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Israël affirme avoir réduit la présence iranienne sur son front Nord... vrai ou faux?

Le chasseur iranien Kowsar (illustration)

Alors qu’Israël, son armée, ses services de « sécurité » intérieur et extérieur, tout comme son Renseignement sont depuis 24 heures la risée du monde entier du fait de cette fulgurante opération d’auto-mise en liberté, qu’ont planifiée puis exécutée d’une main de maître les six super héros de la Résistance palestinienne laquelle opération a consisté, un peu à l’image de ce revolver retourné il y a peu par un Gazaoui contre un officier criminel sioniste, et ce, via une fente de tir calqué au cœur d’un mur de séparation de plusieurs mètres de haut et remonté autant que faire se peut de de files barbelé, de caméras de surveillance, quitte à mettre sens dessus dessous  un appareil de sécurité israélien aussi défaillant que le Dôme de fer, à pousser les colons à avoir désormais non seulement les yeux rivés sur le ciel par crainte d’avoir à subir non seulement des missiles de la Résistance, mais aussi simultanément des attaques commandos surgies des profondeurs de la terre, Aviv Kouchavi menace militairement l’Iran allant même jusqu’à oser ceci :

La Syrie domine le ciel d'Israël...Première salve de missiles sol-sol syriens contre Tel-Aviv!

« Les opérations militaires contre l’Iran et ses mandataires se poursuivent au Moyen-Orient et en cas d’action militaire décidée par nos politiques, l’armée israélienne dispose de multiples plans pour accomplir merveilleusement sa tâche… Au fait,la compagne de guerre dans la guerre se poursuit de plus bel tout comme la guerre secrète de notre renseignement,  l’objectif étant évidemment de réduire au maximum l’influence iranienne au Moyen-Orient surtout en Syrie et dans plusieurs autres endroits. Ces opérations concernent évidemment le Hamas et le Hezbollah »

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Et le Super baratineur d’ajouter : «  Notre succès à réduire la présence iranienne au nord d’Israël est acceptable bien que loin d’être idéal …Bref, l’année prochaine s’annonce tendue ».   De tout ce discours ultra diversif, sorti sous le choc d’une méga « évasion», qui donne lieu en ce moment même aux hypothèses les plus « terrifiantes» au sen des milieux militaires sionistes genre, « c’est un coup monté visant à cibler via ce commando à six et le « réseau d’espions qui l’a aidé » les bases aériennes et navales en territoires israéliens », il n’y a effectivement que la toute dernière partie à prendre, car pour le reste le mensonge saute aux yeux.

 

Syrie: un raid israélien soutenu par le CentCom contre Damas tourne au cauchemar

En Syrie les quatre derniers raids aériens israéliens menés entre fin juillet et début septembre ont été de monumentaux fiascos avec un total approximatif de 50 missiles air-sol furtifs de type « Delilah » pour la plupart qui ont été royalement interceptés et abattus non pas dans le ciel syrien en mode entrante mais dans le ciel du Sud Liban voire l’est méditerranéen, par cette DCA syrienne renforcée à la faveur des systèmes de guerre électroniques plantés au Golan, ce même sud syrien que Kochavi prétend être sous contrôle.

Pour le grand malheur du général Pinocchio, les F-16 et les F-15 israéliens, aidés de plus par les unités du CentCom plantées au sud de Tel-Aviv, se heurtent non seulement et de plein fouet au triplet classique de la DCA syrienne, composée du super Buk M2E, de Pantsir-S et de S-200 qu’appuie le radar Meraj-4 iranien, un radar de contrôle de tir à longue portée phasé capable d’identifier 300 cibles à une distance de 350 km, à intercepter 60 cibles sur une distance de 250 km, mais encore ont à fuir les missiles sol-sol syrien, M-600 qui à deux reprises, une première  le 20 août et une seconde fois le premier septembre ont royalement percé le ciel jordanien avant de pénétrer tour à tour l’espace aérien de la mer morte et celui de Tel-Aviv. Kochavi n’a qu’à regarder de plus près les clichés mettant en scène  les débris de M-600-Fateh 110  qu’ont collecté les colons à Gush Dan, près de Tel-Aviv pour en avoir le cœur net. Côté Golan, son armée est donc bien mal partie pour l’année 2022 mais il y a plus.

Al-Omar, méga base US, évacuée par le Pentagone... Israël sous le choc..

