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Ghouta orientale : les forces syriennes libèrent trois autres localités

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
L'armée syrienne gagne du terrain dans la Ghouta orientale. (Illustration)

L’armée syrienne appuyée par des forces de défense populaires a percé la ligne de défense des terroristes dans la Ghouta orientale, près de Damas, libérant trois localités, a annoncé la chaîne de télévision al-Mayadeen.

Les forces de l’armée syrienne et celles de la défense populaire ont chassé samedi 3 mars, après d’intenses combats, les groupes armés des villes d’Otaya, de Housh al-Salhiya et de Tal-Farzat dans la Ghouta orientale, en banlieue de Damas.

Selon ce rapport, les terroristes du Front al-Nosra ont subi de lourdes pertes et dû rebrousser chemin. 

À en croire l’Observatoire syrien des droits de l’homme proche de l’opposition, le gouvernement de Damas a repris le contrôle de 10% de la Ghouta orientale, occupée par les groupes armés.

Les forces syriennes progressent avec prudence dans le nord de la banlieue de Harasta. D’autre part, les attaques à l’obus de mortier contre les quartiers du centre de Damas se poursuivent.

Évoquant la progression et l’avancée de l’armée syrienne dans la Ghouta orientale, le vice-ministre syrien des Affaires étrangères Ayman Soussane a souligné : « Les terroristes seront vaincus bientôt dans la Ghouta, tout comme ils l’ont été à Alep. »

Loin des propagandes des médias occidentaux concernant la sécurité des habitants de la Ghouta, l’armée syrienne, soutenue par la Russie, dispose de raisons fortes et suffisantes pour mener son opération militaire dans la Ghouta orientale, dont la plus importante est la présence de groupes terroristes armés qui ont violé les clauses de l’accord sur les zones de désescalade et qui ont tenté de lancer une offensive pour s’emparer de la Ghouta orientale.   

Les Occidentaux qui soutiennent les terroristes syriens et qui depuis le début du déclenchement de la crise syrienne souhaitent l’effondrement du gouvernement, savent désormais que si la Ghouta orientale de Damas, dernier bastion des terroristes et des opposants syriens, venait à tomber, ils perdraient l’un de leurs leviers de pression sur le gouvernement syrien et que les terroristes et les opposants se rendraient alors tôt ou tard à l’armée.

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV