Après une nouvelle provocation des autorités taïwanaises et les actions des alliés de ce pays, les autorités chinoises ont pris des mesures de rétorsion, quitte à mener une simulation d'attaque contre Taïwan. Cette simulation a impliqué 25 avions de combat, qui ont pu s'approcher secrètement des frontières de Taïwan sous le couvert de systèmes de guerre électronique et ce sans que la DCA américaine de l'île puisse les intercepter et s'entraîner à frapper des cibles stratégiques de cet État, tandis que l'Armée de l'air chinoise a couvert la simulation par le système de missiles de défense aérienne S-400 Triumph.
Cette simulation intervient peu après l'annonce de la nucléarisation de l'Australie par les Etats Unis dans le cadre de cette alliance à trois, dit AUKUS qui fait de Taïwan, le centre de tout conflit futur USA/Chine. Jusqu’ici, le déploiement occidental visant à contenir politiquement et militairement la Chine impliquait les États-Unis et la GB ainsi que la France et l’Allemagne. les Européens ayant été laissés de côté, la zone sera contrôlée par les Quad+ (États-Unis et Royaume-Uni, ainsi que l’Australie, l’Inde et le Japon), Washington préparant de toute évidence une guerre qui sera de nature nucléaire. Or Taïwan pourrait en être l'épicentre, les îlots du Pacifique revendiqués par la Chine ne pourront pas l'être car aucun des autres pays les revendiquant ne le souhaite. Le Pacte AUKUS semble être conçu pour venir en aide à Taïwan si la Chine tentait de la "récupérer" par la force.
La simulation massive d'une attaque aérienne semble être une réponse à l'AUKUS. Selon des sources, quelques, 18 chasseurs J-16, 4 combattants Su-30, 2 bombardiers H-6, Avions spéciaux de guerre électronique Y-8 ont été dans l'exercice et les chasseurs ont infiltré librement la zone d'identification des systèmes de défense aérienne de Taïwan, en détruisant ces derniers à distance de sécurité, tandis que les bombardiers H-6 s'entraînaient à effectuer des frappes précises contre les cibles militaires les plus importantes sur l'Ile.
et le président d'ajouter : "Elle attache une grande importance à ses relations avec les Philippines, soutient les Philippines dans la poursuite d'une politique étrangère d'indépendance et de paix, et est disposée à travailler avec les Philippines pour approfondir l'amitié et la confiance mutuelle et s'attacher au principe général de bon voisinage et d'amitié, afin que les relations bilatérales se développent toujours de manière stable et durable sur la bonne voie. « Je suis prêt à rester en contact étroit et à échanger fréquemment des points de vue avec vous sur les questions majeures d'intérêt commun ».
La disparition du président philippin de la scène finira-il par basculer le rapport des forces un peu plus en Indopacifique en défaveur de la Chine? Unen chose est sûre: Pékin ne se laissera pas faire.