à la surprise stratégique », tout en étant « résilientes au-delà des seules postures permanentes de dissuasion nucléaire, de sûreté et de protection » et « aptes en permanence à s’engager pour répondre à toute situation qui menacerait la France et ses intérêts, si nécessaire dans un affrontement de haute intensité ».
Pour cela, la Vision stratégique du général Burkhard propose trois axes d’efforts. Le premier vise à « renforcer et soutenir la communauté humaine des armées, sa résilience, ses compétences et sa richesse ». Là, il s’agit « d’accroître la résilience de cette communauté et d’en cultiver les forces morales ».
Source : opex360.com
4-L’UE sera liquidée...
Un coup politique se prépare au sein de l’Union européenne ?
Récemment, le tribunal de l’Union européenne a reçu un procès des députés européens contre la Commission européenne. Elle est accusée de connivence à la violation de l’État de droit par certains pays de l’UE. Une telle démarche peut être une tentative de saper la position, voire de révoquer complètement de son poste la chef de la Commission européenne (CE) Ursula von der Leyen.
Selon le président du Parlement européen David Sassoli, le mécontentement des députés à l’égard de Bruxelles est causé par la réticence à punir économiquement la Pologne et la Hongrie qui refusent de reconnaître la suprématie de la législation européenne sur les lois nationales. Le 29 octobre, le président du Parlement européen tweetait : « Le service juridique de la Commission européenne vient de saisir la Cour de Justice de l’action en justice contre la Commission européenne pour non-application du mécanisme de l’État de droit » ; « Nous attendons maintenant l’action de la Commission européenne » ; « Les mots doivent être transformés en actes ».
Le service juridique du Parlement européen a soumis le 29 octobre dernier à la Cour de Justice de l’Union européenne l’action en justice contre la Commission européenne pour sa non-application du règlement sur la conditionnalité. « Ce règlement, qui a été adopté en décembre dernier, permet à l’UE de suspendre les paiements du budget de l’UE aux États membres dans lesquels l’État de droit est menacé. Toutefois, la Commission s’est abstenue de l’utiliser jusqu’à présent. La commission des affaires juridiques du Parlement avait donc recommandé d’intenter une action en justice », indique la déclaration du président du Parlement européen.
Le 19 octobre 2021, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen et le premier ministre, polonais Mateusz Morawieck, se sont affrontés lors d’un débat au Parlement sur les défis persistants de Varsovie aux principes de l’État de droit de l’UE. Mateusz Morawiecki avait insisté sur le fait que la Pologne respecte les traités de l’UE et a rejeté les commentaires des opposants au gouvernement nationaliste polonais [PiS] qui craignent que la décision de la Cour n’ait mis le pays sur la voie d’un éventuel « Polexit » ou d’une sortie de l’UE à 27 pays.
Le 30 octobre 2021, le député européen polonais, Leszek Miller, a fait savoir qu’un vote de défiance sera engagé contre Ursula von der Leyen en publiant sur son compte Twitter : « Ursula von der Leyen a attendu, attendu et attendu. Le Parlement européen a déposé une plainte auprès de la CJUE contre la CE pour sa passivité et “pour non-application du règlement sur la conditionnalité”. Le règlement dans ce cas est en vigueur depuis le 1er janvier de cette année. La prochaine étape – un vote de défiance envers la Commission ».
L’initiateur du coup politique dans l’Union européenne pourrait être Emmanuel Macron qui veut prendre l’initiative pour façonner la politique étrangère de l’Union européenne, ont suggéré des experts. Après le départ d’Angela Merkel, la France se débarrasse des hommes de main de l’Allemagne à la tête de l’UE, dont Ursula von der Leyen. Il est curieux que les alliés de Paris se retrouvent également au Bundestag lui-même. Le SPD, qui a remporté les élections, n’est pas non plus satisfait de la présidente de la Commission européenne qui a pris ses fonctions grâce à Angela Merkel.
C’est, donc, pour cacher les véritables intentions que la Pologne a été mentionnée dans le procès contre la Commission européenne. Cette version est indirectement confirmée par le fait que le président polonais, Andrzej Duda, a effectué la veille une visite de travail inattendue à Paris où il s’est entretenu avec son homologue français. On ne peut pas exclure qu’ils aient envisagé une diversion sur Varsovie alors que la cible principale est précisément Ursula von der Leyen.
Source : Observateur continental
5-USA contre la Chine : 1er déboire diplomatique ?
La Première ministre néo-zélandaise ne veut qualifier la Chine ni d’« allié », ni d’« adversaire »
Jacinda Ardern, Première ministre néo-zélandaise, a donné par visioconférence une interview à la chaîne télévisée américaine NBC. En répondant à différentes questions sur les relations de son pays avec la Chine, elle n’a pas voulu les définir au moyen des « termes aussi tranchés » que ceux proposés par le présentateur.
Interviewée ce samedi 6 novembre par la chaîne de télévision américaine NBC, la Première ministre de la Nouvelle-Zélande, Jacinda Ardern, a parlé des problèmes climatiques et socio-économiques tant au niveau national qu’à l’échelle internationale.
Le journaliste a posé à Mme Ardern une série de questions relatives à la coopération avec la Chine et à l’attitude de la société néo-zélandaise considérant la deuxième économie mondiale.
Si la posture des Américains était plutôt négative envers l’Empire du Milieu, est-ce que les Néo-Zélandais considéraient la Chine comme un « allié » ou comme un « adversaire » ?
Jacinda Ardern a répondu que sa nation préférerait ne pas qualifier ses relations avec quelque pays que ce soit dans des termes aussi « tranchés ».
Selon la Première ministre, son pays et la Chine ont assez de « maturité » pour parler ouvertement des questions qui les préoccupent, que ce soit des sujets relatifs aux droits de l’Homme, au travail ou à l’environnement.
Commentant les tensions entre son proche voisin l’Australie et la Chine, Mme Ardern a prôné pour l’« intégrité » de la position de la Nouvelle-Zélande qui devrait « soulever les problèmes qui la concernent », s’appuyant sur des mécanismes relevant des normes internationales, comme celles de l’Organisation mondiale du commerce. Et ce, « sans regarder ce qu’il se passe dans les milieux diplomatiques ».
Évoquant le désengagement des États-Unis de l’Accord de partenariat transpacifique (Trans-Pacific Partnership, TPP) officialisé par Donald Trump en 2017, le journaliste était intéressé de savoir si la volonté de la Chine d’entrer dans ce groupe inquiétait la Nouvelle-Zélande.
D’après Jacinda Ardern, n’importe quel pays a le droit de devenir membre de tel ou tel autre accord de libre-échange si cet État est prêt à accepter et mettre en pratique les standards prescrits par ce type d’entente multilatérale.
Et d’ajouter que la Nouvelle-Zélande serait heureuse de voir augmenter la présence économique des États-Unis en région indopacifique, qui pour l’instant est regardée par Washington plutôt « à travers une lentille de défense stratégique ».
Plus tôt cette semaine, le 3 novembre, le gouvernement de Mme Ardern a d’ailleurs ratifié un autre accord économique -celui du partenariat économique régional global (RCEP) entrant en vigueur début 2022.
Regroupant les 10 membres de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (Asean) dont le Japon, la Corée du Sud, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et… la Chine, le RCEP représente le plus grand bloc de libre-échange au monde, auquel dès le début les États-Unis n’ont pas participé.
Source : Sputnik