Au sommaire :
– Iran :
La France a condamné avec la plus grande fermeté l’attentat perpétré à Ahwaz, dont le bilan provisoire s’élève à 29 morts et plusieurs dizaines de blessés, parmi lesquels de nombreux civils. Le 22 septembre, une parade militaire organisée à Ahwaz, dans le sud-ouest de l’Iran, à l’occasion de la Journée nationale des forces armées, a été la cible d’un lâche attentat qui a fait 25 morts, dont des enfants, et plus d’une cinquantaine de blessés. La tuerie terroriste a été revendiquée par des terroristes soutenus par Riyad et l’Iran a promis une cinglante riposte.
– Russie/Israël :
L’incident ayant conduit à la destruction d’un Il-20 russe près des côtes syriennes se répercutera sur les relations entre Moscou et Israël, prédisent des experts en relations internationales interrogés par Sputnik. L’un d’eux n’exclut pas que la Russie puisse installer des S-300 en Syrie, fermant ainsi son ciel à Israël. « La Russie pourrait donner une riposte extrêmement désagréable en installant en Syrie des systèmes S-300 et en fermant ainsi le ciel syrien à Israël », suppose Andreï Sidorov, maître de conférences à l’Institut d’État des relations internationales de Moscou (MGIMO).
– Tchéquie/Iran :
Lors de sa rencontre avec Angela Merkel, chancelière allemande, le président de la République tchèque, Milos Zeman, a critiqué les nouvelles politiques économiques de Washington en affirmant que la guerre commerciale n’est dans l’intérêt de personne et qu’elle pourrait conduire à une crise à l’échelle mondiale. Dénonçant les sanctions américaines contre l’Iran, Zeman a assuré que les entreprises tchèques désiraient effectuer des échanges commerciaux avec ce pays.
– France/Hongrie :
« Les pays qui ne veulent pas davantage d’Europe ne toucheront plus les fonds structurels », a prévenu Emmanuel Macron ce 20 septembre à l’issue d’un sommet européen à Salzbourg, en Autriche. Un vif échange a opposé fin août Emmanuel Macron d’un côté et Viktor Orban de l’autre. Le locataire de l’Élysée avait volontiers endossé le rôle d’« opposant principal » aux « nationalistes » tandis que le second accusait le président de la République d’être « à la tête des forces politiques soutenant l’immigration ».
– France :
Pour le général Lecointre, chef d’état-major français, la dissuasion nucléaire est un invariant de la réflexion stratégique française. Elle demeure « l’arme absolue », recherchée par « les États en quête d’un statut de puissance souveraine », alors que « l’imprévisibilité s’accroît de nouveau avec l’émergence d’une guerre sans front, sans champ de prédilection et sans frontières. » Dans ce contexte, la « doctrine française fondée sur la stricte suffisance et la légitime défense est mise au défi ». Bref, l’armée française sous commandement du président Macron compte réactiver le front nucléaire.
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