Des sources d’information ont rapporté le crash d’un hélicoptère israélien dans le nord de la Palestine occupée.
Le Jerusalem Post a annoncé que l’hélicoptère s’était écrasé et quatre personnes, dont deux enfants, avaient été blessées dans l’accident.
Le journal israélien a ajouté que l’hélicoptère s’était écrasé dans un espace ouvert près de la zone « Rush Pina ». La police du régime sioniste et les inspecteurs des accidents aériens enquêtent sur les lieux.
Le Jerusalem Post n’a pas mentionné le type d’hélicoptère, le nombre de membres d’équipage ou d’autres détails sur l’accident.
Récemment, les médias sionistes ont rapporté l’accident d’un hélicoptère transportant le chef d’état-major interarmées de l’armée sioniste. Au cours de cet incident, l’hélicoptère Black Hawk transportant Aviv Kochavi a été contraint d’effectuer un atterrissage d’urgence sur une base aérienne du centre d’Israël en raison d’un défaut technique du moteur. Un autre hélicoptère militaire israélien a été abattu pendant le vol d’entraînement, et l’instructeur de vol et le pilote ont été tués. L’incident a eu lieu dans le sud d’Israël.
À la suite de cet accident d’avion, le major général Amikam Norkin, commandant de l’armée de l’air du régime sioniste, a ordonné la formation d’une équipe spéciale pour enquêter sur la cause de l’incident. De plus, l’armée de l’air du régime israélien a ordonné l’annulation de tous les vols d’entraînement.
Cela intervient alors que le 3 février dernier, un drone israélien a été visé par un missile antiaérien du Hezbollah. Ceci témoigne de la capacité croissante du Hezbollah à limiter la liberté d’action d’Israël. Les actions israéliennes offrent une fenêtre d’opportunité aux terroristes de Daech dans toute la Syrie, et principalement à Homs et à Deir ez-Zor.
Par ailleurs, le chef du bloc “Loyauté à la Résistance” au Parlement libanais, le député Muhammad Raad, a révélé dans une interview exclusive à Sputnik les détails de la visite de la délégation du Hezbollah, qu’il dirige, dans la capitale russe, Moscou, lundi prochain.
Muhammad Raad a déclaré que “la relation entre le Hezbollah et la Russie a commencé il y a des années et qu’elle est régie par des points d’intérêt commun et une vision unique ou très proche de la situation dans la région et de la nécessité de la stabilité de cette région”.
Il a souligné que “l’invitation que nous avons reçue vise à rouvrir le débat sur les perspectives de la prochaine étape après les acquis réalisés dans l’intérêt des peuples de la région”.