Telle est donc la position, à ce stade, du département américain à la Défense qui exclut l'idée d'une nouvelle frappe.
Le Pentagone a en effet déclaré que l’action militaire des États-Unis en Syrie serait limitée et que l'armée n’envisageait pas de mener de nouvelles frappes, indique la chaîne d’information al-Mayadeen, citant les sources américaines.
Une annonce faite par Jeff Davis, qui a déclaré « la Russie avait été prévenue de la frappe américaine, sur une base militaire à l’ouest de la Syrie. »
Moscou avait par ailleurs mis en garde Washington contre « les conséquences négatives » d’une action militaire en Syrie.
Les Etats-Unis viennent de lancer des missiles contre une base aérienne en réponse à une présumée attaque chimique qu’ils imputent au gouvernement de Damas.
Pour Damas c'est un scénario préparé et prémédité, alimenté par la machine médiatique de l’Occident.
A en croire les observateurs, le commandement central des Etats-Unis présent dans la région avait préparé il y a des années des plans pour une attaque contre le gouvernement Assad et son renversement en Syrie et n’attendait que le feu vert de la Maison Blanche.