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Une colère sacrée et une vengeance sévère attendent les ennemis des musulmans, a martelé le général Salami

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Hossein Salami, commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), s'exprime lors d'une cérémonie funéraire dans la capitale Téhéran. ©AFP

Le commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a fortement mis en garde le régime israélien contre les conséquences de l'assassinat d'un haut responsable du Hezbollah.

Le général de division, Hossein Salami a fait ces remarques dans un message de condoléances qu'il a adressé ce vendredi 2 août au Secrétaire général du mouvement de résistance libanais, Seyyed Hassan Nasrallah.

Le commandant a décrit les auteurs de l’atrocité comme « les ennemis du peuple (l'Oumma musulmane); ces auteurs étant plus précisément, le clan de sionistes, de criminels et de terroristes ».

Ceux-ci et leurs partisans, a-t-il dit, « doivent s’attendre à une fureur sacrée, à une vengeance dure et à une vengeance de la part des “moudjahidines” dévoués, résolus et déterminés des [différents] fronts de la Résistance régionale. »

Ces propos interviennent après qu’une attaque israélienne lancée mardi en banlieue de Beyrouth, a coûté la vie à Fuad Shukr, haut commandant du Hezbollah et conseiller de Nasrallah ainsi qu' à plusieurs autres personnes dont Milad Bidi, conseiller militaire iranien.

Salami a rappelé que ceux qui se cachent derrière l’assassinat de Shukr sont également « les meurtriers des femmes, des enfants et des opprimés de Gaza ».

Il faisait allusion au génocide que le régime israélien commet dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023 et, avec le soutien sans faille des États-Unis. Cette offensive militaire brutale a déjà coûté la vie à au moins 39 480 Palestiniens, en majorité des femmes et des enfants.

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV