Les 59 coups de feu tirés durant les dernières 24 heures dans plusieurs villes américaines ont fait au moins 14 morts et 39 blessés.
Selon un centre de surveillance de la violence armée aux États-Unis, les fusillades s’étant produites dans les villes de Lexington en Caroline du Nord, Brooklyn à New York, Paterson dans le New Jersey et Little Rock en Arkansas ont fait dix blessés, dont la moitié sont des adolescents. Parmi les blessés, deux sont dans un état grave.
Des centaines de militants anti-armes s’étaient rassemblés fin août à Washington devant le siège de « National Rifle Association », puissant lobby faisant la promotion des armes à feu aux États-Unis.
Des coups de feu dans la ville de Cleveland dans l’Ohio ont également fait un mort et trois blessés.
16 fusillades n’ont fait ni morts ni blessés.
Selon les rapports publiés, 174 cas de fusillade ont été enregistrés dans plusieurs États américains durant les dernières 48 heures. Les fusillades se sont soldées par la mort de 41 personnes et ont laissé 100 blessés.
Aussi riche et avancé que puisse être le pays, les États-Unis n’ont en quelque sorte pas été à la hauteur pour faire face au fléau de la violence armée. Selon le site web américain « Market Watch », rien qu’en 2018, 47 220 incidents liés à des armes à feu ont provoqué 11 984 décès aux États-Unis.