Dans le cadre de ses opérations contre le régime sioniste, le mouvement de résistance libanais Hezbollah a mené, dans les premières heures du dimanche matin 3 novembre, une série d’opérations ciblant les rassemblements et les bases militaires du régime sioniste.
Le Hezbollah a déclaré dans des communiqués distincts que ces opérations avaient été menées en soutien au peuple palestinien inébranlable dans la bande de Gaza et à sa résistance courageuse, mais aussi pour défendre le Liban.
D’importants dégâts et pertes ont été infligés par les combattants libanais aux soldats, aux sites et aux équipements de l’armée israélienne.
Sur plusieurs fronts, les combattants de la Résistance islamique poursuivent les tirs de roquettes sur les positions israéliennes dans les territoires occupés palestiniens.
Dans ce droit fil, le Hezbollah a lancé des tirs de roquettes visant les lieux de rassemblement des militaires israéliens dans les colonies d’Even Menachem, Shomera, Zar'it, Metzofa et Rosh HaNikra.
Par la suite, des combattants libanais ont tiré une salve de roquettes sur les forces israéliennes dans la colonie de Kidmat Tzvi.
De même, une deuxième série de roquettes a été tirée par le Hezbollah sur les forces d’occupation israéliennes dans la colonie de Shlomi. Une attaque à la roquette à grande échelle a également frappé un lieu de rassemblement des militaires israéliens dans la colonie de Shamir.
Les combattants de la Résistance islamique ont ensuite attaqué la colonie de Qatzrin avec un barrage de roquettes.
Selon le ministère libanais de la Santé, au moins 2 897 personnes ont été tuées sous le feu des armes israéliennes et 13 150 ont été blessées depuis le début des affrontements frontaliers entre Israël et le Hezbollah, le 8 octobre 2023
Le mouvement de résistance libanais Hezbollah s’est engagé à poursuivre ses opérations de représailles contre Israël tant que ce dernier continuerait sa guerre à Gaza.
Depuis fin septembre, Israël a intensifié ses frappes contre le Hezbollah, assassiné le Secrétaire général du mouvement, Seyyed Hassan Nasrallah et plusieurs hauts responsables.