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La présidentielle américaine serait facile à truquer

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Des urnes prêtes à être utilisées pour la présidentielle américaine du 8 novembre 2016, New York. ©GETTYIMAGES

L’entreprise américaine Cylance vient de publier une vidéo montrant que les machines qui seront demain utilisées pour le décompte des bulletins de vote à la présidentielle aux États-Unis sont des engins facilement manipulables et que les résultats peuvent très aisément être falsifiés.

En guise d'expérience, les examinateurs ont testé des Sequoia AVC Edge Mk1, machines utilisées lors de la présidentielle de 2008.

Dans cette expérimentation dont on voit la vidéo ci-jointe, la société rappelle tout d’abord les chiffres originaux du scrutin avant de proposer une méthode pour les falsifier.

On voit alors sur la vidéo que la machine peut modifier la quasi-totalité des données électorales à l’instar de la localisation du bureau de vote ou du nom du candidat ou encore du nombre total de votes qu’il a eus.

Ce qui est important est le fait que quelques bureaux de vote américains utilisent toujours ces machines.

À la fin de la vidéo, Cylance compare les résultats du vote: originaux et faux. 

Il est utile de rappeler que fin octobre, près de 130 000 Américains ont signé une pétition contre l'utilisation des machines de vote appartenant à Smartmatic, une société liée à George Soros.

La pétition a été publiée sur le site du Congrès américain et les auteurs qui devaient simplement recueillir 100 000 signatures pour obtenir une réponse de la Maison Blanche, sont toujours dans l'attente d'une réaction de l’administration américaine.

Source: Sputnik
 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV