La France envisagerait des négociations avec les 5+1, « pour compléter » le Plan global d’action conjoint (PGAC), accord signé en 2015 sur le nucléaire iranien.
Selon Agnès Romatet-Espagne, la porte-parole du Quai d’Orsay, l’accord de Vienne sur le programme nucléaire iranien pouvait être complété par « un travail indispensable sur l’utilisation de missiles balistiques ».
La porte-parole du ministère français des Affaires étrangères a cependant reconnu que l’accord de Vienne sur le programme nucléaire iranien est un accord essentiel pour la sécurité régionale et internationale et pour le régime de non-prolifération, reprenant les mots utilisés par Emmanuel Macron, en disant qu’il n’y a « aucune alternative crédible » à cet accord.
Selon les analyses, les déclarations des autorités françaises illustrent leur inquiétude liée aux menaces proférées par le président américain, Donald Trump, sur un éventuel retrait des États-Unis du Plan global d’action conjoint
Antoine Charpentier nous répond.