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L’armée yéménite a présenté le 23 mars un bilan des opérations réussies des forces de l’armée et d’Ansarallah depuis le début de l’agression de la coalition dirigée par l’Arabie saoudite en mars 2015. Cinq ans de résistance marquée par de batailles héroïques contre une coalition formée de 17 armées, dites les plus puissantes du monde...
Ansarallah a mis au pas non seulement la plus grande coalition militaire du début du siècle, mais aussi défié le complexe militaro-industriel avec des milliers de chars, de blindés, d'hélicoptères, de navires de drones, d'avion de combats américains et otaniens, détruits...
Dans le cadre des frappes au missile de l'armée yéménite, le porte-parole de l’armée a annoncé que l’unité de missiles avait tiré 174 missiles balistiques sur les positions des agresseurs au cours de l’année dernière et avait tiré au total 1040 missiles balistiques contre les bases de l’ennemi au cœur du territoire du royaume saoudien.
Il faut noter que d’après les statistiques de l’armée yéménite, les chiffres ci-dessus ne concernent pas seulement les tirs de grands missiles tels que Scud ou Borkan, mais comprennent également la famille de roquettes d'artillerie Badr, qui est classée comme missile balistique dans l'armée yéménite. Selon les informations et documents disponibles publiés ces dernières années, on estime qu'il y a environ 300 tirs de missiles balistiques lourds tels que Scud, Borkan et Tochka et plus de 700 tirs de roquettes d'artillerie tels que Badr 2, Qaher M-2 et Badr-P vers les positions ennemies.
Elias Moutran, membre du congrès national arabe et Habib Tawa, analyste politique s'exprime sur le sujet.