Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani a déclaré que les ennemis emporteront leur illusion sur la désintégration de l’Iran dans la tombe, en réaction aux propos avancés par un ancien responsable sioniste, pour diviser l’Iran en six pays plus petits.
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a tenu à faire allusion aux déclarations insolentes de l’ancien responsable de la sécurité du régime sioniste et a écrit sur X : « Mordekhaï Kedar, ancien responsable de la sécurité du régime sioniste et membre du groupe de réflexion sioniste Sadate-Begin, a fait des déclarations impertinentes selon lesquelles la République islamique d’Iran devrait être démembrée et divisée en six pays. »
Selon lui, l’incitation de divers groupes ethniques iraniens est à la base de ce sinistre souhait.
« En avril de l’année dernière, ce sioniste défaillant a également confirmé les interventions militaires des sionistes dans certains pays voisins et a déclaré : "nous devons briser l’Iran en morceaux" ».
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères Nasser Kanaani a ajouté : « Ces déclarations indiquent clairement que les intentions malveillantes des ennemis à l’égard de notre cher Iran sont pernicieuses, et ce n’est pas la première fois que l’ennemi sioniste affiche ainsi ouvertement ses intentions. »
« Cela fait plus de quarante ans que la République islamique d’Iran entend de telles remarques et qu’elle demeure honorable et résiliente; il est toutefois nécessaire de rappeler aux sionistes en déclin que près de 250 000 personnes de différents groupes ethniques en Iran ont perdu la vie au cours des 45 dernières années pour que cette terre reste intégrée, forte et souveraine », a noté le diplomate.
Le porte-parole de la diplomatie iranienne a ajouté que les criminels, qui ont eu recours au meurtre de femmes et d’enfants pour compenser leur défaite face à un mouvement de résistance populaire à Gaza, allaient emporter « le rêve de diviser l’Iran dans la tombe », tout comme ce fut le cas de leurs autres « faux rêves » en plus de quatre décennies d’existence de la République islamique.
