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Syrie : le A 50 russe déployé fraîchement à Hemimim fait un malheur au Sultan .. il pourrait en faire autant aux USA

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
A 50 AWACS russe déployé en Syrie.(Archives)

Décidément ce coup russe à A-50 AWACS a totalement neutralisé le Sultan qui croyait pouvoir reconduire l'exploit "dronesque" du Haut Karabakh à Aïn-Issa et en faire la conquête. En effet dans le Haut-Karabkh, où l'axe US/Israël/OTAN a déclenché le conflit, dressant le spectacle trop hollywoodien des unités entières de S-300 et de S-400 arméniennes s'effondrer sous les coups des nuées de drones Bayraktar, tout un travail d'espionnage préliminaire avait été fait pour que les drones réussissent. Or à Aîn Issa, Poutine semble vouloir rendre au Sultan la monnaie de sa pièce. Mais il y a peut être plus: le A-50 russe déployé en catimini en Syrie ne se trouve-t-il pas là pour donner un coup de main à l'Iran en cas de clash avec l'axe US/Israël? fort probable. En janvier 2020, ce furent les radars container russes qui ont averti l'Iran de la présence des F-35 US non lopin de son espace aérien le jour où l'Iran a pris pour cible de sa riposte balistique au meurtre de Soleimani la base US en Irak.

 

Selon des experts militaires russes qui reviennent sur cet épisode, bien avant que la guerre du HK n'éclate, AWACS et  E-7A US/OTAN volant à une altitude de 9000 m, et capable de suivre 180 cibles et à une distance de détection des cibles aériennes de 600 km, avaient bien identifié des emplacement et les coordonnés géographiques des batteries de missiles anti missiles, des unités d'artilleries ou encore des unités blindés arméniens et les Bayraktar et autres drones otaniens et israéliens n'ont fait que suivre le trajet déjà préétabli. Le carnage des blindés arméniens a été donc loin d'être le super exploit des drones azerbaïdjanaise. Or à Ain Issa la Russie semble avoir emprunté le meme scénario.  »

Selon les données préliminaires, l’A-50  évalue  la situation dans la zone de combat et coordonne, tel un C2 les frappes aériennes sur les positions terroristes, à chaque fois qu'ils tentent de faire une percée ne direction d'Ain Issa. D'où les échecs tonitruant du Sultan et de son Armée de Turan qui peinent à faire une percée ne seraitèce que minime en direction de M4 qui transite Ain Issa dont la prise serait vital pour une Turquie dont les troupes ont été poussées à se retirer du M5 ces quatre dernières semaines sous pression conjuguées de l'armée syrienne et de la Résistance. 

Puis A-50 russe semble aussi être là pour se venger des centaines de frappes au drone des terroristes pro-Ankara qui n'ont cessé ces derniers mois à attaquer la base aérienne russe depuis les plaines d'Al Ghab. Selon une tout dernière information, les forces aérospatiales syriennes et russes ont lancé ce jeudi une série d'attaques puissantes de missiles et de bombes contre des positions des terroristes  dans la province de Lattaquié. Les environs de la colonie de Kabani et la région de Jebel al-Akrad y ont passé. Quant à l'armée syrienne, elle a mobilisé avec ses alliés de la Résistance ses troupes au sol autour de la partie occupée par les terroristes des plaines d'al-Ghab.  l'armée syrienne a déployé de nouveaux renforts dans le camp de Jurin et la ville de Chat'ha dans la partie nord des plaines d'al-Ghab, ainsi que dans le villes de Tangera, Amqiyah et Shulin dans leur partie sud, ce qui a provoqué une véritable panique dans les rangs des terroristes. 

Les opérations au sol et les frappes aérienne sont coordonnées d'une mani-re parfaite et en plus des ondes électronqiues très largement envoyés sur nos positions nous empêchent d'avoir recours à nos drones et de les envoyer contre les positions ennemis, dit une source terroriste citée par Al Masdar.  Les terroristes takfiristes sont maintenant préoccupés par la possibilité d'une nouvelle avancée de l'armée syrienne dans les plaines d'al-Ghab. Ces inquiétudes sont renforcées par le fait que les forces turques maintiennent une très faible présence dans la région.

Toute attaque de l’armée nationale syrienne sur les plaines d'Al-Ghab fait  partie d'une opération à grande échelle visant à rouvrir l'autoroute stratégique M4, qui relie la ville portuaire de Lattaquié à la ville d’Alep, le métropole industriel de la Syrie, M5 état désormais totalement sous contrôle. Mais au train ou vont les événements, Grand Idlib non plus n'est pas à l'abri de l'armée syrienne et de ses alliés.  Les éléments de Hayat Tahrir al-Cham, entre autres, sont profondément préoccupés par une nouvelle attaque contre Idlib. Craignant un effondrement complet, le groupe terroriste a arrêté le 22 décembre au moins 20 personnes qui poursuivaient le plan de la réconciliation avec Damas dans la ville de Ma’arrat Misrin. Mais pour de nombreux analystes Erdogan est désormais trop affaibli pour pouvoir lancer des offensives d'envergure dans le nord syrien, toutes ses équipées en Libye, en Méditerranée ou encore dans le Caucase ayant échoué. Sans A-50 aussi l'armée syrienne et ses alliés auront la peau du Sultan. La bataille d'Aïn Issa n'est -elle pas un prétexte pour un déploiement de A 50 AWACs russe sur les frontières syro-irakiennes en prévision d'un clash US/Résistance clash qui verra la Russie participer indirectement à la défaite des USA? 

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV