Le samedi 4 novembre, à la surprise générale, le Premier ministre libanais, Saad Hariri, a annoncé sa démission de la présidence du Liban.
Dans son allocution, il a fustigé violemment l’Iran et le Hezbollah, s’alignant totalement sur la position de Riyad, mais est-ce de l’Iran et du Hezbollah qu’il a eu peur ou de ses maîtres ?
Leila Mazboudi, rédactrice en chef à la chaîne de télévision Al-Manar, nous donne plus de détails à ce sujet.
À lire : Démission d’Hariri depuis Riyad : une insulte à la souveraineté libanaise