Au sommaire :
1. Le Brésil à l’OTAN ?
Le Brésil au sein de l’OTAN, pourquoi pas : en tous cas Trump promet d’examiner l’idée.
Lors d’une réunion avec son homologue brésilien, Donald Trump a confié qu’il aimerait voir le pays latino-américain intégrer l’Alliance atlantique.
Le locataire de la Maison-Blanche s’est déclaré prêt à examiner la perspective d’adhésion du Brésil au sein de l’OTAN, rapportent mardi les médias américains.
« Nous souhaitons étudier très attentivement tout ce qui concerne l’adhésion du Brésil à l’OTAN ainsi que toute sorte de relations de partenariat du pays avec l’Alliance », a fait savoir Donald Trump au terme d’un entretien avec son homologue brésilien Jair Bolsonaro, en visite à Washington.
Dans ce contexte, il a fait part de son intention d’accorder au Brésil le statut d’allié majeur non membre de l’OTAN.
2. La Russie et la Chine écraseraient les États-Unis en cas de conflit
L’armée américaine continue de cumuler les échecs pendant les simulations de guerre, a déclaré un analyste au journaliste de Breaking Defense, Sydney Freedberg Jr. Il en coûterait 24 milliards de dollars par an pour régler les problèmes les plus importants, selon le même analyste.
« Dans nos simulations, lorsque nous combattons la Russie et la Chine, les États-Unis subissent des revers », déclare David Ochmanek, analyste du groupe de réflexion californien la RAND Corporation, dans le cadre d’une table ronde tenue le 7 mars 2019 au Center for a New American Security, à Washington. « Il s’avère que les super-armes américaines ont un sérieux talon d’Achille », s’inquiète Freedberg.
Selon Ochmanek, les bases américaines sont vulnérables aux attaques de missiles longue portée. Il en va de même pour les grands navires de guerre naviguant en haute mer. « Les choses qui dépendent d’une infrastructure de base sophistiquée comme les pistes d’atterrissage et les réservoirs de carburant sont particulièrement vulnérables », a déclaré M. Ochmanek. « Les choses qui naviguent à la surface de la mer elles aussi. »
3. La Chine a besoin de l’Iran
Le ministre chinois du Commerce a qualifié de « complémentaires » les économies chinoise et iranienne avant de souligner que renforcer la coopération entre les deux pays est non seulement dans l’intérêt des deux nations, mais aussi en faveur du développement et de la prospérité de la région et du monde.
Le ministre chinois du Commerce Zhong Shan, qui a tenu ces propos le mardi 19 mars lors de la dix-septième commission mixte de coopération économique Iran-Chine en présence de Farhad Dejpasand, ministre iranien des Affaires économiques et des Finances, a qualifié l’Iran de « partenaire stratégique » de la Chine au Moyen-Orient, avant d’indiquer que la Chine est également le principal partenaire commercial et le plus grand importateur de pétrole iranien.
Le ministre du Commerce de la Chine a félicité le peuple et le gouvernement iraniens pour l’arrivée de leur Nouvel An, la fête millénaire de Nowrouz, affirmant que la réunion de cette commission s’inscrivait dans le cadre de la mise en œuvre des accords qui ont été signés entre les deux présidents lors de réunions et de visites antérieures et qui sont très bénéfiques pour les deux pays.
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