Le commandant adjoint du Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI), le général Hossein Salami, a affirmé qu’Israël n’était pas capable d’affronter le Hezbollah et n’était pas en mesure de proférer des menaces contre l’Iran.
« Le régime usurpateur sioniste sait très bien qu’il disparaîtra complètement s’il se lance dans une nouvelle guerre dans la région. »
Selon le commandant adjoint du CGRI, dans beaucoup de pays dont le Yémen, la Syrie et l’Irak, de jeunes musulmans se sont préparés à affronter les mécréants. « Israël sait bien qu’il ne peut rien faire face aux milices populaires et qu’il est condamné à échouer », a-t-il ajouté.
« En Syrie, aussi, on était témoin de la mobilisation de jeunes musulmans qui, par leur résistance, ont repoussé le complot funeste des takfiristes et qui ont réussi ainsi à sauver la Syrie, un pays d’une importance stratégique particulière, des griffes des puissances arrogantes. »
« À travers la guerre en Syrie, les ennemis entendaient créer une sphère de sécurité pour Israël, mais la présence du front de la Résistance sous le leadership de l’Iran a empêché que les ennemis puissent réaliser leurs plans dans la région du Moyen-Orient », a précisé le général Salami.
Il a ajouté que l’ordre de l’Arrogance, avec l’appui saoudo-américain, avait facilité l’arrivée des terroristes en Syrie et en Irak et les avait soutenus par divers moyens. « Mais cette grande sédition, dangereuse pour la région, voire le monde, a été évitée grâce aux efforts des combattants de la Résistance », a ajouté le commandant adjoint du CGRI.
Le général Salami a également affirmé que cet esprit de résistance est aussi perceptible auprès du peuple iranien et ainsi, le seul destin qu’on puisse imaginer pour les ennemis est l’échec :
« Nous avons rehaussé notre capacité balistique. La tolérance n’est nullement recommandée face à un ennemi qui ne comprend que le langage de la force ; il faudra donc lui parler en utilisant le langage de la force. »