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Karabakh : Poutine prône pour une solution pacifique

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan. ©TASS/Archives

Le président russe a dénoncé les tentatives d'attiser les divisions parmi les religions et les groupes ethniques dans le monde. Il a également fait état de ses efforts visant à mettre fin aux tensions au Haut-Karabakh.

Cité par l’agence de presse iranienne Fars News, ce mercredi 4 novembre, Vladimir Poutine affirme que son pays ne ménagerait aucun effort pour mettre fin au conflit dans la région montagneuse du Haut-Karabakh opposant l’Arménie et la République d’Azerbaïdjan déclenché fin septembre.

« Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour mettre fin au conflit du Haut-Karabakh », a-t-il dit lors d’un discours prononcé à l’occasion de la Journée de l’unité nationale en Russie devant les représentants des associations religieuses du pays.

« La situation au Haut-Karabakh aurait pu être réglée pacifiquement sans recourir aux armes, et la Russie est en contact avec l’Arménie et l’Azerbaïdjan au sujet du Haut-Karabakh et nous espérons obtenir les résultats qui iraient dans l’intérêt de tous », a-t-il lancé.

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Le président russe a également déclaré que la question des minorités religieuses et ethniques figurait parmi les questions les plus difficiles et les plus sensibles.

Déplorant l’instrumentalisation des relations interconfessionnelles pour de sales jeux géopolitiques, il a indiqué : « Les extrémistes cherchent à détruire ces relations et à semer la haine et l’animosité. »

Le président russe a également condamné les attaques terroristes perpétrées au cours des dernières semaines en France, appelant à lutte contre les courants extrémistes.

Plus tôt, la Russie a annoncé, mardi 3 novembre, que l’initiative de l’Iran pour le règlement du conflit du Haut-Karabakh serait examinée avec minutie, soulignant qu’une entrée des forces de maintien de la paix dans le Karabakh, sans consentement des parties impliquées dans le conflit, serait exclue.

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV