Aujourd’hui, le Corps des gardiens de la Révolution défend non seulement la sécurité et la dignité de l’Iran, mais aussi de tous ceux qui sont dans les territoires de l’Oumma islamique à des milliers de kilomètres au-delà des frontières du pays, a déclaré le commandant en chef du CGRI.
Dans une interview à l’occasion de l’anniversaire de l’Imam Hossein (que le salut de Dieu soit sur lui) célébré comme la journée des gardiens de la Révolution, le général Hossein Salami a affirmé que : « étant donné que les menaces sont devenues plus complexes, le champ d’action du CGRI s’est donc élargi. Ce n’est pas seulement les domaines sécuritaire et militaire qu’il défend, le CGRI mène également une défense culturelle et identitaire ».
Le commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique a déclaré que la mission du CGRI n’a pas changé au fil du temps et qu’il est le pionnier dans les combats contre tous les problèmes qui mettent en danger la dignité et l’identité de la nation iranienne.
« Dès le premier jour de la propagation du Coronavirus, nous avons mobilisé toutes les capacités du CGRI et de Basij (Forces composées de jeunes volontaires) et préparé tous les hôpitaux et les hôpitaux de campagne pour traiter les patients testés positifs au Coronavirus », a-t-il précisé.
Il a indiqué que les hôpitaux de campagne du CGRI étaient munis de tous les équipements médicaux et diagnostiques ainsi que des ressources humaines ajoutant qu’il était possible de les transférer rapidement vers un autre endroit.
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Le commandant en chef des gardiens de la Révolution a affirmé que : « Chaque problème majeur qui a été imposé à la nation iranienne a été transformé en une grande opportunité pour le pays ». Il a donné l’exemple de la guerre Iran-Irak (1980-1988) imposée par l’arrogance mondiale à l’Iran comme l’un des plus grands événements auxquels le CGRI a été confronté au début de la Révolution qui a abouti finalement au renforcement des capacités militaires de l’Iran.