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Hashem Safieddine a laissé derrière lui un héritage « inspirant » de résistance, selon le président iranien

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Sayyed Hashem Safieddine, chef du Conseil exécutif du Hezbollah s’exprime lors d’une conférence dans la banlieue sud de Beyrouth le 12 janvier 2022. ©AP

Le président iranien a présenté ses condoléances pour l'assassinat du haut dirigeant du Hezbollah, Sayyed Hashem Safieddine, lors d'une frappe aérienne israélienne au Liban.

« Ce grand homme du djihad et du martyre, inspiré par les enseignements de l'Achoura, a courageusement consacré toute sa vie à la défense des opprimés en Palestine et au Liban et au renforcement du Front de la Résistance », c’est ce qu’a déclaré le président iranien, Massoud Pezeshkian dans un communiqué mercredi.

Le président iranien a ajouté que Sayyed Safieddine a laissé derrière lui un « brillant héritage de lutte et de résistance sur la voie de l'Islam et de la lutte contre l'oppression et la tyrannie » qui restera à jamais éclairé.

Le mouvement de résistance libanais a confirmé mercredi la mort en martyr de Safieddine, chef du Conseil exécutif du Hezbollah, dans une « frappe aérienne israélienne brutale et agressive.»

Il était largement attendu que Safieddine soit formellement élu prochain secrétaire général du Hezbollah après l'assassinat de Sayyed Hassan Nasrallah lors d'une frappe aérienne israélienne dans le sud de Beyrouth le 27 septembre.

Le Hezbollah n'a pas précisé l'heure et le lieu de l'assassinat, mais le régime israélien a déclaré mardi que Safieddine avait été tué dans une frappe aérienne dans la banlieue sud de Beyrouth il y a trois semaines.

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Le commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), le général de division Hossein Salami a également exprimé ses condoléances mercredi, déclarant que « les événements qui se déroulent dans la région stratégiquement importante de l'Asie de l’Ouest, notamment au Liban et en Palestine, témoignent du fait que les puissances occidentales sont pleinement déterminées à « sacrifier l'humanité et la résistance » pour protéger le régime sioniste ».

Le commandant en chef du CGRI a précisé que ces aspirations seraient vouées à l'échec face à des combattants qui sont formés à l’école de l’Islam et du martyre « à travers leur altruisme, leurs sacrifices et leur héroïsme historique sans précédent ».

« Le jour ne sera pas loin où cette tumeur cancéreuse d’Israël sera éradiquée de la géographie de l’Oumma musulmane », a-t-il assuré.

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV