« Je suis blessé au plus profond de moi-même, pas pour moi, mais pour mon pays. On n’a pas le droit de jeter des gens dans la boue parce que des assassins l’ont voulu. Je ne peux pas laisser faire ça », a fait savoir l’ex-président Nicolas Sarkozy, dont le patronyme — cela ne s’invente pas — signifie justement « dans la boue » en hongrois.
Son avocat a par ailleurs fait savoir qu’il allait contester le contrôle judiciaire de son client.
Suggère-t-il qu’il y aurait quelque chose d’autre de caché derrière cette affaire ? Sinon, comment expliquez-vous cet acharnement contre l’ancien président français ?
Luc Michel, géopoliticien, partage son analyse à ce sujet.