Simultanément au début de l’enregistrement des candidats à l’élection présidentielle en Syrie et aux efforts du gouvernement syrien pour organiser les élections, les milices affiliées à Washington ont commencé leurs agissements avec le feu vert américain.
Dans un article intitulé « Les coulisses des affrontements de Qamichli ; une tentative visant à dresser des obstacles à la tenue de l’élection présidentielle syrienne », le journal libanais Al-Akhbar a écrit : « La ville de Qamichli connaît une crise sécuritaire majeure à la suite d’une série d’affrontements entre les Forces de défense nationale affiliées au gouvernement syrien et la milice kurde Asayesh, affiliée aux États-Unis. »
Que signifie cette situation ?
Arnaud Develay, juriste international, s’exprime sur le sujet.