Les Brigades du martyr Ezzedine al-Qassam, la branche armée du Hamas, ont annoncé avoir tué plusieurs soldats sionistes lors d’une attaque ce vendredi 5 juillet contre le quartier général de commandement des occupants sionistes au sud-est du quartier Tal al-Sultan de la ville de Rafah impliquant avec des roquettes anti-blindées et des snipers.
La branche armée du Hamas a également annoncé que les forces de ce mouvement avaient tué 10 soldats israéliens dans la bande de Gaza lors d'une opération combinée.
Les Brigades al-Qassam ont annoncé cet après-midi que cette opération avait été menée hier dans le quartier d’al-Shuja'iyah de la ville de Gaza.
Selon l’annonce des Qassam, les forces de la Résistance ont ciblé un groupe de soldats israéliens qui s’était retranché dans un bâtiment du quartier d’al-Shuja'iyah, dans la ville de Gaza, avec une roquette RPG.
À la fin, al-Qassam a annoncé que ses combattants avaient fait exploser une bombe à l'intérieur de ce bâtiment en partant, puis des hélicoptères israéliens étaient arrivés sur le lieu de l'opération pour transporter les morts et les blessés.
Les Brigades Qassam ont annoncé mercredi dans un communiqué avoir ciblé deux chars Merkava du régime sioniste avec des roquettes Yassine 105 dans le camp ouest de la région de Tal al-Sultan, à l'ouest de Rafah.
Les Qassam ont également annoncé mardi qu'un char Merkava 4 du régime sioniste avait été visé par une roquette Yassine 105 à al-Shuja'iyah, ajoutant que les combattants de ces bataillons avaient tué un groupe de 14 soldats sionistes qui avaient tendu une embuscade à une maison à al-Shuja'iyah, ciblés par des balles du TBG. Bilan : des forces ennemies tuées et blessées.
Selon l'aveu de l'armée sioniste, le nombre de soldats blessés du régime a atteint plus de 4 000 depuis le début de la guerre, dont plus de 2 000 depuis les attaques terrestres sur la bande de Gaza.
Et ce, alors que les médias et un certain nombre d’analystes considèrent que le nombre de victimes du régime sioniste est bien supérieur à ce chiffre, compte tenu de l’application d’une censure sévère sur les informations de la guerre par les autorités de Tel-Aviv.