Sa gestion chaotique a fait de la plus belle capitale au monde une ville de désolation.
Au sommaire :
1- L'Iran se focalise sur Xinjiang
L'ambassadeur d'Iran à Pékin a souligné l’importance de l'intensification des échanges du pays avec la province chinoise de Xinjiang qui se trouve à mi-chemin entre la Chine et l'Occident sur la Route de la soie.
Le Xinjiang possède une frontière commune avec huit pays, la Mongolie, la Russie, le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan, l'Afghanistan, le Pakistan, et l'Inde.
Mohammad Keshavarz-Zadeh, ambassadeur de la République islamique d'Iran à Pékin, qui s'est rendu cette semaine au Xinjiang, en Chine, a tweeté des photos de la région et noté : « Le Xinjiang est aussi grand que l'Iran et un voisin de huit pays sur ma Route de la soie. Son développement repose sur l'agriculture, les transports et le tourisme. »
Il a ajouté que d'énormes projets de désertification et d'approvisionnement en eau et les technologies modernes en ont fait la plaque tournante de l'agriculture chinoise.
Source : Fars News
2- Chine : l'avertissement iranien aux USA
La signature du document de coopération Iran-Chine est un avertissement important aux États-Unis pour qu'ils se rendent compte que les relations internationales évoluent rapidement au détriment des États-Unis et qu'ils ne sont plus en mesure d'imposer unilatéralement un modèle, un programme ou un accord aux États indépendants, a déclaré le président de l'Assemblée iranienne.
Lors de son discours d'ouverture, au début de la session spéciale de l'Assemblée iranienne à l'occasion de la signature du document de coopération globale entre l'Iran et la Chine, Mohammad Bagher Ghalibaf a déclaré : « La signature de ce document signifie que le monde ne se limite pas à l'Occident, et ce siècle est celui de l'Asie. La signature de ce document est un avertissement important aux États-Unis pour qu'ils se rendent compte que les relations internationales évoluent rapidement au détriment des États-Unis et qu'ils ne sont plus en mesure d'imposer unilatéralement un modèle, un programme ou un accord aux États indépendants. »
« L'accord Iran-Chine aurait pu être signé plus tôt. Il est nécessaire de façonner une véritable coopération économique et politique, ainsi que pour contrer efficacement les pressions oppressives des États-Unis. L’occasion doit être saisie pour transformer ce document en véritables projets économiques et politiques tout en préservant les intérêts nationaux. Ce modèle de mise à niveau des relations à un niveau stratégique doit être conçu et mis en œuvre rapidement avec d’autres pays, en particulier avec les pays voisins », a ajouté le chef du législatif iranien.
En évoquant la prochaine réunion de la Commission mixte du PGAC, le président du Parlement iranien a déclaré : « Le peuple et les responsables iraniens, d'une voix unifiée, attendent l'action pratique des autres signataires du PGAC en levant efficacement les sanctions contre l'économie iranienne, et nous avons répété à plusieurs reprises que l'Iran, après la vérification de la levée concrète des sanctions, agira conformément à ses engagements dans le cadre de l'accord nucléaire. »
« Les États-Unis doivent savoir que l'Iran a défini sa stratégie principale pour neutraliser les sanctions en réactivant l'industrie nucléaire, c'est maintenant aux Américains de décider et de lever complètement et pratiquement les sanctions contre l'Iran. La levée incomplète des sanctions ne répond pas aux demandes du peuple iranien », a précisé le président de l'Assemblée iranienne.
Source : IRNA
3- Paris en ruines
Ces derniers jours, des dizaines de milliers de photos de la capitale dans un sale état ont été partagées sur Twitter associées au hashtag #saccageparis. Samedi 3 avril, vers cinq heures et demie, le hashtag lancé le 21 mars rassemblait 23.000 tweets, rapporte Le Parisien cité par Sputnik.
Les contributeurs se présentent le plus souvent comme des Parisiens ne se réclamant d’aucun parti politique, mais tous hostiles à la politique de la maire de Paris qu’ils accusent d’avoir transformé la Ville Lumière en « une décharge à ciel ouvert », ajoute le média russe.
Notamment, plusieurs photos ont été partagées de l'avant et de l'après Hidalgo. L'architecte de Tel-Aviv sur Seine a fait en quelques années de Paris une « décharge à ciel ouvert ». Interrogée en juin 2020 par Times of Israël, la responsable socialiste s’est notamment confiée sur l’antisémitisme en France. Elle a indiqué que, alors que nous vivions dans une société qui est « extrêmement fracturée », il ne faut « rien laisser passer » et « nommer les choses, les combattre » et n’accepter « aucune complaisance ».
« Sur la question du BDS et du boycott d’Israël, à Paris, j’ai condamné fermement dès que j’ai été maire tous ces appels-là. J’ai tenu contre vents et marées un « Tel-Aviv plage » à Paris sous la pression et sous les insultes de celles et ceux qui faisaient l’amalgame entre antisémitisme et antisionisme ». Et bien son mandat de maire a fait de Paris une ville en ruines...
4- Syrie : la Russie sort son « drone-portable »
Des drones russes Inokhodets ont frappé des cibles terroristes en Syrie dont les coordonnées avaient été détectées et transmises par les systèmes portables de reconnaissance Strelets-M, a confié à Sputnik une source au sein de la Défense.
Les militaires russes déployés en Syrie ont testé la nouvelle technologie des drones de combat en matière de ciblage, laquelle fonctionne à l’aide d’un complexe portable de reconnaissance Strelets-M, a fait savoir la source.
Selon elle, au cours des essais, des drones Inokhodets ont réalisé des frappes sur des cibles terroristes dont les coordonnées avaient été détectées et transmises via les systèmes de reconnaissance vers le point de contrôle de drones en temps réel.
À l’heure actuelle, le système Strelets-M ne permet pas de guider les drones directement, mais à l'avenir, avec un niveau suffisant d’automatisation, les forces terrestres pourraient bien désigner en temps réel les cibles aux drones.
Source : Sputnik
5- L'Ukraine œuvre le front aérien anti-russe
L’Ukraine a l'intention d'attirer l'aviation militaire des États membres de l'OTAN pour patrouiller dans l'espace aérien dans la zone de démarcation du Donbass et dans la zone de la frontière ukraino-russe. Les experts n'excluent pas la possibilité que, dans ce cas, l'OTAN puisse frapper les positions des forces des républiques populaires autoproclamées de Donetsk et de Lougansk.
Lors de la réunion d'hier du chef adjoint du cabinet du président de l'Ukraine, R. Mashovets, et du chef de la représentation de l'OTAN en Ukraine, A. Vinnikov, sur les questions actuelles de l'interaction et de la situation dans les régions orientales de l'Ukraine, l'une des propositions qui ont été exprimées par la partie ukrainienne a été d'organiser des patrouilles aux frontières aériennes de l'Ukraine par l'aviation militaire du bloc, en suivant l'exemple de la façon dont elles sont organisées dans les États baltes, en Roumanie et en Islande », rapporte la chaîne Telegram « Operational Line ».
Ainsi, la tension à la frontière russe augmentera de manière très significative. Cependant, à l'évidence, en réponse à de telles actions, la Russie peut évidemment transférer ses chasseurs et ses bombardiers vers la Biélorussie voisine.
Source : Avia.pro
Regardez en direct tous les programmes de Press TV Français sur votre PC ou mobile!