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Au sommaire :
1-Porteur Zéro du COVID-19 : la piste militaire US
Des informations non confirmées évoquent pour la première fois le porteur zéro de la pandémie COVID-19 causé par le coronavirus SRAS-nCoV-2.
Selon des sources proches du renseignement militaire chinois, il s’agirait d’une Américaine travaillant pour le renseignement et d’un officier militaire US travaillant actuellement dans l’US Space Force, ou Forces spatiales des États-Unis, la nouvelle et sixième branche des forces armées américaines, créée le 20 décembre 2019 et dont le quartier général est provisoirement situé sur la base militaire aérienne de Peterson (Peterson Air force Base).
Concernant le premier suspect, c’est une femme d’origine hollandaise, née en 1969, et serait selon les mêmes sources, le patient Zéro du SRAS-nCoV-2 apparu à Wuhan entre le 18 et le 28 octobre 2019. Elle aurait guéri et fait l’objet d’une protection fédérale. La plupart de ses profils sur le Net ainsi que ses traces électroniques sont soit supprimés, soit restreints. Toute référence à cette personne comme étant le premier vecteur du COVID-19 apparu dans un marché de la ville de Wuhan est systématiquement censurée sur les réseaux sociaux.
Le second suspect serait un commandant qui aurait intégré après les jeux de Wuhan la Force spatiale des États-Unis, ou l’US Space Force. On ne dispose d’aucune information à son sujet ni s’il serait encore en vie. Certaines thèses supputent sans apporter la moindre preuve que cet officier aurait été contaminé accidentellement soit lors d’un incident ou dans une opération de transport de matériel biologique hasardeux issu d’un laboratoire de recherche sur les armes biologiques destinées à l’Afghanistan. On est ici dans le domaine du conspirationnisme et aucun fait n’étaye ces affirmations. Ce qui est certain est que l’Afghanistan est une terre d’essais traditionnelle de vecteurs biologiques visant à affaiblir ses populations par des virus saisonniers modifiés à létalité réduite, mais fortement handicapante. Les forces US ont déjà disséminé de nouvelles souches virales responsables de la rougeole et les talibans ont toujours accusé Washington de leur faire subir une guerre biologique. Cela expliquait pourquoi les équipes de vaccination contre la Polio, parfois protégées par des convois blindés et aéroportés, étaient et sont toujours des cibles prioritaires de la guérilla talibane.
Il existe une suite à cette thèse impliquant un usage du gaz Sarin pour brouiller les pistes ou pour continuer une stratégie par de nouveaux moyens. L’existence de ces thèses explique pourquoi les médias occidentaux mènent une campagne battante contre la Chine même au plus fort de la crise générée par le COVID-19 sur son territoire.
Source : Strategika 51
2-L’Allemagne se prépare à des frappes nucléaires ?
Comme maintenir en service ses chasseurs-bombardiers Tornado ne sera plus soutenable financièrement en 2030 en raison d’une hausse exponentielle des coûts de maintien en condition opérationnelle [il est question de 9 milliards d’euros], la Luftwaffe [force aérienne allemande] souhaite les remplacer au plus tôt.
Seulement, dans le cadre de l’OTAN, l’Allemagne abrite au moins une vingtaine de bombes nucléaires tactiques B-61, mises à la disposition de l’Alliance par les États-Unis. Et donc, elle doit disposer d’avions capables de les mettre en œuvre. Ce qui est le cas des Tornado. En outre, il revient également à la Luftwaffe d’être en mesure d’effectuer des missions de guerre électronique visant à supprimer les défenses aériennes ennemies [missions SEAD]. Et, actuellement, elle dispose de Tornado ECR pour cela.
Le souci est que certifier le Typhoon [ou EF-2000] pour des missions nucléaires prendrait trop de temps. Ce qui ne serait pas le cas pour le F/A-18 Super Hornet. Les B-61 étant américaines, il est donc naturel que les avions américains soient privilégiés…
Source : Opex 360
3- France : vers une dictature militaire ?
Le 16 mars, le président Macron avait annoncé que les armées seraient mobilisées pour faire face à l’épidémie de Covid-19. Sans attendre, l’armée de l’Air a évacué plusieurs patients hospitalisés en Alsace vers des établissements situés dans des régions peu [ou en tout cas moins] touchées. La Marine nationale a sollicité le porte-hélicoptères amphibie [PHA] Tonnerre pour en faire de même en Corse. Enfin, le Régiment médical de l’armée de Terre a été mobilisé pour déployer un hôpital de campagne à Mulhouse, en coopération avec le Service de Santé des Armées
Sur les ondes de RTL, le 26 mars, Mme Parly a indiqué que l’opération Résilience allait mobiliser dans un premier temps « quelques centaines de militaires ». Et au fur et à mesure des demandes, « nous allons monter en puissance » et engager « certainement plusieurs milliers » de personnels, a-t-elle ajouté. « Il est difficile de donner un chiffre tout simplement parce que nous allons nous efforcer de nous adapter du mieux possible aux demandes exprimées par les préfets », a-t-elle conclu.
Où trouver des effectifs ? Les armées feront-elles comme la Gendarmerie nationale, qui a envoyé sur le terrain les élèves de ses écoles ?
Source : Opex 360
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