« Les mesures qui ont été prises pendant les derniers jours ainsi que celles qui seront prises à l’avenir mettront en péril les intérêts des Israéliens et les ramèneront à la raison », a souligné le chef d’état-major des forces armées de la République islamique d’Iran.
Ce dimanche 25 avril, le général Mohammad Baqeri s’est exprimé à propos des récents événements en Palestine occupée : « Les mesures qui ont été prises pendant les derniers jours ainsi que celles qui seront prises à l’avenir mettront en péril les intérêts des Israéliens et les ramèneront à la raison ». Il a ajouté que l’avenir du front de la Résistance serait certainement clair.
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« Les sionistes agissent en toute impunité pour attaquer le territoire syrien, ils s’engagent dans des actes malveillants en mer et ailleurs sans qu’ils en rencontrent les conséquences. »
Le général Baqeri a refusé de révéler l’identifié de la partie qui ripostera aux actes malveillants d’Israël : « Nous l’ignorons. Tout ce que nous savons est que le front de la Résistance ripostera aux sionistes. »
Le chef d’état-major des forces armées iraniennes a ajouté que le régime israélien ne pourrait pas cesser ses actes malveillants.
Dans la foulée, le quotidien israélien Haaretz a reconnu, samedi 24 avril, que les récents plans d’Israël visant à contrecarrer l’Iran avaient tous échoué.
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« Israël est prêt à lancer une campagne diplomatique et sécuritaire contre l’Iran. Ce plan est actuellement traité par une délégation de haut rang israélienne, dirigée par le chef du Mossad, en visite à Washington », indique Haaretz.
« La visite de cette délégation à Washington constitue le dernier effort de Tel-Aviv pour manipuler la position des Américains quant aux négociations en cours à Vienne ». Le quotidien israélien a toutefois ajouté que ces tentatives avaient une très mince chance de réussir.
« Tout ce qu’Israël a récemment fait pour convaincre Joe Biden de tourner le dos à l’accord nucléaire a manqué de porter ses fruits. »
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Haaretz a ajouté que Tel-Aviv ne lésinerait sur rien pour faire apporter des modifications à l’accord nucléaire, notamment concernant la levée des sanctions anti-iraniennes et le contrôle et la supervision internationale sur les recherches, le développement et l’enrichissement de l’uranium.
