Au sommaire :
– Russie/OTAN :
L’OTAN pourrait avoir recours à l’article 5 du traité de l’Atlantique nord sur la défense collective en cas de « cyberattaques de la part de la Russie », a déclaré le secrétaire général de l’OTAN. La Russie a rejeté à plusieurs reprises les accusations de cyberattaques et de tentatives d’influencer sur les élections dans différents pays par cette méthode. Le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a qualifié ces accusations d’« absolument infondées ».
– Ukraine/Russie :
En Ukraine, quatre ans après le rattachement de la Crimée à la Fédération de Russie, le conflit dans l’est du pays continue de faire des morts. Et si Petro Porochenko a déchiré ce traité d’amitié le 19 septembre, c’est tout simplement parce qu’il est en pleine campagne électorale. Pour lui, seule une mission internationale de maintien de la paix dans l’Est peut poser les bases d’un règlement du conflit.
– Allemagne/Iran :
Volkswagen a refusé de confirmer jeudi son départ d’Iran annoncé par l’interventionniste ambassadeur américain en Allemagne, un proche de Donald Trump. L’ambassadeur des États-Unis à Berlin, Richard Grenell, avait pourtant affirmé qu’un accord avait été trouvé mardi entre le groupe automobile et la diplomatie américaine, selon l’agence Bloomberg. En vertu de cet accord, Volkswagen n’aurait plus que des activités très restreintes en Iran pour des motifs humanitaires. Or, un tel accord « n’existe pas », ont indiqué des sources informées auprès de l’AFP.
– USA/Iran :
À Washington, une activiste a été expulsée après avoir scandé des slogans contre la guerre dans une réunion anti-Téhéran. Elle avait pris d’assaut la scène après le discours pro-sanctions du représentant spécial américain pour l’Iran. Avant d’être expulsée de la salle par trois vigiles, elle a eu le temps de lancer ces derniers mots : « Soyons réalistes ! Plus de guerre ! Paix avec l’Iran ! »
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