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Washington répète ses allégations sur un prétendu usage d'armes chimiques par Damas

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Une photo d'archives de l'AFP montrant la réunion du Conseil de sécurité sur les attaques chimiques en Syrie.

Le Conseil de sécurité des Nations unies s’est réuni ce lundi 5 février pour discuter du prétendu usage d’armes chimiques par Damas.

Lors de cette réunion, l’ambassadrice américaine au Conseil de sécurité Nikki Haley a accusé Damas d’utiliser l’arme chimique et la Russie, de perturber les enquêtes à ce sujet, rapporte la chaîne al-Alam.

L’ambassadeur du Royaume-Uni à l’ONU a affirmé de son côté que son pays saluerait les sérieux efforts censés redynamiser une enquête indépendante sur les attaques chimiques en Syrie ; tandis que le représentant français, sans émettre de preuves authentiques, a rendu le gouvernement d’Assad responsable de ces attaques.

Le ministère russe des Affaires étrangères avait auparavant qualifié de « sans fondement » les déclarations des autorités occidentales sur un prétendu recours aux armes chimiques, par le gouvernement syrien, à Ghouta orientale de Damas.

Pour sa part, Damas tient à dire que ce que rapportent les médias pro-occidentaux, sur un prétendu usage d’armes chimiques par le gouvernement syrien, s’inscrit dans le cadre du nouvel épisode du plan des États-Unis et de leurs alliés occidentaux qui cherchent à asseoir leur mainmise sur la Syrie et son peuple, sur la base d’acquis historiques que l’armée syrienne a réussi à obtenir dans la lutte contre le terrorisme.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV