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La base K1 à Kirkuk criblée de missiles

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Une base militaire américaine attaquée dans le nord de l’Irak, le 13 mars 2020. (Photo d'illustration)

Une base militaire américaine a été attaquée dans le nord de l’Irak.

À peine quelques heures après les frappes aériennes américaines visant plusieurs positions des Hachd al-Chaabi dans quatre provinces de l’Irak, la base militaire des États-Unis, dite K-1, située non loin de Kirkouk dans le nord de l’Irak, a été touchée par des missiles Katioucha.

A l’aube de ce vendredi 13 mars, les positions des Hachd al-Chaabi dans quatre provinces de l’Irak – Bassora, Babel, Karbala et Salah ad-Din – ont été visées par les avions de chasse américains. L’offensive aérienne a été revendiquée par le Pentagone ajoutant qu’elle avait été menée en réaction à une attaque à la roquette contre la base militaire américaine de Taji, au nord de Bagdad.

Dans la foulée, le mouvement irakien d’al-Nujaba a annoncé, dans un communiqué, que les États-Unis ne cessaient de commettre des crimes à l’encontre des Hachd al-Chaabi, et ce grâce à l’inaction de la communauté internationale.

Les États-Unis ont organisé une mise en scène mercredi soir en visant la base aérienne qu'ils occupent à Taji, au nord de Bagdad: le tir de 18 roquettes de Katioucha lequel aurait provoqué la mort de deux soldats américains et un Britannique.

Dans la foulée, le chef du Pentagone a accusé les Hachd al-Chaabi d’être l’auteur des attaques. Les Hachd ont pourtant affirmé être d’ores et déjà en guerre contre l'occupation américaine et n’agir guère de façon dissimulée. 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV