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Le nouveau chef du CGRI, le général H.Salami a été reçu par le président Rohani

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Une parade militaire du Corps des gardiens de la Révolution islamique. (Archives)

La première réunion commune du président iranien, Hassan Rohani et du nouveau commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), le général de division Hossein Salami, a eu lieu ce mercredi 24 avril 2019.

Selon le chef du bureau du président Rohani, cité par Al-Alam, le chef de l’État ainsi que les ministres ont favorablement accueilli la désignation du général Salami à la tête du CGRI, et cette première rencontre entre le président et le chef du CGRI s’est tenue en présence des ministres.

 

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Dans ce cadre, le chef d'état-major des forces armées iraniennes, le général de division Mohammad Baqeri, a insisté sur le rôle du CGRI en vue de neutraliser les complots américains.

Selon le général Baqeri, à l’heure actuelle, les États-Unis, à cause de la colère qui les ronge [pour la défaite de leurs plans], ont eu recours à de nouvelles conspirations et sanctions et le rôle du CGRI pour les neutraliser est certes un rôle axial.

Baqeri s’est voulu rassurant sur le fait qu’avec les ordres du général Salami, l’échec de l’ennemi sera certain face à notre armée et notre force d’élite.

Le chef d'état-major des forces armées iraniennes a précisé :

« Il est évident que les États-Unis sont en colère contre le Corps des gardiens de la Révolution islamique ; le blacklistage du CGRI a montré d’ailleurs à quel point ils étaient en colère. Des criminels qui offrent eux-mêmes un appui en argent et en armement aux terroristes ont placé le CGRI sur leur liste des groupes terroristes. Et c’est vrai que l’on ne devrait pas s’attendre à autre chose de cet ennemi. »

Le général de division Baqeri s’est également penché sur d’autres points qui témoignent de cette haine de l’administration US envers Téhéran :

« La colère des États-Unis se révèle aussi par leur décision de mettre fin aux exemptions accordées à certains clients du pétrole iranien », estime le général de division Baqeri d’après lequel de telles restriction ne pourront rien contre la puissance de la RII. Et le haut cadre militaire iranien a appelé à voir là-dedans plus une opportunité qu’autre chose pour réduire la dépendance du pays aux revenus pétroliers.

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV