À peine 24 heures après l’attaque contre le métro de Saint-Pétersbourg en Russie, une vaste campagne d’intoxication a été lancée le mardi 4 avril contre le gouvernement syrien, accusé par les médias occidentaux d’avoir gazé « les habitants d’Idlib ».
Cette nouvelle campagne anti-Assad est lancée alors que Damas a détruit en 2014 tous ses arsenaux chimiques sous la supervision de l’ONU et que le bon déroulé du processus a été confirmé par les inspecteurs de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques.
Bassam Tahhan, analyste franco-syrien des questions internationales, nous donne plus de détails à ce sujet.