Dans une interview avec Al-Jazeera, Mahmoud Bassal, le porte-parole de la Défense civile de Gaza a déclaré que l’armée d’occupation sioniste avait bombardé 4 écoles où vivaient des réfugiés palestiniens au cours des dernières 24 heures et tué plus de 50 personnes.
Bassal a précisé que le régime sioniste bombarde les réfugiés palestiniens avec diverses armes, ce qui provoque le démembrement de leurs corps.
Il a déclaré qu’il était nécessaire que les organisations juridiques internationales enquêtent sur les armes dangereuses utilisées contre la population de Gaza.
Le porte-parole de la Défense civile de Gaza a souligné que les corps des martyrs n’ont pas été identifiés en raison des armes utilisées lors des attaques, ajoutant que de nombreux blessés sont également morts en raison du manque d’équipement médical.
Bassal a déclaré que des milliers de blessés sont morts dans la bande de Gaza en raison du manque d’installations de protection civile et du manque d’aide.
Poursuivant ses crimes dans la bande de Gaza, l’armée sioniste a bombardé l’école Ahmed Ben Abdulaziz dans la ville de Khan Younès dans le sud de la bande de Gaza.
Lors de cet horrible crime, plus de 20 Palestiniens dont des enfants ont été tués et des dizaines d’autres blessées.
De même, dans le nord de la bande de Gaza, la situation n’est pas moins catastrophique. « Une grave catastrophe environnementale » attend Gaza en raison de l’accumulation de corps de Palestiniens tués par Israël dans le nord de la bande de Gaza, a averti hier dimanche une organisation médicale.
Dans un communiqué, le directeur de l’Organisation de secours médical à Gaza, Mohammed Abou Afash, a déclaré qu’un grand nombre de corps restaient dans les rues et ne pouvaient pas être récupérés, ajoutant que « des chiens et des chats errants se nourrissaient des cadavres entassés, ce qui représente un danger environnemental important ».
Soulignant la grave pénurie de personnel médical et de fournitures, Abou Afash a noté l’absence de chirurgiens pour effectuer des opérations critiques sur les blessés. Cette pénurie résulte du ciblage répété des hôpitaux et des équipes médicales par l’armée d’occupation israélienne, qui a également empêché les médecins d’accéder au nord de Gaza.
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Soutenu par les États-Unis et leurs alliés occidentaux, Israël a lancé la guerre contre Gaza le 7 octobre 2023, après que le mouvement de résistance palestinien Hamas a mené l’opération Tempête d’Al-Aqsa contre le régime israélien en réponse à sa campagne d’oppression qui dure depuis plusieurs décennies contre les Palestiniens.
Le nombre de martyrs de la guerre contre Gaza est passé à 45 028 et le nombre de blessés à 106 962, tandis que plus de 11 000 personnes sont portées disparues ou présumées mortes sous les décombres.