A Deraa, cette province stratégique bordant  le Golan occupé et la Jordanie, province où l’entité israélienne faisait pluie et beau temps il y a encore quelques temps à la faveur d’une vrai fausse trêve arrachée à la Russie et ce, du temps de Trump, trêve qui sécurisait les « cellules druzes pro Israël » à Soueïda, à Deraa al-Balad voire dans la Ghouta, la donne est sur le point de s’inverser. Et là encore c’est « l’Iran et ses mandataires » qui se pointe du nez. Amos Harel, le chroniquer militaire israélien commentait cette perte du terrain israélien dans une Deraa al Balad encerclée par l’armée syrienne et le Hezbollah en ces termes : «  l’unique carré qui reste à Israël sur le sol syrien est sur le point de se perdre .. et même les patrouilles militaires russes ne pourraient empêcher sa reprise par l’État syrien, et partant par le Hezbollah…

Vidéo: l'armée syrienne à Deraa al-Balad, 6 septembre/Twitter

A Deraa, on nous a eus depuis 2018 . Puisque sans tirer une seule balle le Hezbollah et l’Iran ont convaincu par un travail culturel les gens qu’Israël est la source du mal… Que risque-t-il de se passer alors ? En un quart de tour le Deraa pourrait devenir une armée pour la Libération du Golan » ! Et Arel ne croit pas si bien dire : aux dernières nouvelles, les agents du Mossad que Kochavi dit remporter partout de sensationnels succès contre la Résistance en sont à écrire au roi Abdellah II pour qu’ils leur accordent l’asile politique….

MO: drones "iraniens" omniprésents!

Or l’affaire de Deraa risque d’aller encore plus loin quand on sait que c’est là dans la stratégie US/Israël que se situe la prolongation d’al-Tanf où les forces US se maintiennent rien que pour offrir à l’entité une base arrière aérienne » dans le ciel de la Syrie. Deraa, une fois libérée, c’en sera finit aussi avec al-Tanf tout comme c’en sera fini avec la présence US dans l’Est de l’Euphrate.

Vidéo: Kaman-22, le drone Reaper-Predator iranien

Cette semaine, les sources syriennes ont effectivement fait part d’un retrait précipité des forces américaines de trois de leurs bases à Deir ez-Zor et à Hassaké. L’une d’entre elle, al Omar, venait à faire l’objet d’une violente attaque aux missiles. Certes ce n’était pas ce cocktail de missiles et de drones qui s’est abattus début juillet sur Connoco et al Omar. Mais c’en était largement suffisant pour qu’ils comprennent que la fin de la recrée est sonné et qu’il faut prendre la poudre d’escampette avant qu’il ne soit trop tard. Après tout, et là on envoie à cette « lutte à succès » de Kochavi contre le Hezbollah, les pétroliers iranien en partance pour Beyrouth ont littéralement inversé le jeu , ont fait de l’Amérique « la tueuse potentielle de César », partie qui souhaite désormais le plus au monde à ce que la Syrie exporte du gaz au Liban !

 

Syrie orientale : les avions US chassent les F-16 israéliens pour éviter leur abattage par les missiles intercepteurs iraniens!

Mais Kochavi ne sait sans doute pas la meilleur : il parait que certaines sources américaines auraient même vu à T4 des chasseurs iraniens Kowsar que l’Iran annonce avoir optimisés dans trois secteurs à savoir avionique et guerre électronique, guerre en réseau, et armements stand off. A quoi rime ceci exactement ? Cela veut dire que les F-5 made in Iran arrivés en Syrie pourraient se battre en synchronie avec les drones contre l’axe US/Israël.

 Certaines sources affirment y avoir aperçu le chasseur made in Iran iranien Kowsar. Ces sources officieuses indiquent même que ce chasseur serait capable à mener des combats en réseau et synchroniser avec les drones. On n’en sait pas plus, mais on sait qu’avant  Kowsar, les avions Sukhoi-22 iranien que la Syrie en possèdent de nombreux exemplaires ont été capables de recevoir et d'envoyer des données en interconnexion avec des drones. C'est merveilleux pour lancer des raids conjointes, identifier la situation sur le champ de bataille dans une zone beaucoup plus vaste, comme les déserts de l’est de la Syrie  et bien sûr pour surveiller les menaces et, si nécessaire, sacrifier la plate-forme sans pilote et garder intacte l'oiseau piloté. Dans le même temps, ce couple chasseur-drone pourrait partager la fonction dit "creuse et tue" en termes d'identification et de ciblage, de transport et de lancement de munitions, l’un couvrant la faiblisse de l’autre . On dit aussi que c’est le Kaman 22, le Q Prédateur iranien qui serait affecté à la tache de synchroniser avec Kowsar.

Comment la furtivité du F-35 US a été écrasée par celle des drones de la Résistance?

Le véhicule aérien sans pilote a une autonomie de plus de 24 heures et une portée de 3 000 kilomètres, ce qui en fait un drone supérieur à un Predator américain. Les armes montées sous les ailes du Kaman-22 ont été provisoirement identifiées comme quatre bombes guidées "Sadid" et deux bombes planées "Balaban", pendant ce temps, il y a une tourelle de capteur électro-optique apparente sous le nez et un magasin non identifié - probablement un pod de liaison de données - monté sur repère central stocke le pylône sous le fuselage. Le devant du drone est équipé du dispositif de brouillage Chahin qui l’aide à mener une opération de guerre électronique en brouillant les radars de l’ennemi sur la bande X, d’une bombe à laser lourde de 500 livres et d’un indicateur laser destiné à guider la bombe laser. Autrement dit, le drone Kaman-22 est le premier drone à pouvoir porter des bombes à laser lourdes. Décidément 2022 s’annonce très chaude … pour Israël

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SOURCE: FRENCH PRESS TV