Dans la foulée du tapage médiatique sur le transfert des turbines à gaz de la société Siemens en Crimée, l’Union européenne vient d’adopter de nouvelles sanctions contre Moscou.
Les nouvelles sanctions antirusses rappellent celles qu’a subies la Russie en 2014. À la suite d’un référendum, la Crimée a été rattachée à la Russie, ce qui a décidé l’UE à adopter des mesures punitives à l’encontre de la Russie.
Depuis, les entreprises occidentales se sont vues interdites de commercer et de mener des échanges économiques avec la péninsule de Crimée.
Et ce vendredi, avec cette histoire de turbines à gaz, la Commission européenne a imposé de nouvelles sanctions, sanctionnant cette fois-ci trois particuliers et trois entreprises russes.
Le nom du vice-ministre russe de l’Énergie vient ainsi de s’ajouter à la liste noire du bloc.