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Astana : les zones de désescalade à l’ordre du jour

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
L’ambassadeur de Syrie auprès des Nations unies, Bachar al-Jaafari (C), est à Astana, la capitale kazakhe, qui accueille une cinquième série de pourparlers entre le gouvernement syrien et l’« opposition syrienne », le 4 juillet 2017.

Une cinquième série de pourparlers sur la Syrie s’est ouverte aujourd’hui, mardi 4 juillet, à Astana sous l’égide de la Russie, de l’Iran et de la Turquie. L’objectif principal est d’étudier la mise en place de zones de désescalade dans le pays.

Selon l’agence de presse russe ITAR-TASS, une réunion de ces trois pays est en effet en cours en ce moment dans la capitale du Kazakhstan, pour examiner les moyens possibles d’instaurer des zones sécurisées en Syrie. À la suite de ces pourparlers tripartites, il y aura en principe des consultations bilatérales avant qu’une session plénière ne conclue les négociations demain.

Un communiqué devrait être publié à propos du déminage à effectuer sur les sites historiques de Syrie.

Sont présents à la réunion des représentants de Damas, de l’« opposition syrienne », de la Russie, des États-Unis, de l’Iran et de la Turquie. L’émissaire de l’ONU pour la Syrie, Staffan de Mistura, est également présent aux pourparlers.

La chaîne russe Russia Today a aussi rapporté que les négociateurs étaient en train de discuter de la constitution d’un comité de réconciliation nationale.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV