Au train où vont les événement, il y a de forte chance que l'entité israélienne ou ce qui en reste se mette à envoyer les hordes de colons à l'assaut d'Al Aqsa surtout que Netanyahu y voit son ultime recours : sauf que cette fois, Israël risque non seulement de se retrouver nez à nez avec la Résistance palestinienne qui a le doigt sur la gâchette balistique avec ces longs corridors sous terrains gazaouis qu'elle continue à remplir de missiles depuis le 21 mai avec l'aide implicite d'un Egypte dont les pelles électriques et les tracteurs nettoient les ruines des frappes sionistes à Gaza, mais encore avec le Hezbollah. Dans la nuit de dimanche à lundi, les unités de l'armée sioniste se sont mises à tirer des fusées éclairantes non loin de la ligne frontalière avec le sud du Liban, paniquées qu'elles étaient à l'idée d'avoir aperçu vaguement des "agissements" du côté libanais.
En effet, depuis ces 3 à 4 salves de roquettes tirées contre Israël depuis le sud du Liban, alors même que l'entité se trouvait en pleine guerre contre Gaza, les israéliens ont un autre grave souci à se faire que voici : et si outre les commandos du Hezbollah, ils se devraient de faire face aux commandos palestiniens issus des camps de réfugiés palestiniens au Liban? Après tout plus d'un rapport évoque d'intenses entraînements auquel sont soumis ces réfugiés que le Hezbollah a aidé à se transformer en de redoutables combattants? Cette ville de Shlomi d'où ont été tirés hier soir des fusées éclairantes a d'ailleurs été l'une des localités à avoir subi mi mai, une salve de cinq roquettes dont aucune n'a été interceptée par le Dôme de fer.
Vidéo: Israël tire des fusées éclairantes, le 6 juin
Et comment? A Gaza, l'axe de la Résistance a fait montre de ses capacités balistique de précision, de ses capacités de guerre navales et un peu de sa maîtrise en art de combat au drone. A Gaza a eu lieu en effet, un récapitulatif de l'expérience d'Ansarallah, pilier de la Résistance qui a su mélanger tout au long de six ans de sa guerre contre l'Empire, drones, missiles, roquettes et à qui revient la paternité des premières attaques de drones en essaim. En Irak, cet même axe de la Résistance est sur le point de passer "roquettes intelligentes" à l'essaim de drone à cette différence près avec Ansarallah qu'il a nettement réduit le nombre de ses appareils par nuée. Un seul drone irakien suffit pour qu'Aïn al-Asad soit mis sens dessus dessous. Et le Hezbollah, noyau militaire de l'axe de la Résistance , quelle carte "militaire" nouvelle compte-t-elle jouer contre l'entité? Les avis divergent : certains analystes évoquent des missiles à fragmentation !
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Après tout cet arsenal du Hezbollah que les spéculations israéliennes disent être remplies de 150 000 engins dont beaucoup de précision pourraient contenir aussi des prototypes du missile balistique Zelzal qui dispose d’une tête comprenant 30 mini-bombes de 17 kg. Car qui dit que c'est à Israël et aux Etats-Unis qui revient toujours le droit d'user des armes semi conventionnelles? Parmi les armes et équipements fabriqués par l’armée iranienne, char, véhicule blindé, missile et lance-missile, un véhicule port-missile a été dévoilée en 202, transportant le missile sol-sol Zelzal, plus précisément, le Zelzal balistique avec la tête composée de bombes.
Les bombes à fragmentation Zelzal éclatent avant même que le missile percute le sol, ce qui en fait une redoutable arme contre les bandes d’atterrissage à l'intérieur des bases aérienne dont Israël compte beaucoup. Les missiles sol-sol Zelzal a été lancé pour la première fois en Iran à partir des batteries à trois places. Et bien le jour où le front Nord et Sud s'embraseront en même temps, la surprise sera totale pour Israël.